Ukraine
Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.
Sur place, « l’Afrique réelle » est très partagée sur ce sujet, divisée par des intérêts nationaux divergents voire concurrents.
L’essayiste et politologue Guillaume Bigot revient, pour Boulevard Voltaire, sur les conséquences du conflit ukrainien, à l’aune de l’élection présidentielle française. Cela fait plusieurs jours que
Nous avons suivi le début du chemin de ces volontaires français. Un voyage entre têtes brûlées éprises d’idéal et les soldats perdus.
Un débat riche, dense, frontal, qui bouscule toutes les convictions, n’épargne personne et ouvre sur la complexité des origines de la tragédie ukrainienne.
Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.
Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.
Depuis la semaine dernière, les chefs des Églises orthodoxes se sont donc exprimés, tous appelant à la prière pour la paix, mais chacun défendant leur unité nationale.
C’était l’union des gauches et du centre contre le méchant habitant du Kremlin, qualifié d’« ogre », de « dictateur », de « tyran paranoïaque » ou encore d’« imbécile ».
Guerre économique et financière totale. Mais pas que. Guerre psychologique et symbolique totale.
« Halte au feu ! écrit-il, les délires bellicistes de ceux qui se croient à l’abri à l’arrière peuvent entraîner la planète dans un cataclysme nucléaire. »
Gérard Depardieu a supprimé de ses réseaux sociaux, sans donner d’explication, une photo où on le voyait apparaître aux côtés du président russe.
Après une crise sanitaire qui a paralysé le pays et annihilé les esprits pendant près de deux ans, une nouvelle crise, d’une autre nature certes, surgit et risque de poursuivre les effets catastrophiques déjà enregistrés sur le fonctionnement de notre démocratie.
Que dire si un quelconque génie s’avise d’accélérer l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN cette fois ? Au nom de l’article 5, cette guerre deviendrait alors la nôtre…
Poutine, d’une grande prudence depuis 22 ans, a clairement changé de stratégie.
Pour les autres candidats à l’Élysée, difficile de lutter contre ce Président martial qui, en Jupiter furieux, menace la Russie de la foudre.
Ukrainiennes, Ukrainiens, votre calvaire sera de courte durée. Poutine est foutu, Sandrine est dans la rue.
Le président ukrainien Zelensky a demandé, ce lundi 28 février, l’intégration sans délai de son pays à l’Union européenne. Jean-Paul Garraud, député RN au Parlement
Si l’Ukraine ne correspondait pas, géographiquement parlant, à la plus grande épine qu’il soit possible de mettre dans le pied de Vladimir Poutine, l’Occident s’érigerait-il en grand sauveur du peuple d’Ukraine ?
Un reportage anodin en apparence qui traduit l’indécence de cette pratique commerciale pourtant bien légale en Ukraine.
Le Président a jusqu’à ce vendredi, 18 heures, pour déposer sa candidature à l’élection présidentielle auprès du Conseil constitutionnel.
Nous pouvons accueillir les Ukrainiens. Ils partagent la culture de la vieille Europe, partagent aussi nos mœurs…
Les partis pris sans nuance résistent même au constat aveuglant des responsabilités russes dans le drame actuel qui se joue en Ukraine.
Demander à la Russie de battre sa coulpe aurait forcé la gauche à battre aussi la sienne.
A la question « Sommes-nous prêts à engager notre armée dans un tel conflit ? », la réponse est « Oui, mais pas sans notre peuple ».
Des paroles de bon sens qui, dans la bouche de Marine Le Pen ou d’Éric Zemmour, seraient considérées comme discriminatoires…
Sortira-t-on un jour du cauchemar imposé par le Président mondialiste qui gouverne les destinées de notre pays depuis cinq ans avec le succès que l’on connaît ?
Cette guerre est la conséquence de trente années d’erreurs politiques de la Russie, des États-Unis et de l’Union européenne. De duperies et de non-respect de la parole donnée aussi.
