Ainsi, jamais, depuis 1961, lorsque le général de Gaulle mit en application l’article 16 de la Constitution, après le putsch des généraux, notre pays n’a connu de telles restrictions de libertés…
Rien n’interdit une tournée des grands ducs de 500 kilomètres, dans la limite des 100 kilomètres de chez soi…
Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.
C’est comme ça et c’est pas autrement. Mardi, Édouard Philippe présentera, tambour battant, à l’Assemblée nationale le plan du gouvernement pour le déconfinement. Il est
C’est officiel : on sait, désormais, qu’en France, ou tout du moins en Normandie, le pays des hommes du Nord, il existe des « quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan ».
On a bien dit qu’il n’y avait rien au-dessus des lois de la République, il est donc logique que la pratique religieuse soit considérée, au mieux, comme une activité sociale secondaire…
D’ailleurs, l’ordre règne. La preuve ? Il y a deux semaines, on avait franchi le demi-million de procès-verbaux pour non-respect du confinement.
Faut-il donc que la France s’habitue à vivre en préparant la guerre d’avant ?
Et le 21 avril, à 9 heures du matin, Marie-Antoinette quittait Vienne. Elle ne reverra jamais sa mère et sa patrie.
Figer la France, du jour au lendemain, dans une vaste assignation à résidence était à la portée de n’importe quel État disposant d’un Code pénal et de forces de police à tous – ou presque… – les coins de rue.
On l’aura compris, la gestion de l’après-crise, c’est aussi déblayer le terrain pour qu’Emmanuel Macron en sorte sans séquelles, avec ou sans masque.
Et maintenant, voici que le ministre de la Culture, confiné jusqu’alors dans un silence de bon aloi, entre en scène.
Alors, paraît-il, en ces temps de confinement, ça balance pas mal, comme chantait la regrettée France Gall.
Une longue demi-heure de discours et pas un mot, pas une seconde sur les élections municipales, grand fiasco démocratique de ce quinquennat, il faut bien l’avouer.
Nous ne sommes peut-être pas à la moitié du tunnel que, déjà, on promet, non pas des lendemains qui chantent, mais du sang et des larmes.
Entre-temps, les plus vieux seront morts d’isolement. Avec l’Union européenne, on meurt guéri.
C’est vrai que, dans son rôle de croque-mort en chef, il serait parfait, le bon docteur Salomon.
Mais au fond, courir la nuit, c’est une riche idée, quand on y réfléchit un peu. Paraît-il, la délinquance a baissé depuis le début du confinement.
Au-delà de la com’, évidemment, les Français attendent des résultats. Vite.
M. Lannelongue parle de « licenciement politique ». Mais tout est politique, mon bon monsieur !
Nous n’avons pas la réponse. Juste quelques indices.
La reine ne s’écoute pas parler : elle n’a rien à prouver.
Il regrette, il s’excuse, il ne démissionne pas et il n’est pas démissionné. Voilà comment l’on résumera la déclaration du préfet de police Didier Lallement…
Dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer : ainsi pourrait se résumer la « politique » délibérée de ne pas doter les Français de masques.
« Toute la vérité, rien que la vérité », promet-on devant le juge.
L’amour dure trois ans, dit-on. Parfois beaucoup moins. Exemple : celui qui était censé exister entre le couple Sussex et les Britanniques. Deux saisons, tout juste.
Les plus anciens se souviennent peut-être de ces panneaux posés dans les autobus : « Défense de fumer et cracher, parler au conducteur, descendre en marche. »
Ainsi, jamais, depuis 1961, lorsque le général de Gaulle mit en application l’article 16 de la Constitution, après le putsch des généraux, notre pays n’a connu de telles restrictions de libertés…
Rien n’interdit une tournée des grands ducs de 500 kilomètres, dans la limite des 100 kilomètres de chez soi…
Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.
C’est comme ça et c’est pas autrement. Mardi, Édouard Philippe présentera, tambour battant, à l’Assemblée nationale le plan du gouvernement pour le déconfinement. Il est
C’est officiel : on sait, désormais, qu’en France, ou tout du moins en Normandie, le pays des hommes du Nord, il existe des « quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan ».
On a bien dit qu’il n’y avait rien au-dessus des lois de la République, il est donc logique que la pratique religieuse soit considérée, au mieux, comme une activité sociale secondaire…
D’ailleurs, l’ordre règne. La preuve ? Il y a deux semaines, on avait franchi le demi-million de procès-verbaux pour non-respect du confinement.
Faut-il donc que la France s’habitue à vivre en préparant la guerre d’avant ?
Et le 21 avril, à 9 heures du matin, Marie-Antoinette quittait Vienne. Elle ne reverra jamais sa mère et sa patrie.
Figer la France, du jour au lendemain, dans une vaste assignation à résidence était à la portée de n’importe quel État disposant d’un Code pénal et de forces de police à tous – ou presque… – les coins de rue.
On l’aura compris, la gestion de l’après-crise, c’est aussi déblayer le terrain pour qu’Emmanuel Macron en sorte sans séquelles, avec ou sans masque.
Et maintenant, voici que le ministre de la Culture, confiné jusqu’alors dans un silence de bon aloi, entre en scène.
Alors, paraît-il, en ces temps de confinement, ça balance pas mal, comme chantait la regrettée France Gall.
Une longue demi-heure de discours et pas un mot, pas une seconde sur les élections municipales, grand fiasco démocratique de ce quinquennat, il faut bien l’avouer.
Nous ne sommes peut-être pas à la moitié du tunnel que, déjà, on promet, non pas des lendemains qui chantent, mais du sang et des larmes.
Entre-temps, les plus vieux seront morts d’isolement. Avec l’Union européenne, on meurt guéri.
C’est vrai que, dans son rôle de croque-mort en chef, il serait parfait, le bon docteur Salomon.
Mais au fond, courir la nuit, c’est une riche idée, quand on y réfléchit un peu. Paraît-il, la délinquance a baissé depuis le début du confinement.
Au-delà de la com’, évidemment, les Français attendent des résultats. Vite.
M. Lannelongue parle de « licenciement politique ». Mais tout est politique, mon bon monsieur !
Nous n’avons pas la réponse. Juste quelques indices.
La reine ne s’écoute pas parler : elle n’a rien à prouver.
Il regrette, il s’excuse, il ne démissionne pas et il n’est pas démissionné. Voilà comment l’on résumera la déclaration du préfet de police Didier Lallement…
Dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous expliquerai comment vous en passer : ainsi pourrait se résumer la « politique » délibérée de ne pas doter les Français de masques.
« Toute la vérité, rien que la vérité », promet-on devant le juge.
L’amour dure trois ans, dit-on. Parfois beaucoup moins. Exemple : celui qui était censé exister entre le couple Sussex et les Britanniques. Deux saisons, tout juste.
Les plus anciens se souviennent peut-être de ces panneaux posés dans les autobus : « Défense de fumer et cracher, parler au conducteur, descendre en marche. »
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- Gabrielle Cluzel - 2 543 vues