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Les citoyens ont perdu toute confiance dans les instances chargées de dire le Bien ou le Mal.
Notre nation et notre République sont toutes deux en train de disparaître.
Ses arguments assument une insoumission résolue à l’ordre libéral-libertaire et post-national.
Comment être catholique, attaché à la doctrine sociale de l’Église, et acquiescer aux options ultralibérales de Macron ?
Le jeu n’a-t-il plus aucune règle, aucune limite, aucune décence ?
Inaugurée sous la pluie, sa présidence s’achèvera au milieu d’une titanesque tempête !
Eh oui, tout arrive et certaines tendances peuvent aussi se renverser…
L’ordre des choses est qu’un candidat à la présidentielle, ne s’habille pas, pour un débat, comme s’il allait laver sa bagnole.
Les deux candidats libéraux, Emmanuel Macron et François Fillon, totalisent entre 40 et 42 % des voix dans les sondages.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Pour une fois que soufflait un réel air de liberté par rapport à la macronisation des médias…
Les citoyens ont perdu toute confiance dans les instances chargées de dire le Bien ou le Mal.
Notre nation et notre République sont toutes deux en train de disparaître.
Ses arguments assument une insoumission résolue à l’ordre libéral-libertaire et post-national.
Comment être catholique, attaché à la doctrine sociale de l’Église, et acquiescer aux options ultralibérales de Macron ?
Le jeu n’a-t-il plus aucune règle, aucune limite, aucune décence ?
Inaugurée sous la pluie, sa présidence s’achèvera au milieu d’une titanesque tempête !
Eh oui, tout arrive et certaines tendances peuvent aussi se renverser…
L’ordre des choses est qu’un candidat à la présidentielle, ne s’habille pas, pour un débat, comme s’il allait laver sa bagnole.
Les deux candidats libéraux, Emmanuel Macron et François Fillon, totalisent entre 40 et 42 % des voix dans les sondages.
Après Emmanuel Macron, c’est au tour de Jean-Luc Mélenchon d’intéresser le microcosme médiatico-sondagiste.
Pour une fois que soufflait un réel air de liberté par rapport à la macronisation des médias…