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Si Jean Dujardin a raillé la France en incarnant à trois reprises l’agent OSS 117, c’est en incarnant un patriote sincère. Un peu comme lui, somme toute.
Quand la reine de la soirée, la « meilleure actrice » de l’année, se refuse à tomber dans les pièges du wokisme et rend un vibrant hommage à la maternité et à la famille, ça mérite d’être relevé et salué.
Pour lancer une enseigne nouvelle, au moins faut-il un produit porteur à mettre sous vide en tête de gondole. Pour Christine Angot, ce sera l’inceste dont elle aurait été victime dans son enfance.
Ce déversement de haine participe au climat délétère qui règne en France contre les riches, les politiques, les vedettes et tous ceux qui jouissent d’une notoriété.
A la perspective d’une arrivée massive de citoyens chinois, elle sera jaune, bleue s’il s’agit de Schtroumpfs, verte avec des Martiens, etc. Le people bobo change de couleur au gré de l’idéologie ambiante.
On a de la compassion à revendre, dans ce milieu-là.
Un livre, Mea Culpa (Plon) et des chroniques désopilantes. Gaspard Proust est en train d’imposer sa patte dans la galaxie Bolloré. L’an dernier, les proustiens
Gina Lollobrigida qui fut jadis surnommée, non sans raison, « la plus belle femme du monde ».
L’actrice italienne, née le 4 juillet 1927 à Subiaco, au sud-est de Rome, et révélée dans Fanfan la Tulipe, est décédée le lundi 16 janvier à l’âge de 95 ans
Ne sommes-nous pas en train, par un retour de bâton ironique mais funeste, de donner une large audience au puritanisme islamique ?
Méconnaissable, le chouchou abritait une chochotte. Pire : le chouchou a déchu au rang de premier toutou de compagnie de madame son épouse, Meghan, avec un « h », pas comme les voitures…
Les mêmes gens qui ralentissent sur l’autoroute pour contempler les accidents achèteront à bon prix ce carambolage royal.
Cet épisode a priori bénin en dit finalement mieux qu’un long discours sur au moins deux choses : la naïveté des gens du show-biz et la duplicité du microcosme politique.
Omar Sy égratigne l’intérêt des Français pour la guerre en Ukraine : « Je suis surpris que les gens soient si atteints. Ca veut dire que quand c’est en Afrique, vous êtes moins atteints ? »
Être à la fois riche et de gauche demeure donc un sacerdoce de chaque instant.
Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.
Avec l’affaire Hussey, on retiendra peut-être que les Windsor entrent désormais de plain-pied dans l’ère woke. Pour que rien ne change… pour eux.
La comédienne sera l’arbre qui cache la forêt de ses propres écarts à la ligne écolo.
Dur constat : être bobo-gaucho ne suffit plus pour supporter Paris et ses nombreux ghettos.
Ce qui a pu passer pour de l’indifférence à certains moments, comme lors de la mort de la princesse Diana, n’était en fait que cette conscience que son personnage public dépassait de beaucoup sa personne privée.
Si le cinéma, à l’instar de la publicité, est devenu partie intégrante de la propagande autorisée, il peut parfois révéler certaines bonnes surprises. Des nanars
Tiens, d’ailleurs pourquoi cette comparaison à Zola ?
Tandis qu’on bat l’air avec son éventail, on est un peu surpris d’apprendre que la maison Yves Saint Laurent a organisé son dernier défilé dans le désert marocain d’Agafay.
Si même les princes et princesses se mettent à faire la révolution, où va le monde ?
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.
Imaginons que d’autres, à l’inverse, prennent fait et cause pour la candidate du Rassemblement national. Qu’adviendrait il ? Évincée de TPMP, Delphine Wespiser en a fait les frais
En indiquant sa préférence pour Marine Le Pen, Delphine Wespiser se fait, malgré son titre, le porte-parole des petits, des obscurs et des sans-grade.
Sur Twitter, ce 2 avril, le rappeur Booba a partagé cet extrait de l’émission, saluant, sans ironie, les propos d’Eric Zemmour.
Si Jean Dujardin a raillé la France en incarnant à trois reprises l’agent OSS 117, c’est en incarnant un patriote sincère. Un peu comme lui, somme toute.
