Le Qatar est le pays qui émet le plus de gaz à effet de serre par habitant. Les rues sont climatisées, comme les stades.
La fermeture de Fessenheim n’est que la partie émergée de cet immense travail de sape…
Nous sommes très mal partis si la France ne déclare pas solennellement qu’elle reprend sa souveraineté dans les trois domaines intimement liés de la défense nationale, du nucléaire et de l’énergie.
Apparemment, Emmanuel Macron n’a pas compris cette guerre.
Il était autrefois l’EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l’État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l’énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d’un pays.
Depuis des lustres, les socialistes et leurs alliés ont ordonné l’assassinat du nucléaire en France. Comment voulez-vous vendre cette énergie et expliquer que vos réacteurs sont les meilleurs au monde quand leurs incompétents vous ont fait fermer Fessenheim ?
Les constructeurs automobiles ont proposé la voiture hybride : électrique sur les petits parcours et thermique sur les grands. C’est le règne du « en même temps ».
En moyenne annuelle, les éoliennes ne fournissent pas plus de 20 à 25 % de leur puissance nominale. Dérisoire.
La consommation de la France frôle le maximum de ce que peuvent produire ses centrales et ses barrages.
On a stoppé Fessenheim, qui produisait deux gigawatts électriques. Cette décision de Macron, d’une bêtise effrayante, montre la misère intellectuelle de cet homme et de ceux qui l’entourent, dans le domaine des sciences et de la technologie.
On va fabriquer de l’électricité avec du gaz et exiger des Français qu’ils se chauffent à l’électrique.
Je reprends le début de mon article du 25 septembre (1), car il n’y a pas à y changer un iota : « Depuis quarante
Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.
Le Qatar est le pays qui émet le plus de gaz à effet de serre par habitant. Les rues sont climatisées, comme les stades.
La fermeture de Fessenheim n’est que la partie émergée de cet immense travail de sape…
Nous sommes très mal partis si la France ne déclare pas solennellement qu’elle reprend sa souveraineté dans les trois domaines intimement liés de la défense nationale, du nucléaire et de l’énergie.
Apparemment, Emmanuel Macron n’a pas compris cette guerre.
Il était autrefois l’EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l’État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l’énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d’un pays.
Depuis des lustres, les socialistes et leurs alliés ont ordonné l’assassinat du nucléaire en France. Comment voulez-vous vendre cette énergie et expliquer que vos réacteurs sont les meilleurs au monde quand leurs incompétents vous ont fait fermer Fessenheim ?
Les constructeurs automobiles ont proposé la voiture hybride : électrique sur les petits parcours et thermique sur les grands. C’est le règne du « en même temps ».
En moyenne annuelle, les éoliennes ne fournissent pas plus de 20 à 25 % de leur puissance nominale. Dérisoire.
La consommation de la France frôle le maximum de ce que peuvent produire ses centrales et ses barrages.
On a stoppé Fessenheim, qui produisait deux gigawatts électriques. Cette décision de Macron, d’une bêtise effrayante, montre la misère intellectuelle de cet homme et de ceux qui l’entourent, dans le domaine des sciences et de la technologie.
On va fabriquer de l’électricité avec du gaz et exiger des Français qu’ils se chauffent à l’électrique.
Je reprends le début de mon article du 25 septembre (1), car il n’y a pas à y changer un iota : « Depuis quarante
Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.