Mila
Sous le radar, les tribulations des acteurs de la politique française, et des autres.
Retrouvez chaque vendredi les perles politiques de la semaine !
Absent à son procès, le bourreau était parti… en randonnée à la montagne avec son centre éducatif fermé (CEF) !
Qu’est devenue Mila, quels sont ses projets, a-t-elle encore le courage aujourd’hui de faire face à ses détracteurs ?
Mila a compris qui la défend et qui la met en danger par sa politique migratoire inconsidérée.
En utilisant donc la jeune Mila comme bouc émissaire, le député LFI contribue à la mettre en danger
Mila et Tanguy David même combat ? Deux jeunes portant haut et fort leurs convictions au point de ne plus pouvoir sortir sans se faire agresser.
Entre Mila qui posta ce tweet, à l’origine de la polémique, « Votre religion, c’est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir » et la prose de ce contempteur, on admettra que l’esprit ne souffle pas toujours à grand vent…
Beaucoup de parents originaires de Tchétchénie ont le statut de réfugiés politiques, rendant plus difficile le travail des enquêteurs.
Il y a celles qui s’étrillent courageusement sur la diffusion d’un film sur l’avortement et celle qui, menacée de mort à cause de ses prises de position, ne peut plus mener une vie normale.
Pour Laurent Alexandre, la démographie est une science exacte qui laisse présager qu’à terme, ne fût-ce que pour des raisons électorales, le blasphème deviendra légalement un délit.
« J’étais pourtant persuadée que mon pays n’était pas comme ça. Je vois la lâcheté partout autour de moi… Personne ne fait rien parce que les gens ont peur. »
Petite fille zélée ayant voulu cocher toute les cases faussement rebelles imposées, elle devrait se voir tresser des couronnes de laurier par les grandes prêtresses de la nouvelle morale.
Mila attise les haines pour ces gens-là. Si elle avait accusé les forces de l’ordre ou les cathos, il est évident qu’elle aurait rencontré un plus grand succès sur les réseaux sociaux.
À chaque fois, ce sont les victimes que l’on convainc directement ou indirectement de capituler. Quand elles ont rebroussé chemin et fait place nette, on a le sentiment d’une paix retrouvée. On respire. Jusqu’à la prochaine fois.
Un an après avoir critiqué l’islam dans une série de vidéos Instagram, la jeune Mila vit toujours un calvaire au quotidien…
Trop occupée à chasser la haine sur Internet, Laetitia Avia ne s’est pas encore prononcée sur la manière d’identifier et poursuivre les auteurs de ces 50.000 menaces de mort.
Sur une vidéo, un homme muni d’une feuille de boucher (un hachoir) mime un égorgement et profère à plusieurs reprises des menaces contre l’adolescente et sa mère.
L’agresseur a été interpellé le lendemain dans sa chambre, avant d’être jugé deux jours plus tard . Il s’agit d’un jeune majeur, de nationalité algérienne et vivant en France.
Depuis le mois de février, trois adolescents ont été mis en examen, a indiqué, mercredi 17 juin, le parquet de Vienne en charge de l’enquête.
À l’heure où certains se penchent doctement sur la pertinence du délit de blasphème, Asia Bibi se rappelle à notre souvenir…
Le progressiste 2.0 fera toujours passer la sensibilité d’un « colonisé » avant la différence sexuelle d’un « colonisateur ». Mila en paie le prix fort aujourd’hui.
Un conseil, Mila : plutôt que de les teindre en violet, il faudrait peut-être tenter une coupe rasta, qui sait ?
« L’affaire Mila » aura eu ceci de bénéfique que la « rhétorique de la terreur » a, semble-t-il, reculé.
Elle ne vise pas le Coran mais la Bible, pas l’islamisme mais le christianisme.
Le collectif Némésis dénonce l’indignation à géométrie variable des féministes, dans de récentes affaires ayant touché des jeunes femmes victimes de viol (étudiante à Rouen)
La question est de savoir quel public elle entend, par cette petitesse pyromane, ainsi ménager ?
