Les revendications LGBT, accompagnées d’un chantage financier, représentent une colonisation progressiste de l’Afrique.
La guerre civile : l’arme politique ultime de démoralisation massive des Français ?
Il est urgent d’y remédier.
Mais les Africains connaissent leurs limites et ne sont pas dupes des flatteries…
« On croit faire un voyage, mais en réalité, c’est le voyage qui vous fait, ou défait »
Ce texte suscite un trouble profond et une vive polémique au sein de l’Église universelle.
Le Niger n’est plus qu’un terrain d’affrontement indirect entre les États-Unis, la Chine et la Russie.
Cette tradition française ancienne de la diplomatie est remise en cause.
Ce renversement n’est pas le résultat d’une influence de l’État français ni d’une manigance de la Françafrique.
La Macronie se tire elle-même « une balle dans le pied » par une politique africaine masochiste et confuse.
La manipulation des esprits consiste à présenter l’homosexualité comme une tradition africaine.
On apprécierait aussi que, par exception, une chaîne française réalise une série sur « La migration africaine vue par les Français non africains ». On peut toujours rêver…
Pénitente décoloniale masochiste, la France est le catalyseur naturel des frustrations populaires légitimes, dont les causes réelles sont liées avant tout à la mauvaise gouvernance locale, couverte par la communauté internationale.
Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.
On peut s’interroger légitimement sur le rôle et l’évolution de cette « usine à gaz » bureaucratique dans laquelle la France se dilue toujours plus en reniant son magistère culturel et spirituel.
Finalement, il est très peu question de Notre-Dame, simple décor.
En réalité, les raisons profondes de ces séismes sont avant tout endogènes.
L’État français n’est ni crédible, ni audible, en Afrique. Il se comporte en donneur de leçons de démocratie et de souveraineté nationale
Ce projet régional, présenté comme « déjà sur la table », s’il se réalise, sera une première mondiale dans le multivers politique des régimes dits démocratiques.
Vu d’Afrique, la France a beaucoup à perdre dans ce qui apparaît comme une tournée d’inspection réactive et précipitée, forcée par l’actualité et décalée des réalités. À l’inverse, la Russie a beaucoup à gagner.
Vu d’Afrique, l’ignorance des réalités locales et l’arrogance, perçues comme telles, sont choquantes,
On n’est pas encore habitué, en Afrique, à ces escarmouches publiques provoquées par l’imposition brutale d’idéologies californiennes qui bousculent les traditions locales pour les effacer, les remplacer.
Ainsi, le déclassement de la France sur la scène internationale se prolonge naturellement en Afrique. Les Africains sont déjà passés à autre chose, sans regret et avec profit.
C’est bien par cette méthode autoritaire de gouvernance, par des clés qui ferment toute pensée pour museler la parole, que la technocratie mondiale prétend imposer ses délires de bien-pensance et ses désirs de puissance, pour sonner le glas des cultures locales.
Mais quel ordre viendra après ce chaos programmé ?
Chacun a sa place, unique et irremplaçable. C’est dans l’ordre naturel des choses.
Cent ans après la Première Guerre mondiale, nos morts questionnent notre conscience : héritier de France, Français de souche lointaine ou de greffe récente, qu’as-tu fait de ta nation ?
Cette grand-messe onusienne a rassemblé sept mille participants venus dresser des bilans alarmistes et des prévisions apocalyptiques, mais aussi discuter de pistes de solutions salvifiques. Si les enjeux sont connus et les défis clairs, les mesures concrètes le sont beaucoup moins.
Les revendications LGBT, accompagnées d’un chantage financier, représentent une colonisation progressiste de l’Afrique.
La guerre civile : l’arme politique ultime de démoralisation massive des Français ?
Il est urgent d’y remédier.
Mais les Africains connaissent leurs limites et ne sont pas dupes des flatteries…
« On croit faire un voyage, mais en réalité, c’est le voyage qui vous fait, ou défait »
Ce texte suscite un trouble profond et une vive polémique au sein de l’Église universelle.
Le Niger n’est plus qu’un terrain d’affrontement indirect entre les États-Unis, la Chine et la Russie.
Cette tradition française ancienne de la diplomatie est remise en cause.
Ce renversement n’est pas le résultat d’une influence de l’État français ni d’une manigance de la Françafrique.
La Macronie se tire elle-même « une balle dans le pied » par une politique africaine masochiste et confuse.
La manipulation des esprits consiste à présenter l’homosexualité comme une tradition africaine.
On apprécierait aussi que, par exception, une chaîne française réalise une série sur « La migration africaine vue par les Français non africains ». On peut toujours rêver…
Pénitente décoloniale masochiste, la France est le catalyseur naturel des frustrations populaires légitimes, dont les causes réelles sont liées avant tout à la mauvaise gouvernance locale, couverte par la communauté internationale.
Un point de non-retour géopolitique semble avoir été franchi dans les déclarations et les sanctions.
On peut s’interroger légitimement sur le rôle et l’évolution de cette « usine à gaz » bureaucratique dans laquelle la France se dilue toujours plus en reniant son magistère culturel et spirituel.
Finalement, il est très peu question de Notre-Dame, simple décor.
En réalité, les raisons profondes de ces séismes sont avant tout endogènes.
L’État français n’est ni crédible, ni audible, en Afrique. Il se comporte en donneur de leçons de démocratie et de souveraineté nationale
Ce projet régional, présenté comme « déjà sur la table », s’il se réalise, sera une première mondiale dans le multivers politique des régimes dits démocratiques.
Vu d’Afrique, la France a beaucoup à perdre dans ce qui apparaît comme une tournée d’inspection réactive et précipitée, forcée par l’actualité et décalée des réalités. À l’inverse, la Russie a beaucoup à gagner.
Vu d’Afrique, l’ignorance des réalités locales et l’arrogance, perçues comme telles, sont choquantes,
On n’est pas encore habitué, en Afrique, à ces escarmouches publiques provoquées par l’imposition brutale d’idéologies californiennes qui bousculent les traditions locales pour les effacer, les remplacer.
Ainsi, le déclassement de la France sur la scène internationale se prolonge naturellement en Afrique. Les Africains sont déjà passés à autre chose, sans regret et avec profit.
C’est bien par cette méthode autoritaire de gouvernance, par des clés qui ferment toute pensée pour museler la parole, que la technocratie mondiale prétend imposer ses délires de bien-pensance et ses désirs de puissance, pour sonner le glas des cultures locales.
Mais quel ordre viendra après ce chaos programmé ?
Chacun a sa place, unique et irremplaçable. C’est dans l’ordre naturel des choses.
Cent ans après la Première Guerre mondiale, nos morts questionnent notre conscience : héritier de France, Français de souche lointaine ou de greffe récente, qu’as-tu fait de ta nation ?
Cette grand-messe onusienne a rassemblé sept mille participants venus dresser des bilans alarmistes et des prévisions apocalyptiques, mais aussi discuter de pistes de solutions salvifiques. Si les enjeux sont connus et les défis clairs, les mesures concrètes le sont beaucoup moins.
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