Bagarre pour un masque : une allégorie
Cette atroce pandémie qui tue des dizaines de milliards de personnes a au moins le mérite de "décrisper les codes sociaux". C'est ça aussi, le nouveau monde.
Comment se fait-il que toutes ces femmes, parvenues ces dernières années aux sommets journalistiques, se transforment systématiquement en viragos ?
Lire la suite »Durant un mois, l'oreille rivée au poste, les épiciers de la bien-pensance se sont livrés à une comptabilité méticuleuse. Le bilan est terrible. L'émission tient une vitesse de croisière de 19 dérapages par jour.
Lire la suite »Le « comique » épinglé n’est pas un accident, c’est un symbole de l’orientation globale, à gauche toute, anti-catho, anti-flic, blottie dans un caniveau que des rires de potaches boutonneux éclaboussent par rafales.
Lire la suite »Joseph Thouvenel partage la pétition des Emancipés, un collectif qui exige la suppression de la contribution à l’audiovisuel public. Une manière de protester contre le refus des radios de service public de passer des publicités payantes pour les Chrétiens d’Orient en raison de leur dénomination “chrétien”. L’occasion de revenir avec Joseph Thouvenel sur ces “humoristes” qui tournent les chrétiens en dérision. Vous avez partagé une pétition des émancipés pour qu’ils exigent la suppression de la contribution à l’audio visuel public, le nouveau nom de la redevance télévisée que toute personne est censée payer à partir du moment où elle possède la télévision. Pourquoi avoir lancé cette initiative ? Une très grosse goutte vient de faire déborder le vase. Les radios de service public annoncent qu’elles ne vont pas passer de publicités payantes pour une organisation. Dans cette publicité, il y a le terme infamant de chrétiens d’Orient. On nous dit dans un premier temps que les règles déontologiques ne permettent pas de parler de chrétien dans les publicités des antennes de radio de service public. Il se trouve que je suis chrétien et j’estime qu’avec des millions d’hommes pendant des générations et des générations, nous sommes de…
Lire la suite »La mansuétude du CSA, comme la chronique pas drôle et insultante qu’elle refuse de sanctionner, alimente les clivages et l’atomisation de la société.
Lire la suite »Salauds de commerçants !
Lire la suite »Le ridicule et la vanité s’ajoutent à l’arrogance et au mépris.
Lire la suite »Le monsieur officie tous les matins sur RTL pour une chronique que ma grand-mère aurait pu tenir...
Lire la suite »France Inter est engraissé par nos deniers, autant les rentabiliser en usant de toute la bonne volonté nécessaire pour rire des chroniques humoristiques proposées, comme l’une des dernières en date, celle de Constance, à l’occasion de la Journée mondiale du scoutisme, mouvement dont la vocation est de faire grandir les jeunes dans la vie dans la nature et par la responsabilisation. Commençons. La chroniqueuse contrefait une voix aiguë pour imiter, semble-t-il, une scoute naïve et très fleur bleue. On est prié de se marrer. Le plateau, autour d’elle, s’exécute. C’est un peu forcé, mais c’est censé motiver les auditeurs. La famille fleurdelisée a produit 11 des 12 astronautes qui ont posé le pied sur la lune. Mais Constance, chroniqueuse, a décidé d’utiliser le sempiternel cliché du scoutisme, guitare-chamallow, en cette Journée mondiale du scoutisme instituée par Baden-Powell. Pourquoi pas. « Moi, j’ai la pêche, comme on dit dans le verger », commence-t-elle, suivie d’un rire, l’image est sympathiquement poétique. S’ensuit une ribambelle de jeux de mots dans le même ton, bon enfant : « Le scoutisme n’est pas la passion du scooter ! » Puis apparaît le principal registre humoristique employé, celui du contraste entre le personnage candide et les…
Lire la suite »Ainsi passe la gloire d'un vieil éléphant socialiste.
Lire la suite »« Jésus est pédé… » : c’est avec cette chanson que, vendredi 10 janvier dernier, sur France Inter, l’« humoriste » Frédéric Fromet a cru drôle de se moquer des catholiques. Ce n’est pas la première fois que les chrétiens sont tournés en dérision sur cette radio d’État financée par les Français, comme en témoigne cette vidéo de Boulevard Voltaire. Avec les réactions de Gilles-William Goldnadel et Charlotte d’Ornellas
Lire la suite »Si votre but est de provoquer les religions monothéistes au nom de la liberté d’expression et de défendre les causes des minorités, oseriez-vous nous faire une belle chanson comme ça, mais en changeant simplement le nom du prophète ?
Lire la suite »Les amuseurs publics ont une responsabilité morale énorme sur les épaules : celle d’être impartiaux.
Lire la suite »Cyprien Cini, de RTL, ne se serait pas moqué des numéros d'urgence s'il avait découvert l'astuce de la stratégie gouvernementale.
Lire la suite »Sous l’œil maternel de Léa Salamé qui mène l'interview, l'ex-NTM va tenter de relativiser les affirmations de notre Martin Luther King à nous.
Lire la suite »C’est beau, c’est grand. Surtout, ça ne mérite aucune discussion ni même interrogation, vu qu’il s’agit d’une « action citoyenne ».
Lire la suite »Étant moi-même une vieille chose de sexe féminin, je revendique, au nom de l’égalité et de la parité, le droit de rigoler et de m’agacer des génuflexions devant la gamine aux tresses.
