Radio
Dimanche soir, face aux caméras, Yannick Jadot est ému comme s’il venait de remporter la Coupe du monde.
La première banderille est posée : il est riche, donc il ne peut pas être honnête.
Le service public doit honorer la France par sa qualité, la faire valoir dans le monde. Il lui vomit dessus.
Il vaut mieux se moquer des chrétiens, pas de risques de représailles : ils tendent l’autre joue.
Le service public de l’audiovisuel donne le la de ce qu’il faut penser et dire.
Mais le pire, pour un journaliste, ce n’est pas la partialité, facilement décelable, c’est de se croire libre en étant le transmetteur du conformisme.
L’essayiste, journaliste et animateur de radio Guillaume Faye vient de disparaître à l’âge de 70 ans. Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard
Dès l’annonce de l’arrivée de Zemmour sur un média, les femmes ferment les volets et font rentrer les enfants, les chroniqueurs se sauvent en poussant des cris horrifiés…
Didier Maïsto, président de Sud Radio, a accordé un long entretien à Boulevard Voltaire. Gilets jaunes, politique, médias, sujets sociétaux : sans langue de bois,
…les télévisions locales confirment plus que jamais leur utilité. Elles sont plus d’une centaine, aujourd’hui, à la rencontre du public avec un effet très positif sur la vie locale…
Quand nos journalistes s’interdisent d’évoquer un thème, c’est déjà, en soi, une désinformation par abstention.
Le pire (ou le meilleur) est que, même si Sophia Aram conspue ces gens-là, sans originalité, depuis des années, ils lui auraient fait bon accueil.
Ce n’est pas être vulgaire que d’écouter passionnément les citoyens.
Et cette tentative de Guillaume Meurice de faire passer les gilets jaunes pour une masse d’abrutis ? Bien essayé, mais un peu dangereux quand même, non ?
Certains disent que la GPA suivra la PMA. Ils ont tort, elle est déjà là.
Depuis l’élection de Macron, il ne se prive pas de dire tout le mal qu’il pense du Président jupitérien, sur sa chaîne Internet et ailleurs.
Ou comment échanger un soutien-gorge contre une couverture médiatique.
Après le virage à gauche concrétisé par l’arrivée de Patrick Cohen l’année dernière, la station effectue un repli vers la variété au service de l’info.
Ne plus croire aux fantômes, ne plus argumenter, c’est acquis. Mais pourquoi faut-il encore subvenir à leur existence ?
Rien que le titre est fortement accrocheur : tous les mots nécessaires y sont. Messe intégriste, LGBT et Simone Veil. De quoi allécher le lecteur.
Les bonnes âmes peuvent être rassurées : cet abominable personnage sévira de moins en moins sur nos ondes ou sur nos écrans.
Cela faisait quelque temps, déjà, que j’avais lu dans la rubrique « Horizons » du Monde un reportage remarquable de Soren Seelow sur Mourad Sadi, « l’innocent de
France 24 se vante, dans son slogan publicitaire, de donner « tous les avis » !
Goldorak est né hors-sol. Il est de partout, donc de nulle part.
Car c’est au nom de la « pédagogie » qu’il convient d’éduquer les électeurs afin de les aider à viser le tableau d’honneur et éviter les comportements déviants…
Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire avec ses hyènes de service.
Il n’y a pas UN jour le plus long dans l’année mais HUIT.
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.
Dimanche soir, face aux caméras, Yannick Jadot est ému comme s’il venait de remporter la Coupe du monde.
La première banderille est posée : il est riche, donc il ne peut pas être honnête.
Le service public doit honorer la France par sa qualité, la faire valoir dans le monde. Il lui vomit dessus.
Il vaut mieux se moquer des chrétiens, pas de risques de représailles : ils tendent l’autre joue.
Le service public de l’audiovisuel donne le la de ce qu’il faut penser et dire.
Mais le pire, pour un journaliste, ce n’est pas la partialité, facilement décelable, c’est de se croire libre en étant le transmetteur du conformisme.
L’essayiste, journaliste et animateur de radio Guillaume Faye vient de disparaître à l’âge de 70 ans. Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard
Dès l’annonce de l’arrivée de Zemmour sur un média, les femmes ferment les volets et font rentrer les enfants, les chroniqueurs se sauvent en poussant des cris horrifiés…
Didier Maïsto, président de Sud Radio, a accordé un long entretien à Boulevard Voltaire. Gilets jaunes, politique, médias, sujets sociétaux : sans langue de bois,
…les télévisions locales confirment plus que jamais leur utilité. Elles sont plus d’une centaine, aujourd’hui, à la rencontre du public avec un effet très positif sur la vie locale…
Quand nos journalistes s’interdisent d’évoquer un thème, c’est déjà, en soi, une désinformation par abstention.
Le pire (ou le meilleur) est que, même si Sophia Aram conspue ces gens-là, sans originalité, depuis des années, ils lui auraient fait bon accueil.
Ce n’est pas être vulgaire que d’écouter passionnément les citoyens.
Et cette tentative de Guillaume Meurice de faire passer les gilets jaunes pour une masse d’abrutis ? Bien essayé, mais un peu dangereux quand même, non ?
Certains disent que la GPA suivra la PMA. Ils ont tort, elle est déjà là.
Depuis l’élection de Macron, il ne se prive pas de dire tout le mal qu’il pense du Président jupitérien, sur sa chaîne Internet et ailleurs.
Ou comment échanger un soutien-gorge contre une couverture médiatique.
Après le virage à gauche concrétisé par l’arrivée de Patrick Cohen l’année dernière, la station effectue un repli vers la variété au service de l’info.
Ne plus croire aux fantômes, ne plus argumenter, c’est acquis. Mais pourquoi faut-il encore subvenir à leur existence ?
Rien que le titre est fortement accrocheur : tous les mots nécessaires y sont. Messe intégriste, LGBT et Simone Veil. De quoi allécher le lecteur.
Les bonnes âmes peuvent être rassurées : cet abominable personnage sévira de moins en moins sur nos ondes ou sur nos écrans.
Cela faisait quelque temps, déjà, que j’avais lu dans la rubrique « Horizons » du Monde un reportage remarquable de Soren Seelow sur Mourad Sadi, « l’innocent de
France 24 se vante, dans son slogan publicitaire, de donner « tous les avis » !
Goldorak est né hors-sol. Il est de partout, donc de nulle part.
Car c’est au nom de la « pédagogie » qu’il convient d’éduquer les électeurs afin de les aider à viser le tableau d’honneur et éviter les comportements déviants…
Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire avec ses hyènes de service.
Il n’y a pas UN jour le plus long dans l’année mais HUIT.
La réalité n’a aucune pitié pour Jean-Luc Mélenchon.