Cinéma
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
Le cinéma français, lui, vit sur un modèle socialiste : taxer pour gaspiller sans compter.
L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.
Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.
Cinéaste de gauche revenu du communisme, Nanni Moretti pointe volontiers les illusions du personnage Ennio.
La prochaine sortie du Napoléon de Ridley Scott a de quoi interroger les Français et leur rapport à l’Histoire.
« Il Boemo » se donne aujourd’hui pour ambition de faire connaître au plus grand nombre l’œuvre de Mysliveček.
Une fable morale et implacable où le moindre accord passé avec le diable implique de lourdes conséquences
Emin Alper pointe le népotisme, la corruption, la démagogie et les méthodes expéditives qui ont cours en Turquie
Coupée, la version française du film de Hashimoto consacré à l’artiste japonais aux 30.000 dessins déçoit.
C’est une histoire à dormir debout, et pourtant véridique.
Le récit d’origine se trouve affublé de séquences fictives inutiles, plus ou moins convenues.
Avec Emily, son premier long-métrage en tant que réalisatrice, la comédienne australienne Frances O’Connor s’inspire des éléments biographiques officiels de la vie d’Emily Brontë ainsi que de son roman Les Hauts de Hurlevent.
Les Petites Victoires se veut avant tout l’éloge de ces maires anonymes, courageux et persévérants, qui luttent contre les éléments pour maintenir coûte que coûte un cadre de vie décent à leurs administrés
L’esprit de droiture de la saga d’origine est complètement bafoué et Stallone doublement trahi.
The Fabelmans est un film parfaitement maîtrisé, savamment dosé entre humour et drame, et riche d’informations pour ceux qui s’intéressent à la trajectoire de Spielberg.
La clé de voute idéologique du film, qui explique la démarche initiale du cinéaste et les récompenses obtenues aux César, est à chercher ailleurs, dans une séquence dialoguée entre Yohan et une juge d’instruction où le policier, après trois ans d’enquête infructueuse, livre le fond de sa pensée : « Ce sont tous les hommes qui ont tué Clara […] C’est quelque chose qui cloche entre les hommes et les femmes. »
BHL sortira, le 22 février, un film sur la résistance de l’Ukraine, Slava Ukraini. On pourrait rêver d’une ode patriotique, d’une conversion subite de ce mondialiste échevelé aux vertus de la patrie. Hélas…
C’est dévastateur en termes d’image car c’est un film à très gros budget, qui a une large audience.
Ce coup-ci, c’est lui qui aurait mieux fait de rester comme son chef-d’œuvre, The Artist, c’est-à-dire muet.
Bizarrement, notre presse de gauche a encensé le film sans s’apercevoir que son discours se situait aux antipodes des valeurs qu’elle défend habituellement.
Le récit suit quatre malfrats un peu bas de plafond qui, après avoir lamentablement raté un assassinat à Marseille, retournent en Corse et décident de kidnapper Sophie Marceau…
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Sorte de polar crépusculaire et enneigé à dimension ésotérique, The Pale Blue Eye nous transporte en 1830 dans la prestigieuse académie militaire de West Point, dans l’État de New York.
Jusque sur leur fauteuil au cinéma, les Français sont sommés d’adopter un comportement vertueux.
Avec Nostalgia, son dernier film en date, le réalisateur Mario Martone choisit de porter à l’écran le roman homonyme d’Ermanno Rea.
Le désamour des Américains pour les productions plus ou moins sournoisement militantes de leur cinéma a été récemment révélé par Fox News.
Une existence monotone que cet homme dévoué, consciencieux, aurait prolongée si son médecin ne lui avait diagnostiqué une maladie grave et incurable.
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
Le cinéma français, lui, vit sur un modèle socialiste : taxer pour gaspiller sans compter.
L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.
Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.
Cinéaste de gauche revenu du communisme, Nanni Moretti pointe volontiers les illusions du personnage Ennio.
La prochaine sortie du Napoléon de Ridley Scott a de quoi interroger les Français et leur rapport à l’Histoire.
« Il Boemo » se donne aujourd’hui pour ambition de faire connaître au plus grand nombre l’œuvre de Mysliveček.
Une fable morale et implacable où le moindre accord passé avec le diable implique de lourdes conséquences
Emin Alper pointe le népotisme, la corruption, la démagogie et les méthodes expéditives qui ont cours en Turquie
Coupée, la version française du film de Hashimoto consacré à l’artiste japonais aux 30.000 dessins déçoit.
C’est une histoire à dormir debout, et pourtant véridique.
Le récit d’origine se trouve affublé de séquences fictives inutiles, plus ou moins convenues.
Avec Emily, son premier long-métrage en tant que réalisatrice, la comédienne australienne Frances O’Connor s’inspire des éléments biographiques officiels de la vie d’Emily Brontë ainsi que de son roman Les Hauts de Hurlevent.
Les Petites Victoires se veut avant tout l’éloge de ces maires anonymes, courageux et persévérants, qui luttent contre les éléments pour maintenir coûte que coûte un cadre de vie décent à leurs administrés
L’esprit de droiture de la saga d’origine est complètement bafoué et Stallone doublement trahi.
The Fabelmans est un film parfaitement maîtrisé, savamment dosé entre humour et drame, et riche d’informations pour ceux qui s’intéressent à la trajectoire de Spielberg.
La clé de voute idéologique du film, qui explique la démarche initiale du cinéaste et les récompenses obtenues aux César, est à chercher ailleurs, dans une séquence dialoguée entre Yohan et une juge d’instruction où le policier, après trois ans d’enquête infructueuse, livre le fond de sa pensée : « Ce sont tous les hommes qui ont tué Clara […] C’est quelque chose qui cloche entre les hommes et les femmes. »
BHL sortira, le 22 février, un film sur la résistance de l’Ukraine, Slava Ukraini. On pourrait rêver d’une ode patriotique, d’une conversion subite de ce mondialiste échevelé aux vertus de la patrie. Hélas…
C’est dévastateur en termes d’image car c’est un film à très gros budget, qui a une large audience.
Ce coup-ci, c’est lui qui aurait mieux fait de rester comme son chef-d’œuvre, The Artist, c’est-à-dire muet.
Bizarrement, notre presse de gauche a encensé le film sans s’apercevoir que son discours se situait aux antipodes des valeurs qu’elle défend habituellement.
Le récit suit quatre malfrats un peu bas de plafond qui, après avoir lamentablement raté un assassinat à Marseille, retournent en Corse et décident de kidnapper Sophie Marceau…
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Sorte de polar crépusculaire et enneigé à dimension ésotérique, The Pale Blue Eye nous transporte en 1830 dans la prestigieuse académie militaire de West Point, dans l’État de New York.
Jusque sur leur fauteuil au cinéma, les Français sont sommés d’adopter un comportement vertueux.
Avec Nostalgia, son dernier film en date, le réalisateur Mario Martone choisit de porter à l’écran le roman homonyme d’Ermanno Rea.
Le désamour des Américains pour les productions plus ou moins sournoisement militantes de leur cinéma a été récemment révélé par Fox News.
Une existence monotone que cet homme dévoué, consciencieux, aurait prolongée si son médecin ne lui avait diagnostiqué une maladie grave et incurable.
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