L’aide au développement sera amputée de 2 milliards d’euros, en 2025

Selon le magazine Challenges, l’aide française au développement va être amputée de 2 milliards d’euros dans le budget 2025 : elle serait donc « la mission qui a subi la coupe la plus sévère ». Ce financement avait bondi de 45 %, lors du premier quinquennat d'Emmanuel Macron. Challenges y voit les conséquences de l’austérité budgétaire, mais aussi de la « violente campagne orchestrée notamment par l’eurodéputée Reconquête Sarah Knafo ». Le député RN Guillaume Bigot avait par ailleurs conduit sur l’AFD, en février 2025, une mission pour avis budgétaire au nom de la commission des Affaires étrangères, assortie de fortes critiques dont il avait fait part à BV. Sarah Knafo, qui avait elle aussi été reçue par BV, se félicite de cette coupe : « Deux milliards sur seize, ce n'est évidemment pas assez, écrit-elle, sur X. Mais une prise de conscience doit toujours démarrer quelque part ! »
Très heureuse d'apprendre que depuis mes révélations sur l'aide publique au développement, le gouvernement annonce enfin couper dans ces gabegies.
Deux milliards sur seize, ce n'est évidemment pas assez. Mais une prise de conscience doit toujours démarrer quelque part ! pic.twitter.com/EZ3RnTRj27
— Sarah Knafo (@knafo_sarah) April 30, 2025
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66 commentaires
Les 15 milliards de l’aide publique au développement donnés par la France, pour les 2 milliards c’est un bon début !
Au moins Reconquête, même en ayant seulement 1 député à l’U.E., les 4 autres traitres s’étant servi de la notoriété du parti, des voix de ses électeurs et des fonds de ses cotisants étant allés voir ailleurs, honte à eux en passant, donc Reconquête sans élu ou presque influence largement la politique, 2 milliards c’est peu, mais il faut un commencement et c’est déjà ça !
On ne peut qu’espérer la poursuite de coupes sombres dans les conséquences financières de décisions courtelinesques prises sans que bien évidemment le contribuable ait son mot à dire. Il est donc indispensable de soutenir S. Knafo dans la poursuite d’investigations, apparemment suivies d’un peu d’effet, pour mettre fin à des aberrations.