Suède
Après avoir été une importante terre d’accueil, la Suède revoit totalement sa copie et ne lésine pas sur les moyens.
La Suède, « divisée » à la suite d’une politique migratoire défaillante, poursuit sa lutte contre l’immigration.
Un début de salut nous viendrait donc des pays nordiques, la Suède en l’occurrence.
Gabriel Attal aura-t-il l’idée de regarder la facture salée que représentent les infrastructures numériques à l’école ?
Une immigration massive a entraîné le développement conjoint de l’islamisme et des trafics de drogue et d’armes.
Pour le premier ministre suédois, une immigration massive associée à une mauvaise intégration ne fonctionne pas
La police avait refusé à Rasmus Paludan l’autorisation d’organiser de nouvelles manifestations à Norrköping, mais le 20 mars, la cour d’appel a conclu que l’interprétation de l’ordonnance était incorrecte,
Après des années de politique migratoire laxiste, le peuple suédois a compris ce qu’il lui en coûtait.
Les politiques, longtemps complices de l’ouverture massive des frontières, établissent désormais sans sourciller le lien entre immigration et criminalité.
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !
Le mal du pays, l’envie de passer faire la bise au tyran, la nostalgie des tirs d’obus… Le demandeur d’asile ne peut résister au charme d’un séjour plein de rebondissements.
Les « Démocrates de Suède » deviennent ainsi le deuxième parti politique du pays, derrière celui, historique, des « Sociaux-démocrates ».
Le Premier ministre de Suède Magdalena Andersson a reconnu explicitement la faillite de la politique d’accueil inconditionnel des immigrés menée depuis vingt ans dans son pays.
Cette récurrence insurrectionnelle qui voit forces de l’ordre et jeunes immigrés s’affronter dans la rue en dit long sur la fragilité du modèle multiculturel suédois.
Aux yeux du politiquement correct – appellation moderne du panurgisme –, la décision de l’Académie suédoise est une provocation, voire un blasphème.
Malgré sa jeunesse, Izabella ferraille non pas contre le désastre écologique mais contre un désastre bien plus grand : le désastre anthropologique et culturel qui menace la Suède.
Pas un mot sur le pourquoi du vote « extrême » et la montée des partis qualifiés, avec mépris, de populistes.
Mais les promoteurs de cet événement « Statement » tentent de cacher la raison…
Mais l’ampleur du désastre migratoire n’a d’égale que celle de l’omerta qui l’entoure.
Que les victimes potentielles se débrouillent avec les moyens du bord. Et bonne chance !
Arte a diffusé un reportage glaçant sur le destin tragique d’une Suédoise prénommée Eva-Marree…
Ebba avait 11 ans. Elle ne rentrera plus jamais de l’école : elle a été assassinée, ainsi que quatre autres de ses compatriotes, à Stockholm, par un Ouzbek.
Après avoir été une importante terre d’accueil, la Suède revoit totalement sa copie et ne lésine pas sur les moyens.
La Suède, « divisée » à la suite d’une politique migratoire défaillante, poursuit sa lutte contre l’immigration.
Un début de salut nous viendrait donc des pays nordiques, la Suède en l’occurrence.
Gabriel Attal aura-t-il l’idée de regarder la facture salée que représentent les infrastructures numériques à l’école ?
Une immigration massive a entraîné le développement conjoint de l’islamisme et des trafics de drogue et d’armes.
Pour le premier ministre suédois, une immigration massive associée à une mauvaise intégration ne fonctionne pas
La police avait refusé à Rasmus Paludan l’autorisation d’organiser de nouvelles manifestations à Norrköping, mais le 20 mars, la cour d’appel a conclu que l’interprétation de l’ordonnance était incorrecte,
Après des années de politique migratoire laxiste, le peuple suédois a compris ce qu’il lui en coûtait.
Les politiques, longtemps complices de l’ouverture massive des frontières, établissent désormais sans sourciller le lien entre immigration et criminalité.
Peu importe si, « à terme », la boucherie-charcuterie du village sera remplacée par une boucherie halal ou un kebab ! Si ça correspond aux besoins de « la population du territoire », on ne voit pas où est le problème !
Le mal du pays, l’envie de passer faire la bise au tyran, la nostalgie des tirs d’obus… Le demandeur d’asile ne peut résister au charme d’un séjour plein de rebondissements.
Les « Démocrates de Suède » deviennent ainsi le deuxième parti politique du pays, derrière celui, historique, des « Sociaux-démocrates ».
Le Premier ministre de Suède Magdalena Andersson a reconnu explicitement la faillite de la politique d’accueil inconditionnel des immigrés menée depuis vingt ans dans son pays.
Cette récurrence insurrectionnelle qui voit forces de l’ordre et jeunes immigrés s’affronter dans la rue en dit long sur la fragilité du modèle multiculturel suédois.
Aux yeux du politiquement correct – appellation moderne du panurgisme –, la décision de l’Académie suédoise est une provocation, voire un blasphème.
Malgré sa jeunesse, Izabella ferraille non pas contre le désastre écologique mais contre un désastre bien plus grand : le désastre anthropologique et culturel qui menace la Suède.
Pas un mot sur le pourquoi du vote « extrême » et la montée des partis qualifiés, avec mépris, de populistes.
Mais les promoteurs de cet événement « Statement » tentent de cacher la raison…
Mais l’ampleur du désastre migratoire n’a d’égale que celle de l’omerta qui l’entoure.
Que les victimes potentielles se débrouillent avec les moyens du bord. Et bonne chance !
Arte a diffusé un reportage glaçant sur le destin tragique d’une Suédoise prénommée Eva-Marree…
Ebba avait 11 ans. Elle ne rentrera plus jamais de l’école : elle a été assassinée, ainsi que quatre autres de ses compatriotes, à Stockholm, par un Ouzbek.