Lire la suite »Un groupuscule nommé Sleeping Giants fait pression sur les annonceurs pour les pousser à se retirer de certains sites qu’ils qualifient « d’extrême droite ». Faisant le lien avec la loi Avia, Me Gilles-William Goldnadel réagit au micro de Boulevard Voltaire à un « article hagiographique » que leur consacre France Inter, radio publique qui « se fait l’auxiliaire zélé de militants d’extrême gauche » et dénonce, chez ces derniers, une conduite de « petits nervis néofascistes ». France Inter a sorti un article vantant l’action d’un groupuscule appelé « Sleeping Giants ». Ce groupuscule fait pression sur les annonceurs pour les forcer à retirer les publicités lorsqu’elles apparaissent sur certains sites. Est-ce gênant que France Inter fasse la promotion d’un groupe de lobbyistes ? Il s’agit d’un article hagiographique alors même que l’organisation explique qu’elle croit devoir s’en prendre à des sites d’extrême droite. Qu’elle soit dans la militance activiste, c’est une chose, mais qu’une radio de service public se fasse l’auxiliaire zélé de militants d’extrême gauche en est une autre. Ces militants s’en prennent à la liberté d’expression. Ils s’octroient le pouvoir discrétionnaire de décider qui est à droite et qui est à l’extrême droite. Ils s’emploient même à…
Lire la suite »Décidément, la pluralité des opinions ne plaît pas aux médias « mainstream » : après les insultes de Charline Vanhoenacker qualifiant l’émission de Thierry Ardisson de « putassière », c’est au tour de Sud Radio de se voir brocardée pour « négationnisme » par ses collègues. À l’image de LCI et CNews, à qui on reproche régulièrement d’accueillir Charlotte d’Ornellas ou Gabrielle Cluzel sur leurs plateaux. Réaction de Didier Maïsto au micro de Boulevard Voltaire. Sud Radio a été accusé d’être un média négationniste. Comment avez-vous pris ces critiques de la part de vos collègues ? Je les ai évidemment mal prises. Revenons sur les faits, si vous voulez bien. Dans un autre média que le nôtre, Étienne Chouard a été pris sous le feu croisé des questions de Mathias Enthoven et Denis Robert. Une question sur les chambres à gaz lui a été posée. Vu le contexte, il a répondu : « Je ne sais pas, je n’y étais pas, c’est quoi, cette question ? » Étienne Chouard n’est évidemment pas négationniste. Il fait simplement partie de cette lignée intellectuelle qui est pour la liberté d’expression. Je lui ai dit que sur un cas comme celui-là, avec toute l’émotion qu’il suscite, les faits…
Lire la suite »Dimanche soir, face aux caméras, Yannick Jadot est ému comme s’il venait de remporter la Coupe du monde.
Lire la suite »La première banderille est posée : il est riche, donc il ne peut pas être honnête.
Lire la suite »Le service public doit honorer la France par sa qualité, la faire valoir dans le monde. Il lui vomit dessus.
Lire la suite »Il vaut mieux se moquer des chrétiens, pas de risques de représailles : ils tendent l’autre joue.
Lire la suite »Le service public de l'audiovisuel donne le la de ce qu'il faut penser et dire.
Lire la suite »Mais le pire, pour un journaliste, ce n'est pas la partialité, facilement décelable, c'est de se croire libre en étant le transmetteur du conformisme.
Lire la suite »L’essayiste, journaliste et animateur de radio Guillaume Faye vient de disparaître à l’âge de 70 ans. Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire. Guillaume Faye nous a quittés ce 7 mars. Il était essayiste, journaliste, théoricien et animateur radio. On peut dire qu’il a vécu plusieurs vies. Quel souvenir garderez-vous de cet homme ? Je garde le souvenir de quelqu’un d’extrêmement créatif, imaginatif, original et très drôle aussi. Quand il était à Skyrock, il faisait le skyman. Son activité professionnelle était le canular téléphonique. C’était des canulars plutôt gentils. Ce n’était pas “la Ligue du LOL”. Il en a vécu quelques années. Je crois qu’il a laissé une œuvre intellectuelle intéressante. Plusieurs de ses livres m’ont paru et me paraissent toujours très importants. On a l’impression que c’est le seul à avoir réussi à passer de l’extrême droite à Skyrock puis de revenir à l’extrême droite. C’est tout à fait étonnant. Il a eu trois périodes dans sa vie. La première période est lorsqu’il travaillait pour le GRECE ou pour Éléments. Il a écrit deux ouvrages très importants : Le Système à tuer les peuples et Nouveau discours à la nation européenne. Ces livres ont été écrits…
Lire la suite »Dès l’annonce de l’arrivée de Zemmour sur un média, les femmes ferment les volets et font rentrer les enfants, les chroniqueurs se sauvent en poussant des cris horrifiés…
Lire la suite »Didier Maïsto, président de Sud Radio, a accordé un long entretien à Boulevard Voltaire. Gilets jaunes, politique, médias, sujets sociétaux : sans langue de bois, il apporte son analyse personnelle et percutante sur ces thèmes d’actualité. Peut-on dire que vous êtes pro-gilets jaunes ? Je suis le président de Sud Radio dont le slogan est “Parlons vrai”. Quand je les ai vus marcher et se rassembler dans la rue, j’ai voulu comprendre. J’avais déjà une sympathie naturelle pour le mouvement. J’ai cherché à mieux comprendre. Je me suis dit que, pour comprendre d’où venait ce mouvement, ce qui était revendiqué et quel changement de société ils voulaient, le mieux était de marcher avec eux. Plus je marche avec eux, plus je les comprends. Et moins les médias les comprennent. Je les comprends parce que je suis au milieu de la foule. En fait, ce sont les gens les plus courageux de la société française qui ont envie de reprendre en main leur destin. Ce destin leur échappe. On parle souvent de démocratie représentative, mais ça fait quarante ans qu’on leur fait le coup… Mitterrand, Chirac, “la fracture sociale”, “l’ascenseur social est en panne”, etc. Ensuite, Sarkozy et, aujourd’hui, Macron. Macron n’est…
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