nucléaire
L’Assemblée vote, ce mardi 19 mars en dernière lecture, le rapprochement de deux organisations nucléaires françaises
Ia Anstoot s’est adressée à Greenpeace pour lui demander de réviser sa position sur le nucléaire
Pauvre Greta Thunberg, la pauvrette va avoir besoin d’une cellule de soutien psychologique…
Sous couvert d’objectifs écologiques, deux études ont fait du nucléaire français leur cible privilégiée.
Pendant vingt ans, on a détruit un outil industriel majeur et on s’en est rendu compte un peu tard.
C’est le gaz qui viendra inexorablement suppléer au déficit d’anticipation politique.
Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d’alerte écologiste. Il est l’auteur de Éoliennes : la face noire de la
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
En confiant tout au politique, on abandonne la science des ingénieurs (celle qui nous faisait faire des plans Mesmer et des révolutions vertes à la Norman Borlaug) pour la science des législateurs.
Un chef-d’œuvre d’irresponsabilité orchestré par l’Union européenne.
Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Retour sur les 10 ans qui ont tué l’industrie nucléaire.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Dédier en priorité la production nucléaire au marché français est justifié par le fait que ce sont les consommateurs français qui portent en principal le risque financier, via un tarif régulé reflétant les coûts…
Concrètement, le nucléaire français en fonctionnement émet moins de deux fois moins de gaz carbonique par kilowattheure que l’éolien.
Qu’elle semble loin, l’époque où le monde entier lorgnait sur la France et son gigantesque parc nucléaire. Une énergie décarbonée, efficace et à bas prix, qui ravissait et rendait fiers tous les Français.
Organisée par le Cérémé, « Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique », une organisation qui ne cache pas son hostilité envers l’énergie éolienne, ce rassemblement avait pour but de montrer en quoi un mix faisant la part belle au nucléaire était la seule option viable pour l’avenir énergétique français
Les niveaux inédits de prix atteints par le gaz, fin 2021, deviendront structurels dans les années à venir, sans présager des conflits sociaux que cette situation pourrait engendrer.
L’antinucléarisme de Jean-Luc Mélenchon est symptomatique du changement de logiciel de la gauche.
L’expérience de Flamanville n’incite guère à l’optimisme : cet EPR n’est toujours pas opérationnel, malgré un début de construction en 2007 pour production en 2018.
Apparemment, Emmanuel Macron n’a pas compris cette guerre.
Le problème, avec le nucléaire, c’est que l’on est dans l’idéologie et non dans la raison scientifique.
Empressons-nous de rassurer ceux de nos compatriotes que ce tout petit monde s’efforce benoîtement de terrifier à dessein, depuis des décennies.
Il y a quelques jours est née l’association de Défense du Patrimoine Nucléaire et du Climat…
On a stoppé Fessenheim, qui produisait deux gigawatts électriques. Cette décision de Macron, d’une bêtise effrayante, montre la misère intellectuelle de cet homme et de ceux qui l’entourent, dans le domaine des sciences et de la technologie.
Le procédé est à ajouter aux méthodes bien éprouvées de l’extrême gauche toujours prête à réduire la liberté d’expressio
Après les nombreux dysfonctionnements et arrêts de travail dans la construction de l’EPR de Flamanville, nos experts vont-ils oser prétendre que l’électricité nucléaire est la plus sûre ?
Pour lutter efficacement contre l’indéniable réchauffement climatique, il va falloir disposer de beaucoup d’énergie.
L’Assemblée vote, ce mardi 19 mars en dernière lecture, le rapprochement de deux organisations nucléaires françaises
Ia Anstoot s’est adressée à Greenpeace pour lui demander de réviser sa position sur le nucléaire
Pauvre Greta Thunberg, la pauvrette va avoir besoin d’une cellule de soutien psychologique…
Sous couvert d’objectifs écologiques, deux études ont fait du nucléaire français leur cible privilégiée.
Pendant vingt ans, on a détruit un outil industriel majeur et on s’en est rendu compte un peu tard.
C’est le gaz qui viendra inexorablement suppléer au déficit d’anticipation politique.
Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d’alerte écologiste. Il est l’auteur de Éoliennes : la face noire de la
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
En confiant tout au politique, on abandonne la science des ingénieurs (celle qui nous faisait faire des plans Mesmer et des révolutions vertes à la Norman Borlaug) pour la science des législateurs.
Un chef-d’œuvre d’irresponsabilité orchestré par l’Union européenne.
Chacun est devant ses responsabilités. Notamment Emmanuel Macron qui, dans le sillage de François Hollande, a décidé de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, mais aussi Édouard Philippe et Élisabeth Borne, qui l’ont entérinée.
Retour sur les 10 ans qui ont tué l’industrie nucléaire.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Dédier en priorité la production nucléaire au marché français est justifié par le fait que ce sont les consommateurs français qui portent en principal le risque financier, via un tarif régulé reflétant les coûts…
Concrètement, le nucléaire français en fonctionnement émet moins de deux fois moins de gaz carbonique par kilowattheure que l’éolien.
Qu’elle semble loin, l’époque où le monde entier lorgnait sur la France et son gigantesque parc nucléaire. Une énergie décarbonée, efficace et à bas prix, qui ravissait et rendait fiers tous les Français.
Organisée par le Cérémé, « Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique », une organisation qui ne cache pas son hostilité envers l’énergie éolienne, ce rassemblement avait pour but de montrer en quoi un mix faisant la part belle au nucléaire était la seule option viable pour l’avenir énergétique français
Les niveaux inédits de prix atteints par le gaz, fin 2021, deviendront structurels dans les années à venir, sans présager des conflits sociaux que cette situation pourrait engendrer.
L’antinucléarisme de Jean-Luc Mélenchon est symptomatique du changement de logiciel de la gauche.
L’expérience de Flamanville n’incite guère à l’optimisme : cet EPR n’est toujours pas opérationnel, malgré un début de construction en 2007 pour production en 2018.
Apparemment, Emmanuel Macron n’a pas compris cette guerre.
Le problème, avec le nucléaire, c’est que l’on est dans l’idéologie et non dans la raison scientifique.
Empressons-nous de rassurer ceux de nos compatriotes que ce tout petit monde s’efforce benoîtement de terrifier à dessein, depuis des décennies.
Il y a quelques jours est née l’association de Défense du Patrimoine Nucléaire et du Climat…
On a stoppé Fessenheim, qui produisait deux gigawatts électriques. Cette décision de Macron, d’une bêtise effrayante, montre la misère intellectuelle de cet homme et de ceux qui l’entourent, dans le domaine des sciences et de la technologie.
Le procédé est à ajouter aux méthodes bien éprouvées de l’extrême gauche toujours prête à réduire la liberté d’expressio
Après les nombreux dysfonctionnements et arrêts de travail dans la construction de l’EPR de Flamanville, nos experts vont-ils oser prétendre que l’électricité nucléaire est la plus sûre ?
Pour lutter efficacement contre l’indéniable réchauffement climatique, il va falloir disposer de beaucoup d’énergie.