Ursula von der Leyen
Ce message de Marine Le Pen,a créé quelques remous au sein de la coalition gouvernementale italienne.
Ce sont près de 20% des votes exprimés et plus de 50% des délégués du PPE qui ne la soutiennent pas : un camouflet !
Les récents développements des relations entre G. Meloni et les autorités de Bruxelles ont pris une tournure inquiétante
C’était, en vérité, un secret de Polichinelle.
La révolte paysanne européenne n’a pas changé les objectifs idéologiques et politiques d’Emmanuel et Ursula.
Il serait possible de changer la donne européenne si nous étions capables de nous mobiliser aux élections européennes.
La présidente de la commission européenne a tenu un discours de chef d’Etat devant les eurodéputés.
Ce président, ami des Frères musulmans, va pouvoir poursuivre sa politique néo-ottomane.
Ce fiasco diplomatique souligne l’inconséquence des politiques européennes à l’égard de la Chine et de la Russie.
Qu’espérait Emmanuel Macron en entraînant Ursula von der Leyen avec lui dans ses tribulations chinoises ?
Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.
Après les propos tenus par Ursula von der Leyen, on ne peut donc que s’interroger : où sont passés les fact-checkers ?
Si des graves dysfonctionnements étaient avérés, la perspective d’un « Pfizergate » pourrait faire vaciller un peu plus l’institution européenne.
Un détail a fait réagir dans le milieu des parlementaires européens. En effet, dans sa déclaration, Dimitris Avramopoulos cite Ursula von der Leyen, actuelle présidente de la Commission européenne, indiquant : « J’avais obtenu l’aval de von der Leyen »
« Même si nous avons apprécié la victoire des Bleus, autour d’un verre et d’un repas dans un bar animé pour la circonstance, le lendemain il faut se coltiner à la réalité…. »
Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.
En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.
On pourrait finir par ne plus prendre garde aux propos d’Ursula von der Leyen. Ce serait dommage.
Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.
Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.
Étonnamment – ou pas -, il semblerait que certains ne se satisfassent pas de régler cette facture plutôt salée sans en connaître les tenants et les aboutissants.
Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?
Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.
Vous voyez bien qu’un tel niveau de compétence économique est hors de la portée du commun des mortels. Donner de l’argent à Poutine pour qu’il en perde. On est sauvés.
Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est
Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.
Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.
La présidente de la Commission européenne n’a pas mâché ses mots au sujet des récentes déclarations hongroises, martelant : « Ce que Poutine suggère serait une violation des sanctions. »
Ce message de Marine Le Pen,a créé quelques remous au sein de la coalition gouvernementale italienne.
Ce sont près de 20% des votes exprimés et plus de 50% des délégués du PPE qui ne la soutiennent pas : un camouflet !
Les récents développements des relations entre G. Meloni et les autorités de Bruxelles ont pris une tournure inquiétante
C’était, en vérité, un secret de Polichinelle.
La révolte paysanne européenne n’a pas changé les objectifs idéologiques et politiques d’Emmanuel et Ursula.
Il serait possible de changer la donne européenne si nous étions capables de nous mobiliser aux élections européennes.
La présidente de la commission européenne a tenu un discours de chef d’Etat devant les eurodéputés.
Ce président, ami des Frères musulmans, va pouvoir poursuivre sa politique néo-ottomane.
Ce fiasco diplomatique souligne l’inconséquence des politiques européennes à l’égard de la Chine et de la Russie.
Qu’espérait Emmanuel Macron en entraînant Ursula von der Leyen avec lui dans ses tribulations chinoises ?
Décidément, la présidente de la Commission européenne a des difficultés avec les nouvelles technologies.
Après les propos tenus par Ursula von der Leyen, on ne peut donc que s’interroger : où sont passés les fact-checkers ?
Si des graves dysfonctionnements étaient avérés, la perspective d’un « Pfizergate » pourrait faire vaciller un peu plus l’institution européenne.
Un détail a fait réagir dans le milieu des parlementaires européens. En effet, dans sa déclaration, Dimitris Avramopoulos cite Ursula von der Leyen, actuelle présidente de la Commission européenne, indiquant : « J’avais obtenu l’aval de von der Leyen »
« Même si nous avons apprécié la victoire des Bleus, autour d’un verre et d’un repas dans un bar animé pour la circonstance, le lendemain il faut se coltiner à la réalité…. »
Le coup des valises de billets de la vice-présidente grecque du Parlement Éva Kaïlí n’est pas seulement un scandale façon surprise du chef, c’est la confirmation de ce que chaque Français sent ou pressent depuis longtemps.
En attendant, la présidente de la Commission européenne présentait, le 7 décembre dernier, un neuvième paquet de sanctions contre la Russie.
On pourrait finir par ne plus prendre garde aux propos d’Ursula von der Leyen. Ce serait dommage.
Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.
Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.
Étonnamment – ou pas -, il semblerait que certains ne se satisfassent pas de régler cette facture plutôt salée sans en connaître les tenants et les aboutissants.
Alors on se prend à rêver : et si les citoyens européens se mobilisaient ? S’ils prenaient conscience qu’ils sont les dindons de cette sale farce ?
Lors de son entretien du 14 Juillet, le président de la République a évoqué la question de la réforme des retraites. Or a été éludée et est toujours éludée la question de la démographie.
Vous voyez bien qu’un tel niveau de compétence économique est hors de la portée du commun des mortels. Donner de l’argent à Poutine pour qu’il en perde. On est sauvés.
Comme Marlborough, Ursula s’en va en guerre. Depuis l’agression russe en Ukraine, la présidente de la Commission multiplie les déclarations martiales. À l’évidence, elle est
Cette Union n’hésite plus à bafouer les choix démocratiques au nom d’un prétendu État de droit qui n’est qu’une machine de guerre contre les peuples insoumis.
Qui va payer ? On le sait : les contribuables français et allemands.
La présidente de la Commission européenne n’a pas mâché ses mots au sujet des récentes déclarations hongroises, martelant : « Ce que Poutine suggère serait une violation des sanctions. »
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- Gabrielle Cluzel - 5 388 vues