Longtemps exaltée, la mobilité s’assimile donc désormais pour tant d’États européens à une lutte pour leur propre survie.
Ce projet est à l’image des ronds-points qui fleurissent partout pour des prix faramineux pendant que Stéphane Bern s’échine pour sauver notre patrimoine.
Non seulement les gilets jaunes ont été les premières victimes des débordements, mais ce sont bien les autorités qui laissent, depuis des années, pulluler ces groupuscules anarchistes.
L’intérêt supérieur national aura donc transcendé les différences ethniques et sexuelles.
L’école, qui a pourtant vocation à réduire les inégalités, se trouve en être le premier lieu d’expression.
L’on apprend ainsi que Bruxelles se chargerait de notre sécurité. On est heureux de l’apprendre puisque, jusqu’à présent, notre quotidien nous laissait plutôt à penser l’inverse.
Mais pour François Legault, tout devra plier ou rompre : la non-maîtrise de la langue de Molière au terme d’un séjour de trois ans vaudra renvoi au pays.
…un professeur de droit de la laïcité en a profité pour prétendre que la loi de 2004 sur l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires était une dérive islamophobe de la loi de 1905.
À pas de loup et en un temps record, l’Empire céleste aura effectivement fait de l’Afrique sa chasse gardée.
…les petits patrons, loin d’être des brutes ou des truands, sont avant tout le moteur de l’emploi en France.
Mais l’ampleur du désastre migratoire n’a d’égale que celle de l’omerta qui l’entoure.
En réalité, derrière cette volonté de régularisation se profile plutôt l’idée que nos gouvernants craignent plus que jamais la montée des partis politiques « d’extrême droite » dans l’Union européenne…
Comme chaque idée irénique pensée par l’Union, l’échec est patent.
Derrière cette révolution silencieuse, se profile un changement fondamental de notre modèle économique.
Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
L’insuffisance de mise en œuvre de mesures adaptées par la RCA, et le trop plein d’intrusions des intervenants internationaux dans l’ensemble du continent africain, nous amènent à anticiper un risque d’aggravation de la vague d’immigration…
Ses phrases cachent des intentions et une philosophie politique extrêmement problématiques.
Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
La loi relative à l’accaparement des terres agricoles a été en partie invalidée par le Conseil constitutionnel en mars 2017.
Décrié, critiqué, haï même, Donald Trump fait pourtant le « job ».
Si la fraude sociale ne disparaîtra pas « du jour au lendemain », son éradication exigera davantage de simples effets de manche.
Tout coûte de plus en plus cher, et nos infrastructures sont vieillissantes.
Avec chacune de nos entreprises, c’est un pan de notre savoir-faire et de notre souveraineté industrielle qui s’effondre.
Trois candidats se sont proposés pour reprendre le groupe : les Espagnols de Sidenor, les Suisses Schmolz + Bickenbach et l’Anglo-Indien Liberty Steel.
Ce haro sur les automobilistes sera probablement le coup de grâce pour les commerces de centre-ville déjà moribonds.
Lors de la dernière réunion de la commission culture du Parlement européen nous ont été présentées trois analyses sur la politique culturelle de l’UE à l’égard des réfugiés.
Longtemps exaltée, la mobilité s’assimile donc désormais pour tant d’États européens à une lutte pour leur propre survie.
Ce projet est à l’image des ronds-points qui fleurissent partout pour des prix faramineux pendant que Stéphane Bern s’échine pour sauver notre patrimoine.
Non seulement les gilets jaunes ont été les premières victimes des débordements, mais ce sont bien les autorités qui laissent, depuis des années, pulluler ces groupuscules anarchistes.
L’intérêt supérieur national aura donc transcendé les différences ethniques et sexuelles.
L’école, qui a pourtant vocation à réduire les inégalités, se trouve en être le premier lieu d’expression.
L’on apprend ainsi que Bruxelles se chargerait de notre sécurité. On est heureux de l’apprendre puisque, jusqu’à présent, notre quotidien nous laissait plutôt à penser l’inverse.
Mais pour François Legault, tout devra plier ou rompre : la non-maîtrise de la langue de Molière au terme d’un séjour de trois ans vaudra renvoi au pays.
…un professeur de droit de la laïcité en a profité pour prétendre que la loi de 2004 sur l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires était une dérive islamophobe de la loi de 1905.
À pas de loup et en un temps record, l’Empire céleste aura effectivement fait de l’Afrique sa chasse gardée.
…les petits patrons, loin d’être des brutes ou des truands, sont avant tout le moteur de l’emploi en France.
Mais l’ampleur du désastre migratoire n’a d’égale que celle de l’omerta qui l’entoure.
En réalité, derrière cette volonté de régularisation se profile plutôt l’idée que nos gouvernants craignent plus que jamais la montée des partis politiques « d’extrême droite » dans l’Union européenne…
Comme chaque idée irénique pensée par l’Union, l’échec est patent.
Derrière cette révolution silencieuse, se profile un changement fondamental de notre modèle économique.
Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
L’insuffisance de mise en œuvre de mesures adaptées par la RCA, et le trop plein d’intrusions des intervenants internationaux dans l’ensemble du continent africain, nous amènent à anticiper un risque d’aggravation de la vague d’immigration…
Ses phrases cachent des intentions et une philosophie politique extrêmement problématiques.
Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
La loi relative à l’accaparement des terres agricoles a été en partie invalidée par le Conseil constitutionnel en mars 2017.
Décrié, critiqué, haï même, Donald Trump fait pourtant le « job ».
Si la fraude sociale ne disparaîtra pas « du jour au lendemain », son éradication exigera davantage de simples effets de manche.
Tout coûte de plus en plus cher, et nos infrastructures sont vieillissantes.
Avec chacune de nos entreprises, c’est un pan de notre savoir-faire et de notre souveraineté industrielle qui s’effondre.
Trois candidats se sont proposés pour reprendre le groupe : les Espagnols de Sidenor, les Suisses Schmolz + Bickenbach et l’Anglo-Indien Liberty Steel.
Ce haro sur les automobilistes sera probablement le coup de grâce pour les commerces de centre-ville déjà moribonds.
Lors de la dernière réunion de la commission culture du Parlement européen nous ont été présentées trois analyses sur la politique culturelle de l’UE à l’égard des réfugiés.