Manifestation des gilets jaunes

La 43e manifestation des gilets jaunes, samedi dernier, ne s’est pas trop bien passée.

Hélas, à Montpellier, ce 7 septembre, 500 Black Blocs accompagnant impunément quelques centaines de gilets jaunes se sont livrés à leurs dégradations habituelles. La récupération par l’extrême gauche est totale.

Ces salauds de gilets jaunes ont donc privé le Trésor public de précieuses amendes…

C’est pourtant évident. Qu’a été le mouvement gilet jaune, sinon un sous-marin jaune ?

C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…

La sociologie des gilets jaunes historiques est très proche de la sociologie des fans du Tour ; le mouvement dispose d’antennes locales dans tous les cantons de France…

Il est 5 heures, Toulouse s’éveille, ce samedi matin, rue des Filatiers. Cette nuit, la « fête de la Musique », rendez-vous annuel de l’abrutissement des masses

…je continue à juger légitime leur révolte initiale et leur cause dans son principe.

Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.

Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».

Non, Mesdames Binoche et Béart, les gilets jaunes ne vous demandent rien, et surtout pas votre fausse compassion de dames patronnesses, pousse-au-crime, qui justifient la violence.

Ce monde opportuniste et frileux n’avait guère soutenu un mouvement dont il était plutôt de bon ton de dire qu’il était d’essence populiste, voire fasciste !

Le gouvernement ne peut plus que croiser les doigts et espérer que cette flambée du carburant ne relancera pas les gilets jaunes !

Alors, on voudra bien me pardonner si les gilets jaunes m’apparaissent nettement moins prioritaires, aujourd’hui, que la France qui, si on laisse faire, applaudira avec masochisme au début de sa fin.

Démis de ses fonctions, l’homme pourrait sombrer dans la dépression, faire une bêtise et se voir admis en réanimation à la Salpêtrière. Ce serait ballot.

Polémique après l’intrusion de manifestants, le 1er mai, dans les locaux de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, intrusion que Christophe Castaner avait qualifiée, dans
Il semblerait que cette « attaque » n’ait jamais eu lieu que dans la vision macronienne du ministre de l’Intérieur

La réalité est assez simple, elle tient en quatre mots : « totale perte de crédibilité » d’Emmanuel Macron…

Nicolas Dupont-Aignan revient sur la manifestation du 1er mai à Paris, émaillée par des scènes de violence. Il dénonce, en particulier, « les manipulations permanentes

Notre reporter a suivi la mobilisation du 1er mai 2019 à Paris : son témoignage, entre défilé pacifique et affrontements avec les forces de l’ordre.

Le problème du financement de ces cadeaux est insoluble. Un État bien gouverné taillerait d’autant dans la dépense. Mais ce pouvoir ne fera rien.

Stanislas Guerini ? Un fusible tout neuf pour remettre la lumière à Matignon.

Tant pis si je me répète : je le dis, le redis et le reredis, ras le bol !

En somme, Macron n’a pas changé…

Mais les médias et les hommes politiques ont omis de dire que, le matin même, au départ de leur manifestation, les gilets jaunes avaient hurlé, avec la même force : « Ne vous suicidez pas, rejoignez-nous ! ».
Si chacun a raison, tout le monde a tort !

Les dernières injures « suicidez-vous ! » adressées aux forces de l’ordre sont bien évidemment ignominieuses…

Les professionnels de la profession montent à la une pour lui décerner la palme du martyre.

La 43e manifestation des gilets jaunes, samedi dernier, ne s’est pas trop bien passée.

Hélas, à Montpellier, ce 7 septembre, 500 Black Blocs accompagnant impunément quelques centaines de gilets jaunes se sont livrés à leurs dégradations habituelles. La récupération par l’extrême gauche est totale.

Ces salauds de gilets jaunes ont donc privé le Trésor public de précieuses amendes…

C’est pourtant évident. Qu’a été le mouvement gilet jaune, sinon un sous-marin jaune ?

C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…

La sociologie des gilets jaunes historiques est très proche de la sociologie des fans du Tour ; le mouvement dispose d’antennes locales dans tous les cantons de France…

Il est 5 heures, Toulouse s’éveille, ce samedi matin, rue des Filatiers. Cette nuit, la « fête de la Musique », rendez-vous annuel de l’abrutissement des masses

…je continue à juger légitime leur révolte initiale et leur cause dans son principe.

Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.

Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».

Non, Mesdames Binoche et Béart, les gilets jaunes ne vous demandent rien, et surtout pas votre fausse compassion de dames patronnesses, pousse-au-crime, qui justifient la violence.

Ce monde opportuniste et frileux n’avait guère soutenu un mouvement dont il était plutôt de bon ton de dire qu’il était d’essence populiste, voire fasciste !

Le gouvernement ne peut plus que croiser les doigts et espérer que cette flambée du carburant ne relancera pas les gilets jaunes !

Alors, on voudra bien me pardonner si les gilets jaunes m’apparaissent nettement moins prioritaires, aujourd’hui, que la France qui, si on laisse faire, applaudira avec masochisme au début de sa fin.

Démis de ses fonctions, l’homme pourrait sombrer dans la dépression, faire une bêtise et se voir admis en réanimation à la Salpêtrière. Ce serait ballot.

Polémique après l’intrusion de manifestants, le 1er mai, dans les locaux de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, intrusion que Christophe Castaner avait qualifiée, dans
Il semblerait que cette « attaque » n’ait jamais eu lieu que dans la vision macronienne du ministre de l’Intérieur

La réalité est assez simple, elle tient en quatre mots : « totale perte de crédibilité » d’Emmanuel Macron…

Nicolas Dupont-Aignan revient sur la manifestation du 1er mai à Paris, émaillée par des scènes de violence. Il dénonce, en particulier, « les manipulations permanentes

Notre reporter a suivi la mobilisation du 1er mai 2019 à Paris : son témoignage, entre défilé pacifique et affrontements avec les forces de l’ordre.

Le problème du financement de ces cadeaux est insoluble. Un État bien gouverné taillerait d’autant dans la dépense. Mais ce pouvoir ne fera rien.

Stanislas Guerini ? Un fusible tout neuf pour remettre la lumière à Matignon.

Tant pis si je me répète : je le dis, le redis et le reredis, ras le bol !

En somme, Macron n’a pas changé…

Mais les médias et les hommes politiques ont omis de dire que, le matin même, au départ de leur manifestation, les gilets jaunes avaient hurlé, avec la même force : « Ne vous suicidez pas, rejoignez-nous ! ».
Si chacun a raison, tout le monde a tort !

Les dernières injures « suicidez-vous ! » adressées aux forces de l’ordre sont bien évidemment ignominieuses…

Les professionnels de la profession montent à la une pour lui décerner la palme du martyre.
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