Cinéma
Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.
Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité
Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.
L’essentiel de son action, entre « parité » et « harcèlement », aura d’ailleurs tourné autour de la cause des femmes.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
La famille Bougheraba apporte une nouvelle fois la preuve que leur renouveau culturel est synonyme de décivilisation.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Il est bel et bien fini, ce règne des grandes salles dans lesquelles le peuple de Paris se ruait voir de grands films.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
Le réalisateur est à l’origine du projet Horizon, qui consistait à installer des réfugiés en Bretagne.
Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
Le cinéma français, lui, vit sur un modèle socialiste : taxer pour gaspiller sans compter.
L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.
Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.
Cinéaste de gauche revenu du communisme, Nanni Moretti pointe volontiers les illusions du personnage Ennio.
La prochaine sortie du Napoléon de Ridley Scott a de quoi interroger les Français et leur rapport à l’Histoire.
« Il Boemo » se donne aujourd’hui pour ambition de faire connaître au plus grand nombre l’œuvre de Mysliveček.
Une fable morale et implacable où le moindre accord passé avec le diable implique de lourdes conséquences
Emin Alper pointe le népotisme, la corruption, la démagogie et les méthodes expéditives qui ont cours en Turquie
Coupée, la version française du film de Hashimoto consacré à l’artiste japonais aux 30.000 dessins déçoit.
Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.
Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité
Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.
L’essentiel de son action, entre « parité » et « harcèlement », aura d’ailleurs tourné autour de la cause des femmes.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
La famille Bougheraba apporte une nouvelle fois la preuve que leur renouveau culturel est synonyme de décivilisation.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Il est bel et bien fini, ce règne des grandes salles dans lesquelles le peuple de Paris se ruait voir de grands films.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
Le réalisateur est à l’origine du projet Horizon, qui consistait à installer des réfugiés en Bretagne.
Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
Le cinéma français, lui, vit sur un modèle socialiste : taxer pour gaspiller sans compter.
L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.
Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.
Cinéaste de gauche revenu du communisme, Nanni Moretti pointe volontiers les illusions du personnage Ennio.
La prochaine sortie du Napoléon de Ridley Scott a de quoi interroger les Français et leur rapport à l’Histoire.
« Il Boemo » se donne aujourd’hui pour ambition de faire connaître au plus grand nombre l’œuvre de Mysliveček.
Une fable morale et implacable où le moindre accord passé avec le diable implique de lourdes conséquences
Emin Alper pointe le népotisme, la corruption, la démagogie et les méthodes expéditives qui ont cours en Turquie
Coupée, la version française du film de Hashimoto consacré à l’artiste japonais aux 30.000 dessins déçoit.