Emmanuel Macron
Nicolas Sarkozy sera toujours le meilleur avocat de lui-même…
Bientôt, des milices de quartiers dans les territoires pour lutter contre les bandits comme au Far-West ? Ça vient…
Cet accord est le produit de l’idéologie fédérale d’Emmanuel Macron. Il a tout lâché pour l’obtenir afin d’afficher ce qu’il présente comme une avancée fédérale de l’Europe.
À la manœuvre dans l’organigramme macronien, Marlène Schiappa est la personnalisation et la prêtresse de cette corruption des valeurs – d’où son maintien au gouvernement.
Emmanuel Macron s’est, lui, payé le luxe de défendre bec et ongles l’accord, de tout faire pour sauver l’Europe, au détriment des intérêts de notre pays.
…pas quand on tue le chauffeur à coups de pied et poing. Ça, Monsieur le Président, c’est un crime !
L’expression qui ne passe pas ? « Une relation de confiance d’homme à homme. »
Macron a-t-il été convaincant ? Nouveaux chemins, nouveau Macron ? Le même cap avec une méthode nouvelle ? Le discours de la méthode. Quelle méthode ?
Réaction du président de Debout la France à l’interview du 14 Juillet d’Emmanuel Macron par Léa Salamé et Gilles Bouleau.
Il nous a servi son bla-bla habituel sur les réformes nécessaires, sur la poursuite d’un cap qu’il est le seul à connaître et, surtout, il a encore et encore passé son temps à se justifier.
Quoi qu’il en soit, le Président et son ministre de l’Intérieur seront jugés en 2022 aussi, et en premier lieu, à l’aune des résultats obtenus dans la lutte contre l’islam politique et le séparatisme islamiste, pour lesquels on attend toujours les mesures annoncées avant le confinement.
Tout semble se mettre en place pour anticiper l’échéance électorale majeure, la dernière où les Français vont encore voter : l’élection présidentielle.
Le président de la République a félicité les 91,5 % de bacheliers sur TikTok, une plate-forme de « partage vidéo et réseautage social » que les plus de vingt ans ont du mal à connaître.
C’est ça, de confier les rênes du pouvoir à un adolescent inexpérimenté et animé par la seule avidité du pouvoir…
En 2017, le second tour avait déjà mené Emmanuel Macron à l’Élysée avec 66,1 % des voix contre 33,9 % pour Marine Le Pen.
Il a saisi le Conseil supérieur de la magistrature pour avis afin de savoir si l’indépendance de la Justice a été respectée dans la lamentable affaire Fillon.
Tout rapprochement entre ces deux hommes est une imposture, une supercherie, une usurpation.
Quand tout le monde est gaulliste, c’est que plus personne ne l’est.
Ne pas déboulonner les statues ; par contre, les plaques de rues, faut voir, estime Sibeth Ndiaye.
« Je suis oiseau : voyez mes ailes ; je suis souris : vivent les rats », plaide la chauve-souris de la fable.
Et il faudrait pavoiser parce qu’on rouvre les écoles à la mi-juin…
Guillaume Bernard analyse, pour Boulevard Voltaire, l’allocution d’Emmanuel Macron de dimanche soir. https://www.youtube.com/watch?v=zaAeLlR2E1w
Il y a eu, heureusement, l’affirmation du refus de toute repentance historique et nationale. Mais c’est peu.
Emmanuel Macron a terminé son allocution en annonçant qu’il nous parlerait de nouveau en juillet. Sur ce point, on peut le croire…
Alors, qui ? Qui peut faire sortir ce pays et ce peuple de cette sorte d’apathie et de fatalisme ?
Nicolas Sarkozy sera toujours le meilleur avocat de lui-même…
Bientôt, des milices de quartiers dans les territoires pour lutter contre les bandits comme au Far-West ? Ça vient…
Cet accord est le produit de l’idéologie fédérale d’Emmanuel Macron. Il a tout lâché pour l’obtenir afin d’afficher ce qu’il présente comme une avancée fédérale de l’Europe.
À la manœuvre dans l’organigramme macronien, Marlène Schiappa est la personnalisation et la prêtresse de cette corruption des valeurs – d’où son maintien au gouvernement.
Emmanuel Macron s’est, lui, payé le luxe de défendre bec et ongles l’accord, de tout faire pour sauver l’Europe, au détriment des intérêts de notre pays.
…pas quand on tue le chauffeur à coups de pied et poing. Ça, Monsieur le Président, c’est un crime !
L’expression qui ne passe pas ? « Une relation de confiance d’homme à homme. »
Macron a-t-il été convaincant ? Nouveaux chemins, nouveau Macron ? Le même cap avec une méthode nouvelle ? Le discours de la méthode. Quelle méthode ?
Réaction du président de Debout la France à l’interview du 14 Juillet d’Emmanuel Macron par Léa Salamé et Gilles Bouleau.
Il nous a servi son bla-bla habituel sur les réformes nécessaires, sur la poursuite d’un cap qu’il est le seul à connaître et, surtout, il a encore et encore passé son temps à se justifier.
Quoi qu’il en soit, le Président et son ministre de l’Intérieur seront jugés en 2022 aussi, et en premier lieu, à l’aune des résultats obtenus dans la lutte contre l’islam politique et le séparatisme islamiste, pour lesquels on attend toujours les mesures annoncées avant le confinement.
Tout semble se mettre en place pour anticiper l’échéance électorale majeure, la dernière où les Français vont encore voter : l’élection présidentielle.
Le président de la République a félicité les 91,5 % de bacheliers sur TikTok, une plate-forme de « partage vidéo et réseautage social » que les plus de vingt ans ont du mal à connaître.
C’est ça, de confier les rênes du pouvoir à un adolescent inexpérimenté et animé par la seule avidité du pouvoir…
En 2017, le second tour avait déjà mené Emmanuel Macron à l’Élysée avec 66,1 % des voix contre 33,9 % pour Marine Le Pen.
Il a saisi le Conseil supérieur de la magistrature pour avis afin de savoir si l’indépendance de la Justice a été respectée dans la lamentable affaire Fillon.
Tout rapprochement entre ces deux hommes est une imposture, une supercherie, une usurpation.
Quand tout le monde est gaulliste, c’est que plus personne ne l’est.
Ne pas déboulonner les statues ; par contre, les plaques de rues, faut voir, estime Sibeth Ndiaye.
« Je suis oiseau : voyez mes ailes ; je suis souris : vivent les rats », plaide la chauve-souris de la fable.
Et il faudrait pavoiser parce qu’on rouvre les écoles à la mi-juin…
Guillaume Bernard analyse, pour Boulevard Voltaire, l’allocution d’Emmanuel Macron de dimanche soir. https://www.youtube.com/watch?v=zaAeLlR2E1w
Il y a eu, heureusement, l’affirmation du refus de toute repentance historique et nationale. Mais c’est peu.
Emmanuel Macron a terminé son allocution en annonçant qu’il nous parlerait de nouveau en juillet. Sur ce point, on peut le croire…
Alors, qui ? Qui peut faire sortir ce pays et ce peuple de cette sorte d’apathie et de fatalisme ?