Pape François
L’emploi du mot « réactionnaire » par un prélat, né en 1940, ordonné en 1965 et qui a dû vite remiser sa soutane durant les années enthousiastes post-Concile, n’est ni anodin ni innocent.
N’est-il pas paradoxal de prétendre rechercher l’unité et d’accuser les autres d’y attenter, quand on commence soi-même par diviser et rejeter ceux qui ne suivent pas la norme imposée ?
Durant tout son voyage, il n’a pas eu de mots assez durs contre l’Occident, et singulièrement l’Union européenne, accusée de détourner les yeux de la tragédie des camps de migrants
Si l’on comprend bien, certaines leçons du pape méritent d’être suivies, d’autres non.
Le Premier ministre français, pour sa visite à Rome, va offrir au chef de l’Église… le maillot dédicacé d’un joueur argentin, vedette actuelle du PSG.
Viktor Orbán a offert au pape la copie d’une lettre de 1250 d’un roi hongrois envoyée au pape de l’époque pour implorer l’aide de l’Occident contre les guerriers tatars qui menaçaient la Hongrie chrétienne.
Le pape François a rencontré Viktor Orbán, qui lui a demandé de « ne pas laisser périr la Hongrie chrétienne », alors que les deux
Pour parler sans détour, les églises se vident de plus en plus. Ce n’est pas un scoop.
À l’écoute de son intervention, il y a des points saillants qui accrochent, qui dérangent, qui choquent. Tentons un éclairage.
Car, enfin, quelle menace fait peser sur l’Église le rite selon Pie V quand il existe un rite ambrosien, mozarabe, dominicain et même zaïrois ?
Laurent Dandrieu analyse le motu proprio du pape François restreignant de façon drastique le culte catholique selon la forme extraordinaire. Il pointe les conséquences désastreuses
Il est d’autre part, médiatiquement, délicat de soutenir la violence, pour ne pas écrire la méchanceté, des mesures pontificales en regard des propos récurrents du Saint-Père sur la miséricorde…
Le pape François, perpétuant la politique de Jean-Paul II et de Benoît XVI, a pris son bâton de pèlerin pour entamer un dialogue direct avec ses « homologues » musulmans.
François n’est pas inquiet des projets sociétaux lancés par les humanistes qui gouvernent la France ?
Lors d’une cérémonie, un extrait du Coran a été chanté en présence du pape : quelques versets de la sourate Ibrahim, un choix apparemment opportun en cette terre d’Abraham.
Il n’y a pas photo : le grand absent de la rencontre d’Ur, chez Abraham, c’était bien Abraham.
Que l’Église de France attende que les échéances électorales soient passées pour accueillir le pape François.
Si les êtres humains (particulièrement les chrétiens) se doivent l’amour et l’entraide, ceci n’implique pas pour autant la submersion démographique…
Il confond la morale publique et la morale privée, qui ne se situent nullement sur le même plan : accorder mon hospitalité personnelle à un étranger est une chose, en faire venir des millions dans un pays au point d’en altérer l’identité en est une autre.
Serait-ce trop demander, respectueusement, à Sa Sainteté François de mettre un peu de cohérence dans tout cela et, à son choix, d’adapter les armoiries au discours, ou le discours aux armoiries ?
Entre les déclarations à l’emporte-pièce, la volonté de provoquer, la casuistique jésuite et les propos totalement contraires qu’il peut tenir par ailleurs, le moins que l’on puisse dire est qu’une louve n’y retrouverait pas ses petits.
Toute cette presse française bien-pensante et si habituée à critiquer les catholiques quand ils manifestent contre la PMA et la GPA jubile.
Le pape François vient de signer une nouvelle encyclique, Fratelli tutti. Un texte considéré par beaucoup comme très politique. Laurent Dandrieu nous éclaire sur son
Aussi respectable soit le pape François, les chrétiens catholiques ont tout à fait le droit de lui déclarer qu’il n’a pas de conseils politiques à donner à l’Europe.