Quand la reine de la soirée, la « meilleure actrice » de l’année, se refuse à tomber dans les pièges du wokisme et rend un vibrant hommage à la maternité et à la famille, ça mérite d’être relevé et salué.
Pour lancer une enseigne nouvelle, au moins faut-il un produit porteur à mettre sous vide en tête de gondole. Pour Christine Angot, ce sera l’inceste dont elle aurait été victime dans son enfance.
Ce déversement de haine participe au climat délétère qui règne en France contre les riches, les politiques, les vedettes et tous ceux qui jouissent d’une notoriété.
A la perspective d’une arrivée massive de citoyens chinois, elle sera jaune, bleue s’il s’agit de Schtroumpfs, verte avec des Martiens, etc. Le people bobo change de couleur au gré de l’idéologie ambiante.
On a de la compassion à revendre, dans ce milieu-là.
Un livre, Mea Culpa (Plon) et des chroniques désopilantes. Gaspard Proust est en train d’imposer sa patte dans la galaxie Bolloré. L’an dernier, les proustiens
Gina Lollobrigida qui fut jadis surnommée, non sans raison, « la plus belle femme du monde ».
L’actrice italienne, née le 4 juillet 1927 à Subiaco, au sud-est de Rome, et révélée dans Fanfan la Tulipe, est décédée le lundi 16 janvier à l’âge de 95 ans
Ne sommes-nous pas en train, par un retour de bâton ironique mais funeste, de donner une large audience au puritanisme islamique ?
Méconnaissable, le chouchou abritait une chochotte. Pire : le chouchou a déchu au rang de premier toutou de compagnie de madame son épouse, Meghan, avec un « h », pas comme les voitures…
Les mêmes gens qui ralentissent sur l’autoroute pour contempler les accidents achèteront à bon prix ce carambolage royal.
Cet épisode a priori bénin en dit finalement mieux qu’un long discours sur au moins deux choses : la naïveté des gens du show-biz et la duplicité du microcosme politique.
Omar Sy égratigne l’intérêt des Français pour la guerre en Ukraine : « Je suis surpris que les gens soient si atteints. Ca veut dire que quand c’est en Afrique, vous êtes moins atteints ? »
Être à la fois riche et de gauche demeure donc un sacerdoce de chaque instant.
Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.
Avec l’affaire Hussey, on retiendra peut-être que les Windsor entrent désormais de plain-pied dans l’ère woke. Pour que rien ne change… pour eux.
La comédienne sera l’arbre qui cache la forêt de ses propres écarts à la ligne écolo.
Dur constat : être bobo-gaucho ne suffit plus pour supporter Paris et ses nombreux ghettos.
Ce qui a pu passer pour de l’indifférence à certains moments, comme lors de la mort de la princesse Diana, n’était en fait que cette conscience que son personnage public dépassait de beaucoup sa personne privée.
Si le cinéma, à l’instar de la publicité, est devenu partie intégrante de la propagande autorisée, il peut parfois révéler certaines bonnes surprises. Des nanars
Tiens, d’ailleurs pourquoi cette comparaison à Zola ?
Tandis qu’on bat l’air avec son éventail, on est un peu surpris d’apprendre que la maison Yves Saint Laurent a organisé son dernier défilé dans le désert marocain d’Agafay.
Si même les princes et princesses se mettent à faire la révolution, où va le monde ?
«J’ai vu en mon temps cent artisans, cent laboureurs, plus sages et plus heureux que des recteurs de l’université », disait Montaigne en son temps. On pourrait rajouter cent footballeurs.
Imaginons que d’autres, à l’inverse, prennent fait et cause pour la candidate du Rassemblement national. Qu’adviendrait il ? Évincée de TPMP, Delphine Wespiser en a fait les frais
En indiquant sa préférence pour Marine Le Pen, Delphine Wespiser se fait, malgré son titre, le porte-parole des petits, des obscurs et des sans-grade.
Sur Twitter, ce 2 avril, le rappeur Booba a partagé cet extrait de l’émission, saluant, sans ironie, les propos d’Eric Zemmour.