À quoi ressemblera la France de 2050 ? À ce que nous aurons fait, collectivement, et pas seulement d’un point de vue intellectuel ou économique.
La droitisation a également touché notre pays, mais les Républicains n’y sont pour rien…
Moralité : votez LREM, et quand votre député en aura marre, c’est un siège vide qui vous représentera.
La gauche à la française mourut comme Mitterrand : dans une interminable agonie…
« Sans justice, vous n’aurez pas la paix », dit pompeusement le pompeux comité Adama. Le cas d’Assa Traoré est examiné par la Justice. Espérons qu’elle nous fichera la paix.
Pour faire barrage à la bête immonde, la gauche libertaire et la droite libérale (ou est-ce l’inverse ?) se sont alliées sous le ciel azuréen.
On vendra un concept de « nouveau monde » en recyclant tous les vieux traîtres. Et ce sera reparti.
Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…
Vitaa, Camélia Jordana et Amel Bent se sont associées pour reprendre un classique de la lutte contre le mal : une chanson de Diam’s qui s’appelle « Marine »…
N’oublions pas ce que nous devons au monde grec, ce que nous avons modestement essayé de lui rendre il y a deux siècles, et la proximité que nous devons garder avec la Grèce.
La bêtise en appui de la haine : c’est à ce genre de petits indices qu’on reconnaît la marque des grands.
Entre la charte des droits de l’arbre et la statue de Louis 14, on a l’impression de vivre dans MCMLXXXIV…
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
Interrogé par BFM TV, Michel Sardou, dont on sait qu’il déteste son époque, s’est amusé des ridicules du jour. L’écriture inclusive, d’abord : « Essayez
Et si, en fin de compte, le confinement était, pour les cadres urbains, la libération des fausses images de la Caverne, comme dans le mythe platonicien ?
Que reste-t-il du cinéma français ? Si on enlève les quotas diversitaires, le militantisme sociétal et l’entre-soi, rien.
Samuel Étienne est désormais d’accord pour converser sur Twitch avec la présidente du Rassemblement national. Pas chez lui, hein.
Demain, comme tous les autres jours, ce sera la fête des droits des hommes : taux de mortalité, de suicide, d’incarcération, de déchéance de la garde parentale, d’exercice de métiers à risque. Le premier sexe explosera les compteurs et on n’en fera pas un drame.
Voici une lecture indispensable à qui veut comprendre ces ennemis toujours impunis qui bénéficient de la souriante complicité des élites de notre temps…
Où sont les duègnes élégantes au profil de médailles, que l’on aurait aimé connaître à vingt ans et qui ont une manière inimitable de dire « merci, jeune homme » ?
En fin de compte, lutter contre la violence symbolique en entreprise, cela passe par l’exercice d’une violence symbolique supérieure.
Reçue jeudi dernier, 18 février, par l’immense artiste Cyril Hanouna (qu’on ne présente plus), Isabelle Balkany s’est prêtée au jeu de l’interview-confession.
On pourrait se moquer de tout cela, se dire qu’on a les people qu’on mérite.
Ce qui est nouveau, et peut-être le début d’une reprise en main collective, c’est le fait qu’une association décide d’attaquer en justice un réseau social pour lui demander des comptes.
Encore une fois, pléthore de raisons de se débarrasser de sa télévision…
À quoi ressemblera la France de 2050 ? À ce que nous aurons fait, collectivement, et pas seulement d’un point de vue intellectuel ou économique.
La droitisation a également touché notre pays, mais les Républicains n’y sont pour rien…
Moralité : votez LREM, et quand votre député en aura marre, c’est un siège vide qui vous représentera.
La gauche à la française mourut comme Mitterrand : dans une interminable agonie…
« Sans justice, vous n’aurez pas la paix », dit pompeusement le pompeux comité Adama. Le cas d’Assa Traoré est examiné par la Justice. Espérons qu’elle nous fichera la paix.
Pour faire barrage à la bête immonde, la gauche libertaire et la droite libérale (ou est-ce l’inverse ?) se sont alliées sous le ciel azuréen.
On vendra un concept de « nouveau monde » en recyclant tous les vieux traîtres. Et ce sera reparti.
Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…
Vitaa, Camélia Jordana et Amel Bent se sont associées pour reprendre un classique de la lutte contre le mal : une chanson de Diam’s qui s’appelle « Marine »…
N’oublions pas ce que nous devons au monde grec, ce que nous avons modestement essayé de lui rendre il y a deux siècles, et la proximité que nous devons garder avec la Grèce.
La bêtise en appui de la haine : c’est à ce genre de petits indices qu’on reconnaît la marque des grands.
Entre la charte des droits de l’arbre et la statue de Louis 14, on a l’impression de vivre dans MCMLXXXIV…
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
Interrogé par BFM TV, Michel Sardou, dont on sait qu’il déteste son époque, s’est amusé des ridicules du jour. L’écriture inclusive, d’abord : « Essayez
Et si, en fin de compte, le confinement était, pour les cadres urbains, la libération des fausses images de la Caverne, comme dans le mythe platonicien ?
Que reste-t-il du cinéma français ? Si on enlève les quotas diversitaires, le militantisme sociétal et l’entre-soi, rien.
Samuel Étienne est désormais d’accord pour converser sur Twitch avec la présidente du Rassemblement national. Pas chez lui, hein.
Demain, comme tous les autres jours, ce sera la fête des droits des hommes : taux de mortalité, de suicide, d’incarcération, de déchéance de la garde parentale, d’exercice de métiers à risque. Le premier sexe explosera les compteurs et on n’en fera pas un drame.
Voici une lecture indispensable à qui veut comprendre ces ennemis toujours impunis qui bénéficient de la souriante complicité des élites de notre temps…
Où sont les duègnes élégantes au profil de médailles, que l’on aurait aimé connaître à vingt ans et qui ont une manière inimitable de dire « merci, jeune homme » ?
En fin de compte, lutter contre la violence symbolique en entreprise, cela passe par l’exercice d’une violence symbolique supérieure.
Reçue jeudi dernier, 18 février, par l’immense artiste Cyril Hanouna (qu’on ne présente plus), Isabelle Balkany s’est prêtée au jeu de l’interview-confession.
On pourrait se moquer de tout cela, se dire qu’on a les people qu’on mérite.
Ce qui est nouveau, et peut-être le début d’une reprise en main collective, c’est le fait qu’une association décide d’attaquer en justice un réseau social pour lui demander des comptes.
Encore une fois, pléthore de raisons de se débarrasser de sa télévision…
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