#SELECTION DE BV (1-2)
Le rapport de Reporters sans frontières (RSF) paru la semaine dernière fustige la « foxisation de l’information » comme une cause d’aggravation des tensions sociales en France.
Dans ces deux tweets, Damien Rieu a reproché au footballeur franco-algérien d’avoir posé, le temps d’une photo, avec un imam sulfureux évoluant dans les milieux islamistes.
Macron est atteint du paradoxe du coquet : il serait capable de descendre de vélo pour se regarder pédaler.
Qui, d’entre le vieux renard et le jeune loup aux dents toujours aiguisées, quoique passablement émoussées, sortira vainqueur de ce jeu de dupes ?
Le directeur général de Frontex, Fabrice Leggeri, a été poussé à la démission après des mois de harcèlement d’ONG favorables à l’ouverture de l’Europe aux flux migratoires.
Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
La confrontation de ces deux candidats médiatiques va faire de la 14e circonscription du Rhône une des circonscriptions symboliques. Car derrière le duel Attal-Bouhafs, deux France qui vivent côte à côte vont se retrouver face à face.
Les démolisseurs et voyous du 1er Mai attrapés par la police comparaissent devant la juge Isabelle Prévost-Desprez. Qui sont-ils ?
Le géopolitologue Alexandre del Valle analyse, au micro de Boulevard Voltaire, le vote des Français de confession musulmane. Marc Eynaud. Pour qui ont voté
Il faudra sans doute plus que le renfort de Shirley et Dino pour remonter cette pente et convaincre les électeurs de cette 1re circonscription de la Somme qui a voté au premier tour de l’élection présidentielle à plus de 44 % pour Marine Le Pen…
Depuis un mois, les 27 millions d’habitants de Shangaï subissent la politique zéro Covid de la Chine, et les images qui circulent sur les réseaux sociaux font froid dans le dos.
Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.
Des affiches de partis politiques à ceux de collectifs féministes, en passant par des tags antifascistes et des vitres brisées, ce 1er Mai donne un aperçu du vandalisme d’extrême gauche, celle qui donne des leçons.
Quelle est bonne, l’odeur de roussi, quand l’arsenal de torréfaction des cerveaux de la wokosphère médiatique commence à se consumer sous nos yeux !
Va-t-on vers une nouvelle raclée des LR ? Possible. Qu’en ressortira-t-il ? Cela dépend de leur capacité de remise en question et de la solidité de leurs convictions.
En refusant la réalité d’une violence de plus en plus fréquente à l’encontre des forces de l’ordre, nos prétendues élites se coupent d’une partie de la population…
La démographie et la sociologie françaises étant ce qu’elles sont, il n’y aura pas de victoire possible pour le camp national sans une implantation urbaine forte.
Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême
Autrefois, il fallait aller chercher loin ces serfs et les acheter au prix fort ; désormais, ils risquent leur vie pour venir se faire exploiter ici, histoire de payer les retraites d’un continent vieillissant.
Comme tout bon censeur dont cet entre-deux-tours n’a jamais manqué, le professeur distribue les bons et les mauvais points, et brandit le spectre de la menace.
Les forces de l’ordre soupçonnaient les occupants de la voiture de se livrer à un trafic de stupéfiants. Le véhicule a démarré puis a foncé vers un des fonctionnaires, qui s’est écarté pour l’éviter.
La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.
Enseignant en sociologie électorale, Christophe Bentz analyse pour BV le vote du second tour. De quoi méditer en attendant la bataille des élections législatives…
Vingt ans après, la réduction ad hitlerum est plus délicate à mettre en scène.
Le match Macron-Le Pen est en réalité moins déséquilibré que ce que les partisans d’Emmanuel Macron auraient souhaité.
Il est à craindre que Jean-Luc Mélenchon, tel un vulgaire macroniste, ait rajouté un peu de sel sur les plaies béantes de notre pays.
En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…
Le rapport de Reporters sans frontières (RSF) paru la semaine dernière fustige la « foxisation de l’information » comme une cause d’aggravation des tensions sociales en France.
