Cinéma
Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.
Fort de très belles critiques, le thriller devait pouvoir rivaliser avec les blockbusters. Il n’en est rien.
Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.
Projet « structuré et solide » ou « trip sous acide », Mel Gibson laisse planer le doute.
Les auteurs célèbrent l’altérité parentale et expriment la difficulté d’être père, biologique ou non.
Déjà 6,6 millions d’entrées pour le film d’Artus, mais moins de 10 % dans la capitale.
Cette dialectique invisibilité/visibilité de l’artiste se retrouve dans la réalité du marché actuel de l’art.
Le réalisateur met l’accent sur le caractère fugace des choses de l’existence, aggravé par « le grain de sable » inattendu
Les employés d’une agence publicitaire cherchent désespérément un moyen de retrouver le cours normal de leur vie.
Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.
Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité
Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.
L’essentiel de son action, entre « parité » et « harcèlement », aura d’ailleurs tourné autour de la cause des femmes.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
La famille Bougheraba apporte une nouvelle fois la preuve que leur renouveau culturel est synonyme de décivilisation.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Il est bel et bien fini, ce règne des grandes salles dans lesquelles le peuple de Paris se ruait voir de grands films.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
Le réalisateur est à l’origine du projet Horizon, qui consistait à installer des réfugiés en Bretagne.
Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.
Fort de très belles critiques, le thriller devait pouvoir rivaliser avec les blockbusters. Il n’en est rien.
Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.
Projet « structuré et solide » ou « trip sous acide », Mel Gibson laisse planer le doute.
Les auteurs célèbrent l’altérité parentale et expriment la difficulté d’être père, biologique ou non.
Déjà 6,6 millions d’entrées pour le film d’Artus, mais moins de 10 % dans la capitale.
Cette dialectique invisibilité/visibilité de l’artiste se retrouve dans la réalité du marché actuel de l’art.
Le réalisateur met l’accent sur le caractère fugace des choses de l’existence, aggravé par « le grain de sable » inattendu
Les employés d’une agence publicitaire cherchent désespérément un moyen de retrouver le cours normal de leur vie.
Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.
Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité
Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.
L’essentiel de son action, entre « parité » et « harcèlement », aura d’ailleurs tourné autour de la cause des femmes.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
La famille Bougheraba apporte une nouvelle fois la preuve que leur renouveau culturel est synonyme de décivilisation.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Il est bel et bien fini, ce règne des grandes salles dans lesquelles le peuple de Paris se ruait voir de grands films.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
Le réalisateur est à l’origine du projet Horizon, qui consistait à installer des réfugiés en Bretagne.
Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.