Voilà ce qu’il faudrait : des curés pas du tout Bisounours ou des religieux rugbymen…
Il y a un vaste tsunami, allant de l’Ouest vers l’Est, qui emporte tout sur son passage : cultures, traditions…
Pourquoi ai-je le sentiment qu’entre Sempé et nous, un gouffre s’est creusé ? Que s’est-il passé ?
Il ne s’agit pas ici d’une simple question prophylactique mais bien d’une question philosophique et plus spécifiquement anthropologique.
Il suffirait d’ouvrir un peu plus les frontières aux pays du tiers-monde et le tour serait joué.
Il est urgent de réagir. Il est temps de retrouver « La France contre les robots » chère à Bernanos.
Les écrans peuvent encombrer et même fatiguer nos yeux et notre cerveau, ils ne rassasient pas parce qu’ils nous désincarnent.
De quoi tout cela va-t-il accoucher ? Peut-être d’une souris ou d’un monstre, ou, finalement, une fois les fantasmes et les doux délires dépassés et apaisés, de rien du tout.
Un séisme de dimension planétaire dont nous ne soupçonnons pas encore les conséquences.
Cette année-là, nous prîmes tous l’avion en catastrophe pour Toulouse, avec juste quelques valises… en laissant les cercueils derrière nous.
Lors de leurs séances de « brainstorming »», les proches d’Emmanuel Macron ont élaboré ce qu’ils appellent un « scénario cauchemar ».
C’est pourtant évident. Qu’a été le mouvement gilet jaune, sinon un sous-marin jaune ?
Il est 5 heures, Toulouse s’éveille, ce samedi matin, rue des Filatiers. Cette nuit, la « fête de la Musique », rendez-vous annuel de l’abrutissement des masses
Si on ne comprend pas qu’il faut mettre un mouchoir sur nos sensibilités partisanes…
Tristesse de voir une fracture entre deux mondes s’accentuer de samedi en samedi.
Il manque un Bégaudeau aux 70 % de catholiques qui ont voté Macron, et tant qu’ils n’auront pas fait ce mea culpa, le dimanche à la messe, le baiser de paix me sera toujours pénible.
Une nouvelle page de l’Histoire de France est en train de s’écrire : celle où les Français sortent de chez eux et de leur torpeur et se parlent à nouveau, par-dessus les partis et les syndicats.
La chienlit n’est pas dans la rue mais à l’Élysée et à Bruxelles.
C’est devenu très clair : l’aigle américain après avoir colonisé l’Europe, veut la peau du vieil ours russe.
Il y a une grande misère : celle de la société des écrans et de la névrose qu’elle génère.
Ouvrons les yeux. Admettons-le une fois pour toutes. La France n’est pas seulement déchristianisée, elle est déspiritualisée, ce qui est plus grave.
Les centres commerciaux sont aussi horizontaux que les cathédrales sont verticales.
Le libéralisme libertaire, pour une fois, se prend les pieds dans le tapis.
Philippot a eu raison trop tôt. La France apaisée c’était lui. Désormais, ce sera la guerre, le sang et les larmes.
Ce n’est pas la droite qu’il faut reconstruire, c’est la France qu’il faut reconquérir.
Le rideau de fer est tombé en quelques mois ; le rideau d’argent, plus subtil, plus insidieux, mettra plus de temps à tomber, mais il tombera.
Le processus politique en cours est un processus lent né il y a 25 ans (Macron avait alors 14 ans) et il n’est pas près de s’arrêter.
On a vite fait de l’enterrer, la Marine. On ne l’enterre pas, on la coule comme à Mers-El-Kébir.
Voilà ce qu’il faudrait : des curés pas du tout Bisounours ou des religieux rugbymen…
Il y a un vaste tsunami, allant de l’Ouest vers l’Est, qui emporte tout sur son passage : cultures, traditions…
Pourquoi ai-je le sentiment qu’entre Sempé et nous, un gouffre s’est creusé ? Que s’est-il passé ?
Il ne s’agit pas ici d’une simple question prophylactique mais bien d’une question philosophique et plus spécifiquement anthropologique.
Il suffirait d’ouvrir un peu plus les frontières aux pays du tiers-monde et le tour serait joué.
Il est urgent de réagir. Il est temps de retrouver « La France contre les robots » chère à Bernanos.
Les écrans peuvent encombrer et même fatiguer nos yeux et notre cerveau, ils ne rassasient pas parce qu’ils nous désincarnent.
De quoi tout cela va-t-il accoucher ? Peut-être d’une souris ou d’un monstre, ou, finalement, une fois les fantasmes et les doux délires dépassés et apaisés, de rien du tout.
Un séisme de dimension planétaire dont nous ne soupçonnons pas encore les conséquences.
Cette année-là, nous prîmes tous l’avion en catastrophe pour Toulouse, avec juste quelques valises… en laissant les cercueils derrière nous.
Lors de leurs séances de « brainstorming »», les proches d’Emmanuel Macron ont élaboré ce qu’ils appellent un « scénario cauchemar ».
C’est pourtant évident. Qu’a été le mouvement gilet jaune, sinon un sous-marin jaune ?
Il est 5 heures, Toulouse s’éveille, ce samedi matin, rue des Filatiers. Cette nuit, la « fête de la Musique », rendez-vous annuel de l’abrutissement des masses
Si on ne comprend pas qu’il faut mettre un mouchoir sur nos sensibilités partisanes…
Tristesse de voir une fracture entre deux mondes s’accentuer de samedi en samedi.
Il manque un Bégaudeau aux 70 % de catholiques qui ont voté Macron, et tant qu’ils n’auront pas fait ce mea culpa, le dimanche à la messe, le baiser de paix me sera toujours pénible.
Une nouvelle page de l’Histoire de France est en train de s’écrire : celle où les Français sortent de chez eux et de leur torpeur et se parlent à nouveau, par-dessus les partis et les syndicats.
La chienlit n’est pas dans la rue mais à l’Élysée et à Bruxelles.
C’est devenu très clair : l’aigle américain après avoir colonisé l’Europe, veut la peau du vieil ours russe.
Il y a une grande misère : celle de la société des écrans et de la névrose qu’elle génère.
Ouvrons les yeux. Admettons-le une fois pour toutes. La France n’est pas seulement déchristianisée, elle est déspiritualisée, ce qui est plus grave.
Les centres commerciaux sont aussi horizontaux que les cathédrales sont verticales.
Le libéralisme libertaire, pour une fois, se prend les pieds dans le tapis.
Philippot a eu raison trop tôt. La France apaisée c’était lui. Désormais, ce sera la guerre, le sang et les larmes.
Ce n’est pas la droite qu’il faut reconstruire, c’est la France qu’il faut reconquérir.
Le rideau de fer est tombé en quelques mois ; le rideau d’argent, plus subtil, plus insidieux, mettra plus de temps à tomber, mais il tombera.
Le processus politique en cours est un processus lent né il y a 25 ans (Macron avait alors 14 ans) et il n’est pas près de s’arrêter.
On a vite fait de l’enterrer, la Marine. On ne l’enterre pas, on la coule comme à Mers-El-Kébir.
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