Emmanuel Macron
La France n’a pas attendu Emmanuel Macron pour reconnaître la part prise par l’Afrique dans la libération du territoire national.
Avouez que trop de complaisance à l’égard du camp macronien ne contribue pas à clarifier les positions.
L’euphémisme du mot « incivilités » trahit l’inconsistance de la pensée politique qui règne en haut de l’État.
Les Français ne doivent pas se laisser attirer par les appâts qu’on leur tend mais, plutôt, démasquer les charlatans de la politique ou du climat.
Le nouveau Macron est arrivé. C’est une chroniqueuse de BFM qui nous le dit.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Emmanuel Macron serait-il donc un piètre visionnaire de l’évolution du risque terroriste et de la politique internationale…
Bonnes vacances en cet été 2029, en dépit du froid, ce que certains catastrophistes qualifient de mini-ère glaciaire, due à la sous-activité cyclique du soleil…
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
Sans légitimer quelque agression que ce soit, il est impératif de poser la question suivante : la présidence Macron joue-t-elle sciemment avec le feu de l’ultraviolence ?
Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
…cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé.
En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.
Bonnes vacances puisqu’apparemment elles ont d’heureux effets.
Jeudi 25 juillet, le couple présidentiel a plié bagage pour se rendre dans son lieu de villégiature, le fort de Brégançon.
Comme si, après les gilets jaunes et les débordements algériens, le corps de l’État pouvait se permettre le luxe d’une nouvelle fracture.
M. Macron a été membre du Parti socialiste. Il a développé sa carrière grâce à des amitiés socialistes.
Première depuis 2001, la récente visite présidentielle française en Serbie s’est révélée être un acte politique manqué.
Macron comptait sur la notoriété de l’écologiste, espérant que la vanité lui ferait oublier ses convictions.
Les drapeaux algériens flottant à trois reprises en juillet dans les villes de France font donc partie de ces sujets à éviter pour Emmanuel Macron et son monde.
Cordonnier est toujours le plus mal chaussé.
On ne peut pas faire l’innocent en feignant de croire que le drapeau algérien n’a qu’une valeur sentimentale, sans signification politique.
Le programme de l’Union européenne devient de plus en plus obsolète auprès du public serbe, malgré tous les efforts des uns et des autres.
M. Macron a raison, la France doit jouer un rôle important dans les Balkans et les Serbes, pas trop rancuniers, sont même prêts à lui redonner cette place.
Espérons que l’astéroïde ne fera pas flamber trop de voitures, vendredi soir.
Gonflé, le monsieur ! Ainsi donc, à propos de Rugy, le Président ne veut pas d’une République de la délation !
La France n’a pas attendu Emmanuel Macron pour reconnaître la part prise par l’Afrique dans la libération du territoire national.
Avouez que trop de complaisance à l’égard du camp macronien ne contribue pas à clarifier les positions.
L’euphémisme du mot « incivilités » trahit l’inconsistance de la pensée politique qui règne en haut de l’État.
Les Français ne doivent pas se laisser attirer par les appâts qu’on leur tend mais, plutôt, démasquer les charlatans de la politique ou du climat.
Le nouveau Macron est arrivé. C’est une chroniqueuse de BFM qui nous le dit.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Emmanuel Macron serait-il donc un piètre visionnaire de l’évolution du risque terroriste et de la politique internationale…
Bonnes vacances en cet été 2029, en dépit du froid, ce que certains catastrophistes qualifient de mini-ère glaciaire, due à la sous-activité cyclique du soleil…
Jamais un ministre de l’Intérieur n’aura tiré vers le bas, de façon aussi manifeste et rapide, l’image de l’institution dont il a la charge.
Sans légitimer quelque agression que ce soit, il est impératif de poser la question suivante : la présidence Macron joue-t-elle sciemment avec le feu de l’ultraviolence ?
Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.
Les réseaux sociaux sont un inépuisable terrain de fouille archéologique…
…cette prétention macronienne de changer à la fois d’air et d’ère, alors que tout cela n’était que ritournelle jouée sur pipeau désaccordé.
En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.
Bonnes vacances puisqu’apparemment elles ont d’heureux effets.
Jeudi 25 juillet, le couple présidentiel a plié bagage pour se rendre dans son lieu de villégiature, le fort de Brégançon.
Comme si, après les gilets jaunes et les débordements algériens, le corps de l’État pouvait se permettre le luxe d’une nouvelle fracture.
M. Macron a été membre du Parti socialiste. Il a développé sa carrière grâce à des amitiés socialistes.
Première depuis 2001, la récente visite présidentielle française en Serbie s’est révélée être un acte politique manqué.
Macron comptait sur la notoriété de l’écologiste, espérant que la vanité lui ferait oublier ses convictions.
Les drapeaux algériens flottant à trois reprises en juillet dans les villes de France font donc partie de ces sujets à éviter pour Emmanuel Macron et son monde.
Cordonnier est toujours le plus mal chaussé.
On ne peut pas faire l’innocent en feignant de croire que le drapeau algérien n’a qu’une valeur sentimentale, sans signification politique.
Le programme de l’Union européenne devient de plus en plus obsolète auprès du public serbe, malgré tous les efforts des uns et des autres.
M. Macron a raison, la France doit jouer un rôle important dans les Balkans et les Serbes, pas trop rancuniers, sont même prêts à lui redonner cette place.
Espérons que l’astéroïde ne fera pas flamber trop de voitures, vendredi soir.
Gonflé, le monsieur ! Ainsi donc, à propos de Rugy, le Président ne veut pas d’une République de la délation !