wokisme
La vérité génétique est contre lui, mais c’est peut-être parce que la science est raciste, allez savoir.
Chacun à sa manière, Kuntz et Le Drian montrent que le combat contre les destructeurs n’est pas vain.
En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.
Le nouveau mouvement antiraciste est en effet une aubaine pour les tenants de l’islam politique.
Une saine réaction qui devrait soulager les universitaires en leur prouvant qu’ils ne sont pas seuls dans leur combat.
La possible mise à l’écart de Gilles Kepel devrait alarmer les pouvoirs publics sur l’état de l’université française.
Le chantier de révision des classiques s’annonce immense.
Le musée de la pop culture de Seattle a décidé de bannir le nom de l’auteur J. K. Rowling dans une expo Harry Potter !
Même dans l’enseignement privé, des associations dites « partenaires » diffusent la propagande woke, sans vrai contrôle.
Le camp anti-wokiste n’est pas seulement celui de la haine, il serait aussi celui de la bêtise.
L’annonce et la mise en place de l’événement n’a pas manqué de faire réagir les parlementaires conservateurs.
Ce 25 avril, le Parlement européen organise pour ses employés une séance sur le racisme par le langage !
L’harmonie, la majesté et la délicatesse sont désormais des concepts patriarcaux.
Une quarantaine de parlementaires s’unissent pour lutter par tous les moyens contre cette entreprise de déconstruction.
L’Association francophone des parlementaires contre le wokisme sera officiellement sur les rails le 12 avril.
La faillite de la Silicon Valley Bank a entraîné une panique boursière mondiale, aujourd’hui jugulée.
Il est incontestable que certains IEP semblent s’inscrire durablement dans une démarche propagandiste.
La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».
Au-delà de l’humour, cependant, le temps n’est peut-être pas loin où il faudra, paradoxalement, s’enfermer à double tour dans sa bibliothèque pour être enfin libre.
A la perspective d’une arrivée massive de citoyens chinois, elle sera jaune, bleue s’il s’agit de Schtroumpfs, verte avec des Martiens, etc. Le people bobo change de couleur au gré de l’idéologie ambiante.
Jusque-là, certaines sphères, celles du monde rural, échappaient à cette triste uniformisation de la pensée woke. Le vide restait à combler, « L’amour est dans le pré » l’a fait !
Au cours de ce mois entier dévolu à l’histoire des Noirs (Black History Month), l’étudiant non coloré est invité à faire profil bas, s’autoflageller, s’incliner, se liquéfier, s’effacer devant toute personne noire ou métisse.
Ça nous vient de Norvège, charmant pays de cinq millions d’habitants qui, jusqu’à présent, avait réussi à ne pas faire trop parler de lui, si l’on excepte ses omelettes, son ski et sa princesse Märtha Louise…
Si l’on essaie de théoriser ce qui est en train de se passer dans la tête des gauchistes de la vieille école, qu’ils s’appellent François Cusset ou Libération (à l’occasion de la sortie de « Vaincre ou Mourir »), on voit d’abord qu’ils ont perdu pied.
Seule l’expression animale peut pallier ces dérives du langage commun. En guise d’approbation, aboyons gaiement à ce progressisme débridé.
Sur deux heures prévues en présence de ce Grand Satan énergétique, les étudiants avaient obtenu de la direction de réduire le temps de l’exposé à trois quarts d’heure, le reste était dévolu aux échanges d’idées. C’était trop.
Dans certaines voitures subsiste un pictogramme montrant une dame en train de changer son bébé. L’espace dédié à cette activité est indiqué de la manière la plus sexiste qui soit.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.
La vérité génétique est contre lui, mais c’est peut-être parce que la science est raciste, allez savoir.
Chacun à sa manière, Kuntz et Le Drian montrent que le combat contre les destructeurs n’est pas vain.
En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.
Le nouveau mouvement antiraciste est en effet une aubaine pour les tenants de l’islam politique.
Une saine réaction qui devrait soulager les universitaires en leur prouvant qu’ils ne sont pas seuls dans leur combat.
La possible mise à l’écart de Gilles Kepel devrait alarmer les pouvoirs publics sur l’état de l’université française.
Le chantier de révision des classiques s’annonce immense.
Le musée de la pop culture de Seattle a décidé de bannir le nom de l’auteur J. K. Rowling dans une expo Harry Potter !
Même dans l’enseignement privé, des associations dites « partenaires » diffusent la propagande woke, sans vrai contrôle.
Le camp anti-wokiste n’est pas seulement celui de la haine, il serait aussi celui de la bêtise.
L’annonce et la mise en place de l’événement n’a pas manqué de faire réagir les parlementaires conservateurs.
Ce 25 avril, le Parlement européen organise pour ses employés une séance sur le racisme par le langage !
L’harmonie, la majesté et la délicatesse sont désormais des concepts patriarcaux.
Une quarantaine de parlementaires s’unissent pour lutter par tous les moyens contre cette entreprise de déconstruction.
L’Association francophone des parlementaires contre le wokisme sera officiellement sur les rails le 12 avril.
La faillite de la Silicon Valley Bank a entraîné une panique boursière mondiale, aujourd’hui jugulée.
Il est incontestable que certains IEP semblent s’inscrire durablement dans une démarche propagandiste.
La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».
Au-delà de l’humour, cependant, le temps n’est peut-être pas loin où il faudra, paradoxalement, s’enfermer à double tour dans sa bibliothèque pour être enfin libre.
A la perspective d’une arrivée massive de citoyens chinois, elle sera jaune, bleue s’il s’agit de Schtroumpfs, verte avec des Martiens, etc. Le people bobo change de couleur au gré de l’idéologie ambiante.
Jusque-là, certaines sphères, celles du monde rural, échappaient à cette triste uniformisation de la pensée woke. Le vide restait à combler, « L’amour est dans le pré » l’a fait !
Au cours de ce mois entier dévolu à l’histoire des Noirs (Black History Month), l’étudiant non coloré est invité à faire profil bas, s’autoflageller, s’incliner, se liquéfier, s’effacer devant toute personne noire ou métisse.
Ça nous vient de Norvège, charmant pays de cinq millions d’habitants qui, jusqu’à présent, avait réussi à ne pas faire trop parler de lui, si l’on excepte ses omelettes, son ski et sa princesse Märtha Louise…
Si l’on essaie de théoriser ce qui est en train de se passer dans la tête des gauchistes de la vieille école, qu’ils s’appellent François Cusset ou Libération (à l’occasion de la sortie de « Vaincre ou Mourir »), on voit d’abord qu’ils ont perdu pied.
Seule l’expression animale peut pallier ces dérives du langage commun. En guise d’approbation, aboyons gaiement à ce progressisme débridé.
Sur deux heures prévues en présence de ce Grand Satan énergétique, les étudiants avaient obtenu de la direction de réduire le temps de l’exposé à trois quarts d’heure, le reste était dévolu aux échanges d’idées. C’était trop.
Dans certaines voitures subsiste un pictogramme montrant une dame en train de changer son bébé. L’espace dédié à cette activité est indiqué de la manière la plus sexiste qui soit.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.