Une observation sévère et réaliste qui, dans l’inflation médiatique de surenchères et de rodomontades à laquelle nous assistons, souvent au détriment de nos propres intérêts, ne nuit pas.
Sur place, « l’Afrique réelle » est très partagée sur ce sujet, divisée par des intérêts nationaux divergents voire concurrents.
L’essayiste et politologue Guillaume Bigot revient, pour Boulevard Voltaire, sur les conséquences du conflit ukrainien, à l’aune de l’élection présidentielle française. Cela fait plusieurs jours que
Nous avons suivi le début du chemin de ces volontaires français. Un voyage entre têtes brûlées éprises d’idéal et les soldats perdus.
Un débat riche, dense, frontal, qui bouscule toutes les convictions, n’épargne personne et ouvre sur la complexité des origines de la tragédie ukrainienne.
Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.
Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.
Depuis la semaine dernière, les chefs des Églises orthodoxes se sont donc exprimés, tous appelant à la prière pour la paix, mais chacun défendant leur unité nationale.
C’était l’union des gauches et du centre contre le méchant habitant du Kremlin, qualifié d’« ogre », de « dictateur », de « tyran paranoïaque » ou encore d’« imbécile ».
Guerre économique et financière totale. Mais pas que. Guerre psychologique et symbolique totale.
« Halte au feu ! écrit-il, les délires bellicistes de ceux qui se croient à l’abri à l’arrière peuvent entraîner la planète dans un cataclysme nucléaire. »
Gérard Depardieu a supprimé de ses réseaux sociaux, sans donner d’explication, une photo où on le voyait apparaître aux côtés du président russe.
Après une crise sanitaire qui a paralysé le pays et annihilé les esprits pendant près de deux ans, une nouvelle crise, d’une autre nature certes, surgit et risque de poursuivre les effets catastrophiques déjà enregistrés sur le fonctionnement de notre démocratie.
Que dire si un quelconque génie s’avise d’accélérer l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN cette fois ? Au nom de l’article 5, cette guerre deviendrait alors la nôtre…
Poutine, d’une grande prudence depuis 22 ans, a clairement changé de stratégie.
Pour les autres candidats à l’Élysée, difficile de lutter contre ce Président martial qui, en Jupiter furieux, menace la Russie de la foudre.
Ukrainiennes, Ukrainiens, votre calvaire sera de courte durée. Poutine est foutu, Sandrine est dans la rue.
Le président ukrainien Zelensky a demandé, ce lundi 28 février, l’intégration sans délai de son pays à l’Union européenne. Jean-Paul Garraud, député RN au Parlement
Si l’Ukraine ne correspondait pas, géographiquement parlant, à la plus grande épine qu’il soit possible de mettre dans le pied de Vladimir Poutine, l’Occident s’érigerait-il en grand sauveur du peuple d’Ukraine ?
Un reportage anodin en apparence qui traduit l’indécence de cette pratique commerciale pourtant bien légale en Ukraine.
Le Président a jusqu’à ce vendredi, 18 heures, pour déposer sa candidature à l’élection présidentielle auprès du Conseil constitutionnel.
Nous pouvons accueillir les Ukrainiens. Ils partagent la culture de la vieille Europe, partagent aussi nos mœurs…
Les partis pris sans nuance résistent même au constat aveuglant des responsabilités russes dans le drame actuel qui se joue en Ukraine.
Demander à la Russie de battre sa coulpe aurait forcé la gauche à battre aussi la sienne.
A la question « Sommes-nous prêts à engager notre armée dans un tel conflit ? », la réponse est « Oui, mais pas sans notre peuple ».
Des paroles de bon sens qui, dans la bouche de Marine Le Pen ou d’Éric Zemmour, seraient considérées comme discriminatoires…
Sortira-t-on un jour du cauchemar imposé par le Président mondialiste qui gouverne les destinées de notre pays depuis cinq ans avec le succès que l’on connaît ?
Cette guerre est la conséquence de trente années d’erreurs politiques de la Russie, des États-Unis et de l’Union européenne. De duperies et de non-respect de la parole donnée aussi.