Théâtre

Voir ce spectacle oblige à regarder en direction de cette lumière descendue du ciel sur terre.

Dans les rues, les comédiens abordent le chaland pour vendre leur marchandise, les tracts jonchent le sol.

Adaptée d’un livre de Christian Bobin, la pièce, intimiste, mêle réflexions poétiques et musique.

Le classicisme est rétrograde (voir plus haut), donc facho, donc d’extrême droite.

Critiques dithyrambiques et autres pâmoisons fleurissent dans la grande presse.

Une pièce salutaire qui combat la médiocrité et redonne du souffle à la pureté de l’idéal amoureux.
Le temps n’est-il pas venu d’inverser enfin la tendance et de parler uniquement de ce qui est beau, juste et vrai ?

Si le festival in d’Avignon peut apparaître comme institutionnel, le off est l’occasion de découvrir des pépites.

Pauvre France ! Fallait-il que ces résistants, ces martyrs, assistent depuis le ciel à ces mascarades officielles ?

Les artistes sont-ils toujours dans la recherche du beau ou sont-ils lancés dans une course à la woke attitude ?

Crêpage de chignon jubilatoire en vue entre féministes et progressistes. Jeanne, accusée du crime d’hérésie, l’a été comme, de nos jours, beaucoup qui s’élèvent contre le totalitarisme LGBT.

Un spectacle qui promet et qui ne cache pas sa démesure, à l’image de Notre-Dame.

Quelle tristesse de voir Molière mis à toutes les sauces et récupéré par les faux dévots médiatiques, les Tartuffe et les Trissotin de notre temps !

Il paraît que cette mise en scène est un fruit du confinement. Comment dire… Il est grand temps de déconfiner Molière et de l’arracher aux vrais dévots tout de sombre vêtus et qui voient le mal partout !

Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?

Bref, la place de Molière n’est guère au Panthéon des grands hommes de la République.

Hélas, l’explication ne vient en rien résoudre l’énigme : « Ainsi, toutes les petites filles peuvent rêver qu’elles sont aussi des princesses ».
Le réalisateur a notamment suscité la controverse en qualifiant le mouvement #MeToo de « chasse aux sorcières » et s’est dit « fatigué que les hommes blancs soient accusés de tout ce qui ne va pas dans le monde »…

Dans un souci d’« intersectionnalité » au goût du jour, le personnage – qu’on avait l‘habitude de voir assez couillu – est incarné par… une dame : Nathalie Mann.

Il se trouve des élus pour prendre ces élucubrations au sérieux…

Ce monsieur ne transige pas. Il incarne le bien, lui.

Cette imposture est un fléau qui, depuis plus de trente ans, mine et ridiculise le théâtre et l’opéra…

Force est d’avouer que tout cela est grandiose et l’on est admiratif face à tant d’invention techno-administrative dans la gestion de l’épidémie.

Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.

Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…

Puisse-il avoir rejoint Celui en qui il s’efforçait de croire. Nous ne doutons pas que Lui croyait en Michael.

Entretien exclusif avec cet « anar de droite » qui veut représenter le « beauf franchouillard » !

À Perpignan, après l’élection de Louis Aliot à la mairie, la comédie de la Résistance a repris son cours, menée par des artistes bien-pensants.

Voir ce spectacle oblige à regarder en direction de cette lumière descendue du ciel sur terre.

Dans les rues, les comédiens abordent le chaland pour vendre leur marchandise, les tracts jonchent le sol.

Adaptée d’un livre de Christian Bobin, la pièce, intimiste, mêle réflexions poétiques et musique.

Le classicisme est rétrograde (voir plus haut), donc facho, donc d’extrême droite.

Critiques dithyrambiques et autres pâmoisons fleurissent dans la grande presse.

Une pièce salutaire qui combat la médiocrité et redonne du souffle à la pureté de l’idéal amoureux.
Le temps n’est-il pas venu d’inverser enfin la tendance et de parler uniquement de ce qui est beau, juste et vrai ?

Si le festival in d’Avignon peut apparaître comme institutionnel, le off est l’occasion de découvrir des pépites.

Pauvre France ! Fallait-il que ces résistants, ces martyrs, assistent depuis le ciel à ces mascarades officielles ?

Les artistes sont-ils toujours dans la recherche du beau ou sont-ils lancés dans une course à la woke attitude ?

Crêpage de chignon jubilatoire en vue entre féministes et progressistes. Jeanne, accusée du crime d’hérésie, l’a été comme, de nos jours, beaucoup qui s’élèvent contre le totalitarisme LGBT.

Un spectacle qui promet et qui ne cache pas sa démesure, à l’image de Notre-Dame.

Quelle tristesse de voir Molière mis à toutes les sauces et récupéré par les faux dévots médiatiques, les Tartuffe et les Trissotin de notre temps !

Il paraît que cette mise en scène est un fruit du confinement. Comment dire… Il est grand temps de déconfiner Molière et de l’arracher aux vrais dévots tout de sombre vêtus et qui voient le mal partout !

Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?

Bref, la place de Molière n’est guère au Panthéon des grands hommes de la République.

Hélas, l’explication ne vient en rien résoudre l’énigme : « Ainsi, toutes les petites filles peuvent rêver qu’elles sont aussi des princesses ».
Le réalisateur a notamment suscité la controverse en qualifiant le mouvement #MeToo de « chasse aux sorcières » et s’est dit « fatigué que les hommes blancs soient accusés de tout ce qui ne va pas dans le monde »…

Dans un souci d’« intersectionnalité » au goût du jour, le personnage – qu’on avait l‘habitude de voir assez couillu – est incarné par… une dame : Nathalie Mann.

Il se trouve des élus pour prendre ces élucubrations au sérieux…

Ce monsieur ne transige pas. Il incarne le bien, lui.

Cette imposture est un fléau qui, depuis plus de trente ans, mine et ridiculise le théâtre et l’opéra…

Force est d’avouer que tout cela est grandiose et l’on est admiratif face à tant d’invention techno-administrative dans la gestion de l’épidémie.

Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.

Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…

Puisse-il avoir rejoint Celui en qui il s’efforçait de croire. Nous ne doutons pas que Lui croyait en Michael.

Entretien exclusif avec cet « anar de droite » qui veut représenter le « beauf franchouillard » !

À Perpignan, après l’élection de Louis Aliot à la mairie, la comédie de la Résistance a repris son cours, menée par des artistes bien-pensants.
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