Cinéma
Réalisé et coécrit par l’américain oscarisé Tom McCarthy (pour Spotlight, en 2015) avec l’appui des Français Thomas Bidegain et Noé Debré, on pourrait penser que
S’il y a un seul film à voir au cinéma cet été, c’est bien celui-ci.
Les Duellistes séduit par sa façon de mettre en scène les valeurs martiales, le sens de l’honneur, de la réputation, le souci du rang à tenir, de la constance au fil des ans.
Le cinéma qui nous parvient des pays de l’Est – horriblement mal distribué, cela dit en passant – semble encore aujourd’hui travaillé par les horreurs du XXe siècle.
Loin de tout manichéisme, Slalom n’a rien du film moralisateur que pourrait attendre un certain militantisme féministe délateur ; il excelle au contraire dans sa façon de traiter la zone grise des relations humaines.
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
Les cinéphiles auront sûrement de quoi se réjouir ; les amateurs d’Histoire peut-être un peu moins…
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…
Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
France 2, bouleversant son programme, se propose d’égayer ces temps difficiles en diffusant de grands films du patrimoine français, juste après le journal de 13 heures.
Un film émouvant, bien construit et qui ne donne pas exagérément dans les poncifs d’aujourd’hui sur cette époque.
À croire que la foi n’a droit de cité qu’à condition de prendre ses distances avec l’institution religieuse…
Clint Eastwood réitère son éloge de l’héroïsme et pointe les failles d’une institution nationale sans pour autant renier son patriotisme.
Bernard-Henri Lévy a l’habitude de voir ses films quitter l’affiche avant même que la colle n’ait fini de sécher.
En attente de son procès depuis deux ans, Lise est accusée d’avoir assassiné sa meilleure amie de lycée…
Un militaire peut-il vraiment agir en héros en faisant l’impasse sur tout sentiment patriotique ? La réponse affirmative apportée par Sam Mendes pointe les limites du film…
Célèbre roman féminin paru en deux volumes entre 1868 et 1869, Little Women, de Louisa May Alcott, en est aujourd’hui à sa cinquième adaptation au
Demain, peut-être, le courageux reporter s’envolera vers la Lune à bord d’une fusée photovoltaïque qui respectera le bilan carbone…
L’objectif premier du CNC, qui était de lutter contre la déferlante de films anglo-saxons sur les écrans, étant manifestement un échec, à quoi bon conserver cet organisme ?
Réalisé et coécrit par l’américain oscarisé Tom McCarthy (pour Spotlight, en 2015) avec l’appui des Français Thomas Bidegain et Noé Debré, on pourrait penser que
S’il y a un seul film à voir au cinéma cet été, c’est bien celui-ci.
Les Duellistes séduit par sa façon de mettre en scène les valeurs martiales, le sens de l’honneur, de la réputation, le souci du rang à tenir, de la constance au fil des ans.
Le cinéma qui nous parvient des pays de l’Est – horriblement mal distribué, cela dit en passant – semble encore aujourd’hui travaillé par les horreurs du XXe siècle.
Loin de tout manichéisme, Slalom n’a rien du film moralisateur que pourrait attendre un certain militantisme féministe délateur ; il excelle au contraire dans sa façon de traiter la zone grise des relations humaines.
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
Les cinéphiles auront sûrement de quoi se réjouir ; les amateurs d’Histoire peut-être un peu moins…
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…
Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
France 2, bouleversant son programme, se propose d’égayer ces temps difficiles en diffusant de grands films du patrimoine français, juste après le journal de 13 heures.
Un film émouvant, bien construit et qui ne donne pas exagérément dans les poncifs d’aujourd’hui sur cette époque.
À croire que la foi n’a droit de cité qu’à condition de prendre ses distances avec l’institution religieuse…
Clint Eastwood réitère son éloge de l’héroïsme et pointe les failles d’une institution nationale sans pour autant renier son patriotisme.
Bernard-Henri Lévy a l’habitude de voir ses films quitter l’affiche avant même que la colle n’ait fini de sécher.
En attente de son procès depuis deux ans, Lise est accusée d’avoir assassiné sa meilleure amie de lycée…
Un militaire peut-il vraiment agir en héros en faisant l’impasse sur tout sentiment patriotique ? La réponse affirmative apportée par Sam Mendes pointe les limites du film…
Célèbre roman féminin paru en deux volumes entre 1868 et 1869, Little Women, de Louisa May Alcott, en est aujourd’hui à sa cinquième adaptation au
Demain, peut-être, le courageux reporter s’envolera vers la Lune à bord d’une fusée photovoltaïque qui respectera le bilan carbone…
L’objectif premier du CNC, qui était de lutter contre la déferlante de films anglo-saxons sur les écrans, étant manifestement un échec, à quoi bon conserver cet organisme ?
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