Si le Mozart de la finance, l’homme à la pensée complexe, le petit prince de la stabilité planétaire, était tout simplement une quiche ?
Il va de téléphone en visioconférence. Ce n’est pas un homme : c’est Hermès, le messager des dieux.
On essaie tout, au Mistral : les régularisations massives, la fille qui part avec le mari de sa mère, l’amour à trois, les grands-mères qui roulent des pétards…
Peut-être que la démocratie, c’est faire confiance au peuple, au lieu d’utiliser l’appareil d’État pour prolonger artificiellement un système à bout de souffle.
Emmanuel Macron vient d’annoncer le retrait de la France et de ses partenaires, qui quitteront le Mali dans les prochains mois.
Dernière annonce : les comptes des manifestants seront gelés.
Comment appelle-t-on quelqu’un qui compte les Blancs, dans un meeting ? Un raciste, non ?
La réponse des députés a été sans appel : l’amendement visant à interdire la port du voile dans les compétitions sportives, proposé à nouveau par Éric Ciotti, a été rejeté.
Leur collectif explique, notamment, que le port du voile islamique relève de leur liberté, la volonté de les faire taire relève en revanche… du patriarcat.
D’habitude, les craintes d’embrasement émanent plutôt du camp du mal.
En fait, la seule question qui vaille, c’est : pourquoi Bernard Cazeneuve est-il de gauche ?
Au fond, c’est vrai, Valérie Pécresse est, comme elle le dit si souvent, une chiraquienne. Il lui manque cependant encore l’aplomb, l’aura personnelle, le talent de bateleur – c’est-à-dire tout.
Voilà une campagne qui n’en finit pas de surprendre. Le clou du spectacle résidant probablement dans la ténébreuse affaire des parrainages.
Si l’ambassadeur français a été expulsé du Mali comme un clandestin, rappelons-nous que les clandestins (notamment maliens) sont hébergés, eux, sur notre sol, tous frais payés, comme des ambassadeurs.
Zemmour, c’est la haine, et on ne débat pas avec les « marchands de haine » qui « jouent sur les peurs », sinon c’est immédiatement « le bruit des bottes ».
Ils avaient Marc-Aurèle et nous avions Hugues Capet. Ils ont une star du X et un escroc hors d’âge. Et nous, qu’aurons-nous ?
À certains indices, notamment un récent sondage sur les opinions du corps électoral, on devine toutefois que la France bascule massivement à droite.
Déplacer le problème pour ne pas le régler, en voilà une idée ! Comme c’est beau, comme c’est grand, comme c’est généreux, la gauche !
Éric Zemmour est un homme d’Ancien Régime, à plus d’un titre. Il a construit sa carrière par sa plume et sa vivacité, par son bel esprit et un certain courage, parfois bravache.
On ne sait pas si Zemmour gagnera ; ce qui est certain – et c’est déjà une victoire -, c’est que l’absence de réponse sur le fond commence à se voir.
Les édiles d’Orly ne pleurent-ils pas les effets dont ils chérissent les causes (comme dirait l’autre) ?
Dans cette France archipélisée, tout le monde semble avoir droit à ses prérogatives, au respect de ses particularités, au choix de ses voisins… sauf les chrétiens. Ils ont l’habitude des persécutions. Ce n’est pas une raison.
Le 23 janvier, il remontera sur scène, au Casino de Paris. Droit dans ses bottes, aussi clivant que touchant, Jean-Pax Méfret échappe aux catégorisations faciles.
Tout le monde, à droite comme à gauche, joue avec ce fantasme d’impuissant depuis des années, oubliant commodément que la dernière occurrence de maintien de l’ordre en France par l’armée, c’était la bataille d’Alger…
Parmi les prétendants de 2022, seul Éric Zemmour semble déchaîner les rumeurs.
Cette tribune est un petit miracle de mauvaise foi, que le grand journal catholique accueille avec des trésors de charité dévoyée.