Dans ces deux tweets, Damien Rieu a reproché au footballeur franco-algérien d’avoir posé, le temps d’une photo, avec un imam sulfureux évoluant dans les milieux islamistes.
Macron est atteint du paradoxe du coquet : il serait capable de descendre de vélo pour se regarder pédaler.
Qui, d’entre le vieux renard et le jeune loup aux dents toujours aiguisées, quoique passablement émoussées, sortira vainqueur de ce jeu de dupes ?
Le directeur général de Frontex, Fabrice Leggeri, a été poussé à la démission après des mois de harcèlement d’ONG favorables à l’ouverture de l’Europe aux flux migratoires.
Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
La confrontation de ces deux candidats médiatiques va faire de la 14e circonscription du Rhône une des circonscriptions symboliques. Car derrière le duel Attal-Bouhafs, deux France qui vivent côte à côte vont se retrouver face à face.
Les démolisseurs et voyous du 1er Mai attrapés par la police comparaissent devant la juge Isabelle Prévost-Desprez. Qui sont-ils ?
Le géopolitologue Alexandre del Valle analyse, au micro de Boulevard Voltaire, le vote des Français de confession musulmane. Marc Eynaud. Pour qui ont voté
Il faudra sans doute plus que le renfort de Shirley et Dino pour remonter cette pente et convaincre les électeurs de cette 1re circonscription de la Somme qui a voté au premier tour de l’élection présidentielle à plus de 44 % pour Marine Le Pen…
Depuis un mois, les 27 millions d’habitants de Shangaï subissent la politique zéro Covid de la Chine, et les images qui circulent sur les réseaux sociaux font froid dans le dos.
Les Français laisseront mourir sans dignité un parti qui a fait tant de mal à la France, par souci électoraliste.
Des affiches de partis politiques à ceux de collectifs féministes, en passant par des tags antifascistes et des vitres brisées, ce 1er Mai donne un aperçu du vandalisme d’extrême gauche, celle qui donne des leçons.
Quelle est bonne, l’odeur de roussi, quand l’arsenal de torréfaction des cerveaux de la wokosphère médiatique commence à se consumer sous nos yeux !
Va-t-on vers une nouvelle raclée des LR ? Possible. Qu’en ressortira-t-il ? Cela dépend de leur capacité de remise en question et de la solidité de leurs convictions.
En refusant la réalité d’une violence de plus en plus fréquente à l’encontre des forces de l’ordre, nos prétendues élites se coupent d’une partie de la population…
La démographie et la sociologie françaises étant ce qu’elles sont, il n’y aura pas de victoire possible pour le camp national sans une implantation urbaine forte.
Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême
Autrefois, il fallait aller chercher loin ces serfs et les acheter au prix fort ; désormais, ils risquent leur vie pour venir se faire exploiter ici, histoire de payer les retraites d’un continent vieillissant.
Comme tout bon censeur dont cet entre-deux-tours n’a jamais manqué, le professeur distribue les bons et les mauvais points, et brandit le spectre de la menace.
Les forces de l’ordre soupçonnaient les occupants de la voiture de se livrer à un trafic de stupéfiants. Le véhicule a démarré puis a foncé vers un des fonctionnaires, qui s’est écarté pour l’éviter.
La revue communiste Regards vient juste d’imaginer ce que pourrait être un gouvernement de cohabitation mené par le même Mélenchon. Et là, c’est un peu entre train fantôme et musée des horreurs.
Enseignant en sociologie électorale, Christophe Bentz analyse pour BV le vote du second tour. De quoi méditer en attendant la bataille des élections législatives…
Vingt ans après, la réduction ad hitlerum est plus délicate à mettre en scène.
Le match Macron-Le Pen est en réalité moins déséquilibré que ce que les partisans d’Emmanuel Macron auraient souhaité.
Il est à craindre que Jean-Luc Mélenchon, tel un vulgaire macroniste, ait rajouté un peu de sel sur les plaies béantes de notre pays.
En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…
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