Emmanuel Macron
On assiste, et c’est heureux, au retour de la nation, valeur socle de cohésion qui nous permet de nous quereller sur nos différences… en famille !
Notre-Dame de Paris est un héritage que nous ne comprenons plus, et la précipitation d’Emmanuel Macron à la reconstruire en est le signe le plus manifeste.
« Quelle est la différence entre un tas de pierres et une cathédrale ? C’est la même différence qu’entre un amas de cellules et une personne humaine. »
Cette époque est décidément folle. Folle de vitesse, de précipitation.
Derrière l’unité retrouvée du pays, combien de contradictions mortelles ?
Ainsi, avec la catastrophe inouïe (mais prévisible, comme le souligne Didier Rykner dans le Figaro) de Notre-Dame, l’intervention d’Emmanuel Macron qui devait créer un effet
Lui dont la feuille de route paraissait toute tracée aurait enfin compris que notre pays et son peuple valent mieux que ce destin qui les conduirait à leur disparition inéluctable ?
Sur la Toile, aussitôt, les geeks farceurs ont évoqué la mémoire de ce gentil garçon qui avait fait le buzz, il y a quelques mois, en s’interrogeant, tel le penseur de Rodin, sur un plateau télé : « Qui vous dit que je suis un homme ? »
Dans la liste des commissions, il y a, bien sûr, de tout et du rien. Du rien, surtout.
L’émotion retombée, Emmanuel Macron devrait peut-être se rappeler que la patience a des limites.
En 5 minutes et 41 secondes, Emmanuel Macron n’a effectivement jamais prononcé le mot de chrétien et encore moins celui de catholique.
Pour rassurer le Landerneau alsacien, notre pompier-pyromane élyséen s’est fendu, le 8 avril dernier, d’une bafouille au président de la région Grand Est pour l’assurer de son soutien…
Même les poids lourds discrets du gouvernement, les « sérieux », subissent une baisse de popularité parfois forte.
Et voici que Hugh Bailey, un proche d’Emmanuel Macron, l’un de ses conseillers lorsqu’il était ministre de l’Économie, et qui donc aurait piloté la vente d’Alstom, va prendre la direction générale, le 22 avril prochain, de la branche française de General Electric !
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Il se crée donc parfois un curieux rapport entre le pouvoir et son « meilleur ennemi »…
Tout récemment, Emmanuel Macron a été élevé au rang de chevalier de l’ordre de l’Éléphant par la reine de Danemark.
L’ordre libéral-libertaire doit, de fait, accomplir jusqu’au bout son darwinisme social.
Emmanuel Macron a-t-il l’intelligence tant du cœur que de situation que l’on attend d’un chef ?
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Si Macron espérait glaner des voix en faisant le tour de l’EHPAD présidentiel à l’heure du thé dansant, tel un candidat aux cantonales, c’est raté.
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.
Ce devait être un grand débat national et ça devient du stand-up ; un peu comme Jamel Debbouze – les rires en moins. Ainsi Emmanuel
La prochaine fois, il suffira de virer un « vieux », par exemple Le Drian, de faire la sortie des écoles ou d’aller chercher le jeune vieux Jean François-Poncet et on aura pété le score !
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
On assiste, et c’est heureux, au retour de la nation, valeur socle de cohésion qui nous permet de nous quereller sur nos différences… en famille !
Notre-Dame de Paris est un héritage que nous ne comprenons plus, et la précipitation d’Emmanuel Macron à la reconstruire en est le signe le plus manifeste.
« Quelle est la différence entre un tas de pierres et une cathédrale ? C’est la même différence qu’entre un amas de cellules et une personne humaine. »
Cette époque est décidément folle. Folle de vitesse, de précipitation.
Derrière l’unité retrouvée du pays, combien de contradictions mortelles ?
Ainsi, avec la catastrophe inouïe (mais prévisible, comme le souligne Didier Rykner dans le Figaro) de Notre-Dame, l’intervention d’Emmanuel Macron qui devait créer un effet
Lui dont la feuille de route paraissait toute tracée aurait enfin compris que notre pays et son peuple valent mieux que ce destin qui les conduirait à leur disparition inéluctable ?
Sur la Toile, aussitôt, les geeks farceurs ont évoqué la mémoire de ce gentil garçon qui avait fait le buzz, il y a quelques mois, en s’interrogeant, tel le penseur de Rodin, sur un plateau télé : « Qui vous dit que je suis un homme ? »
Dans la liste des commissions, il y a, bien sûr, de tout et du rien. Du rien, surtout.
L’émotion retombée, Emmanuel Macron devrait peut-être se rappeler que la patience a des limites.
En 5 minutes et 41 secondes, Emmanuel Macron n’a effectivement jamais prononcé le mot de chrétien et encore moins celui de catholique.
Pour rassurer le Landerneau alsacien, notre pompier-pyromane élyséen s’est fendu, le 8 avril dernier, d’une bafouille au président de la région Grand Est pour l’assurer de son soutien…
Même les poids lourds discrets du gouvernement, les « sérieux », subissent une baisse de popularité parfois forte.
Et voici que Hugh Bailey, un proche d’Emmanuel Macron, l’un de ses conseillers lorsqu’il était ministre de l’Économie, et qui donc aurait piloté la vente d’Alstom, va prendre la direction générale, le 22 avril prochain, de la branche française de General Electric !
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Il se crée donc parfois un curieux rapport entre le pouvoir et son « meilleur ennemi »…
Tout récemment, Emmanuel Macron a été élevé au rang de chevalier de l’ordre de l’Éléphant par la reine de Danemark.
L’ordre libéral-libertaire doit, de fait, accomplir jusqu’au bout son darwinisme social.
Emmanuel Macron a-t-il l’intelligence tant du cœur que de situation que l’on attend d’un chef ?
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Si Macron espérait glaner des voix en faisant le tour de l’EHPAD présidentiel à l’heure du thé dansant, tel un candidat aux cantonales, c’est raté.
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.
Ce devait être un grand débat national et ça devient du stand-up ; un peu comme Jamel Debbouze – les rires en moins. Ainsi Emmanuel
La prochaine fois, il suffira de virer un « vieux », par exemple Le Drian, de faire la sortie des écoles ou d’aller chercher le jeune vieux Jean François-Poncet et on aura pété le score !
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.