Jean Castex

La liste de la secrétaire d’État Sophie Cluzel en PACA n’aura fait qu’un petit tour et puis s’en va

Au vu de sa gestion épidémique en cours, on peut craindre le pire.

Y avait-t-il vraiment besoin, cette année, d’inventer des poissons d’avril, au milieu de l’hystérie ambiante ?

« Deux dents sur le gigot, un œil sur grand-maman »…

Pour une fois, Emmanuel Macron devrait pourtant imiter son mentor teuton préféré qui, avec humilité, consciente d’avoir poussé le bouchon un peu loin, a présenté ses excuses.

Ceci est un pur produit du « en même temps ».

Il sera probablement demain oublié, un oiseau de mauvais augure convoqué à Matignon pour faire le sale boulot et laisser son maître à l’abri des quolibets, si cela est encore possible…

L’éternelle ritournelle servie depuis des décennies consistant à croire que l’avènement du lepénisme serait synonyme d’apocalypse.

Samedi 14 mars 2020 : les Français écoutaient avec stupeur le Premier ministre d’alors, Édouard Philippe, annoncer la fermeture des bars, restaurants, commerces, etc.

Mais au fait, c’est quoi, une vie normale ?

On imagine qu’on va rapidement nous expliquer que la fermeture des frontières décidée par le gouvernement n’a rien à voir avec celle préconisée par Marine Le Pen. Forcément.

Gaspard G. lance un cri d’alarme depuis sa chambre d’étudiant…

Ces nouvelles mesures en appellent au comportement honorable des individus, signant un nouvel aveu pathétique d’impuissance dans une société totalement démoralisée.

Joignant ses mains en Namasté, le Premier ministre en a appelé à la sérénité…

Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».

Après la pose dans le jardin de Matignon, Madame a raccompagné Monsieur à son bureau et attaché le chien. Désormais, la gestion de la crise sanitaire devrait être plus cohérente. Ne reste plus qu’à retrouver les lunettes.

À Rome, sous la république, la dictature, à l’origine, ne pouvait excéder six mois…

Tel qu’il se doit, pas un mot sur l’immigration, la fin de la double nationalité, le renvoi des étrangers, clandestins ou non…

Encore un peu et l’on va nous donner la recette de la bûche et la façon idoine de peler les marrons et farcir la dinde.

Et en sus, l’annonce est faite par Christophe Castaner qui fut le ministre de l’Intérieur que l’on sait.

Avec la gastronomie, ne sommes-nous pas au cœur du régalien ?

Là-bas, sur votre droite, le pic d’Absurdie. L’Annapurna, à côté, c’est de la gnognotte, de la montagne à vaches.

Il a desserré le kiki.

M. Castex : « La sécurité est ma plus grande obsession… » Mais de quelle sécurité parle-t-il ?

Ces gens-là se sont découvert une passion : l’interdiction. Quelque chose me dit que c’est pour longtemps.

Derrière ses airs de garde-champêtre, Jean Castex n’est jamais qu’un technocrate comme les autres.

Résumons. Si les Françaises et les Français sont disciplinés, M. Castex, vêtu de pourpre neigeuse, descendra soi-même, par la cheminée, nous souhaiter « un bon Noël »…

La question qui se pose est de savoir si le gouvernement, dans sa stratégie pour lutter contre la propagation du virus, ne bride pas son cheval par la queue…

La liste de la secrétaire d’État Sophie Cluzel en PACA n’aura fait qu’un petit tour et puis s’en va

Au vu de sa gestion épidémique en cours, on peut craindre le pire.

Y avait-t-il vraiment besoin, cette année, d’inventer des poissons d’avril, au milieu de l’hystérie ambiante ?

« Deux dents sur le gigot, un œil sur grand-maman »…

Pour une fois, Emmanuel Macron devrait pourtant imiter son mentor teuton préféré qui, avec humilité, consciente d’avoir poussé le bouchon un peu loin, a présenté ses excuses.

Ceci est un pur produit du « en même temps ».

Il sera probablement demain oublié, un oiseau de mauvais augure convoqué à Matignon pour faire le sale boulot et laisser son maître à l’abri des quolibets, si cela est encore possible…

L’éternelle ritournelle servie depuis des décennies consistant à croire que l’avènement du lepénisme serait synonyme d’apocalypse.

Samedi 14 mars 2020 : les Français écoutaient avec stupeur le Premier ministre d’alors, Édouard Philippe, annoncer la fermeture des bars, restaurants, commerces, etc.

Mais au fait, c’est quoi, une vie normale ?

On imagine qu’on va rapidement nous expliquer que la fermeture des frontières décidée par le gouvernement n’a rien à voir avec celle préconisée par Marine Le Pen. Forcément.

Gaspard G. lance un cri d’alarme depuis sa chambre d’étudiant…

Ces nouvelles mesures en appellent au comportement honorable des individus, signant un nouvel aveu pathétique d’impuissance dans une société totalement démoralisée.

Joignant ses mains en Namasté, le Premier ministre en a appelé à la sérénité…

Il a flotté comme un parfum de « ils ne peuvent pas nous faire ça », « ils ne vont quand même pas supprimer Noël ».

Après la pose dans le jardin de Matignon, Madame a raccompagné Monsieur à son bureau et attaché le chien. Désormais, la gestion de la crise sanitaire devrait être plus cohérente. Ne reste plus qu’à retrouver les lunettes.

À Rome, sous la république, la dictature, à l’origine, ne pouvait excéder six mois…

Tel qu’il se doit, pas un mot sur l’immigration, la fin de la double nationalité, le renvoi des étrangers, clandestins ou non…

Encore un peu et l’on va nous donner la recette de la bûche et la façon idoine de peler les marrons et farcir la dinde.

Et en sus, l’annonce est faite par Christophe Castaner qui fut le ministre de l’Intérieur que l’on sait.

Avec la gastronomie, ne sommes-nous pas au cœur du régalien ?

Là-bas, sur votre droite, le pic d’Absurdie. L’Annapurna, à côté, c’est de la gnognotte, de la montagne à vaches.

Il a desserré le kiki.

M. Castex : « La sécurité est ma plus grande obsession… » Mais de quelle sécurité parle-t-il ?

Ces gens-là se sont découvert une passion : l’interdiction. Quelque chose me dit que c’est pour longtemps.

Derrière ses airs de garde-champêtre, Jean Castex n’est jamais qu’un technocrate comme les autres.

Résumons. Si les Françaises et les Français sont disciplinés, M. Castex, vêtu de pourpre neigeuse, descendra soi-même, par la cheminée, nous souhaiter « un bon Noël »…

La question qui se pose est de savoir si le gouvernement, dans sa stratégie pour lutter contre la propagation du virus, ne bride pas son cheval par la queue…
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