Si le Mozart de la finance, l’homme à la pensée complexe, le petit prince de la stabilité planétaire, était tout simplement une quiche ?
Il va de téléphone en visioconférence. Ce n’est pas un homme : c’est Hermès, le messager des dieux.
On essaie tout, au Mistral : les régularisations massives, la fille qui part avec le mari de sa mère, l’amour à trois, les grands-mères qui roulent des pétards…
Peut-être que la démocratie, c’est faire confiance au peuple, au lieu d’utiliser l’appareil d’État pour prolonger artificiellement un système à bout de souffle.
Emmanuel Macron vient d’annoncer le retrait de la France et de ses partenaires, qui quitteront le Mali dans les prochains mois.
Dernière annonce : les comptes des manifestants seront gelés.
Comment appelle-t-on quelqu’un qui compte les Blancs, dans un meeting ? Un raciste, non ?
La réponse des députés a été sans appel : l’amendement visant à interdire la port du voile dans les compétitions sportives, proposé à nouveau par Éric Ciotti, a été rejeté.
Leur collectif explique, notamment, que le port du voile islamique relève de leur liberté, la volonté de les faire taire relève en revanche… du patriarcat.
D’habitude, les craintes d’embrasement émanent plutôt du camp du mal.
En fait, la seule question qui vaille, c’est : pourquoi Bernard Cazeneuve est-il de gauche ?
Au fond, c’est vrai, Valérie Pécresse est, comme elle le dit si souvent, une chiraquienne. Il lui manque cependant encore l’aplomb, l’aura personnelle, le talent de bateleur – c’est-à-dire tout.
Voilà une campagne qui n’en finit pas de surprendre. Le clou du spectacle résidant probablement dans la ténébreuse affaire des parrainages.
Si l’ambassadeur français a été expulsé du Mali comme un clandestin, rappelons-nous que les clandestins (notamment maliens) sont hébergés, eux, sur notre sol, tous frais payés, comme des ambassadeurs.
Zemmour, c’est la haine, et on ne débat pas avec les « marchands de haine » qui « jouent sur les peurs », sinon c’est immédiatement « le bruit des bottes ».
Ils avaient Marc-Aurèle et nous avions Hugues Capet. Ils ont une star du X et un escroc hors d’âge. Et nous, qu’aurons-nous ?
À certains indices, notamment un récent sondage sur les opinions du corps électoral, on devine toutefois que la France bascule massivement à droite.
Déplacer le problème pour ne pas le régler, en voilà une idée ! Comme c’est beau, comme c’est grand, comme c’est généreux, la gauche !
Éric Zemmour est un homme d’Ancien Régime, à plus d’un titre. Il a construit sa carrière par sa plume et sa vivacité, par son bel esprit et un certain courage, parfois bravache.
On ne sait pas si Zemmour gagnera ; ce qui est certain – et c’est déjà une victoire -, c’est que l’absence de réponse sur le fond commence à se voir.
Les édiles d’Orly ne pleurent-ils pas les effets dont ils chérissent les causes (comme dirait l’autre) ?
Dans cette France archipélisée, tout le monde semble avoir droit à ses prérogatives, au respect de ses particularités, au choix de ses voisins… sauf les chrétiens. Ils ont l’habitude des persécutions. Ce n’est pas une raison.
Le 23 janvier, il remontera sur scène, au Casino de Paris. Droit dans ses bottes, aussi clivant que touchant, Jean-Pax Méfret échappe aux catégorisations faciles.
Tout le monde, à droite comme à gauche, joue avec ce fantasme d’impuissant depuis des années, oubliant commodément que la dernière occurrence de maintien de l’ordre en France par l’armée, c’était la bataille d’Alger…
Parmi les prétendants de 2022, seul Éric Zemmour semble déchaîner les rumeurs.
Cette tribune est un petit miracle de mauvaise foi, que le grand journal catholique accueille avec des trésors de charité dévoyée.
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