Sous le radar, les tribulations des acteurs de la politique française, et des autres.
Retrouvez chaque vendredi les perles politiques de la semaine !
Absent à son procès, le bourreau était parti… en randonnée à la montagne avec son centre éducatif fermé (CEF) !
Qu’est devenue Mila, quels sont ses projets, a-t-elle encore le courage aujourd’hui de faire face à ses détracteurs ?
Mila a compris qui la défend et qui la met en danger par sa politique migratoire inconsidérée.
En utilisant donc la jeune Mila comme bouc émissaire, le député LFI contribue à la mettre en danger
Mila et Tanguy David même combat ? Deux jeunes portant haut et fort leurs convictions au point de ne plus pouvoir sortir sans se faire agresser.
Entre Mila qui posta ce tweet, à l’origine de la polémique, « Votre religion, c’est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir » et la prose de ce contempteur, on admettra que l’esprit ne souffle pas toujours à grand vent…
Beaucoup de parents originaires de Tchétchénie ont le statut de réfugiés politiques, rendant plus difficile le travail des enquêteurs.
Il y a celles qui s’étrillent courageusement sur la diffusion d’un film sur l’avortement et celle qui, menacée de mort à cause de ses prises de position, ne peut plus mener une vie normale.
Pour Laurent Alexandre, la démographie est une science exacte qui laisse présager qu’à terme, ne fût-ce que pour des raisons électorales, le blasphème deviendra légalement un délit.
« J’étais pourtant persuadée que mon pays n’était pas comme ça. Je vois la lâcheté partout autour de moi… Personne ne fait rien parce que les gens ont peur. »
Petite fille zélée ayant voulu cocher toute les cases faussement rebelles imposées, elle devrait se voir tresser des couronnes de laurier par les grandes prêtresses de la nouvelle morale.
Mila attise les haines pour ces gens-là. Si elle avait accusé les forces de l’ordre ou les cathos, il est évident qu’elle aurait rencontré un plus grand succès sur les réseaux sociaux.
À chaque fois, ce sont les victimes que l’on convainc directement ou indirectement de capituler. Quand elles ont rebroussé chemin et fait place nette, on a le sentiment d’une paix retrouvée. On respire. Jusqu’à la prochaine fois.
Un an après avoir critiqué l’islam dans une série de vidéos Instagram, la jeune Mila vit toujours un calvaire au quotidien…
Trop occupée à chasser la haine sur Internet, Laetitia Avia ne s’est pas encore prononcée sur la manière d’identifier et poursuivre les auteurs de ces 50.000 menaces de mort.
Sur une vidéo, un homme muni d’une feuille de boucher (un hachoir) mime un égorgement et profère à plusieurs reprises des menaces contre l’adolescente et sa mère.
L’agresseur a été interpellé le lendemain dans sa chambre, avant d’être jugé deux jours plus tard . Il s’agit d’un jeune majeur, de nationalité algérienne et vivant en France.
Depuis le mois de février, trois adolescents ont été mis en examen, a indiqué, mercredi 17 juin, le parquet de Vienne en charge de l’enquête.
À l’heure où certains se penchent doctement sur la pertinence du délit de blasphème, Asia Bibi se rappelle à notre souvenir…
Le progressiste 2.0 fera toujours passer la sensibilité d’un « colonisé » avant la différence sexuelle d’un « colonisateur ». Mila en paie le prix fort aujourd’hui.
Un conseil, Mila : plutôt que de les teindre en violet, il faudrait peut-être tenter une coupe rasta, qui sait ?
« L’affaire Mila » aura eu ceci de bénéfique que la « rhétorique de la terreur » a, semble-t-il, reculé.
Elle ne vise pas le Coran mais la Bible, pas l’islamisme mais le christianisme.
Le collectif Némésis dénonce l’indignation à géométrie variable des féministes, dans de récentes affaires ayant touché des jeunes femmes victimes de viol (étudiante à Rouen)
La question est de savoir quel public elle entend, par cette petitesse pyromane, ainsi ménager ?