L’emploi du mot « réactionnaire » par un prélat, né en 1940, ordonné en 1965 et qui a dû vite remiser sa soutane durant les années enthousiastes post-Concile, n’est ni anodin ni innocent.
N’est-il pas paradoxal de prétendre rechercher l’unité et d’accuser les autres d’y attenter, quand on commence soi-même par diviser et rejeter ceux qui ne suivent pas la norme imposée ?
Durant tout son voyage, il n’a pas eu de mots assez durs contre l’Occident, et singulièrement l’Union européenne, accusée de détourner les yeux de la tragédie des camps de migrants
Si l’on comprend bien, certaines leçons du pape méritent d’être suivies, d’autres non.
Le Premier ministre français, pour sa visite à Rome, va offrir au chef de l’Église… le maillot dédicacé d’un joueur argentin, vedette actuelle du PSG.
Viktor Orbán a offert au pape la copie d’une lettre de 1250 d’un roi hongrois envoyée au pape de l’époque pour implorer l’aide de l’Occident contre les guerriers tatars qui menaçaient la Hongrie chrétienne.
Le pape François a rencontré Viktor Orbán, qui lui a demandé de « ne pas laisser périr la Hongrie chrétienne », alors que les deux
Pour parler sans détour, les églises se vident de plus en plus. Ce n’est pas un scoop.
À l’écoute de son intervention, il y a des points saillants qui accrochent, qui dérangent, qui choquent. Tentons un éclairage.
Car, enfin, quelle menace fait peser sur l’Église le rite selon Pie V quand il existe un rite ambrosien, mozarabe, dominicain et même zaïrois ?
Laurent Dandrieu analyse le motu proprio du pape François restreignant de façon drastique le culte catholique selon la forme extraordinaire. Il pointe les conséquences désastreuses
Il est d’autre part, médiatiquement, délicat de soutenir la violence, pour ne pas écrire la méchanceté, des mesures pontificales en regard des propos récurrents du Saint-Père sur la miséricorde…
Le pape François, perpétuant la politique de Jean-Paul II et de Benoît XVI, a pris son bâton de pèlerin pour entamer un dialogue direct avec ses « homologues » musulmans.
François n’est pas inquiet des projets sociétaux lancés par les humanistes qui gouvernent la France ?
Lors d’une cérémonie, un extrait du Coran a été chanté en présence du pape : quelques versets de la sourate Ibrahim, un choix apparemment opportun en cette terre d’Abraham.
Il n’y a pas photo : le grand absent de la rencontre d’Ur, chez Abraham, c’était bien Abraham.
Que l’Église de France attende que les échéances électorales soient passées pour accueillir le pape François.
Si les êtres humains (particulièrement les chrétiens) se doivent l’amour et l’entraide, ceci n’implique pas pour autant la submersion démographique…
Il confond la morale publique et la morale privée, qui ne se situent nullement sur le même plan : accorder mon hospitalité personnelle à un étranger est une chose, en faire venir des millions dans un pays au point d’en altérer l’identité en est une autre.
Serait-ce trop demander, respectueusement, à Sa Sainteté François de mettre un peu de cohérence dans tout cela et, à son choix, d’adapter les armoiries au discours, ou le discours aux armoiries ?
Entre les déclarations à l’emporte-pièce, la volonté de provoquer, la casuistique jésuite et les propos totalement contraires qu’il peut tenir par ailleurs, le moins que l’on puisse dire est qu’une louve n’y retrouverait pas ses petits.
Toute cette presse française bien-pensante et si habituée à critiquer les catholiques quand ils manifestent contre la PMA et la GPA jubile.
Le pape François vient de signer une nouvelle encyclique, Fratelli tutti. Un texte considéré par beaucoup comme très politique. Laurent Dandrieu nous éclaire sur son
Aussi respectable soit le pape François, les chrétiens catholiques ont tout à fait le droit de lui déclarer qu’il n’a pas de conseils politiques à donner à l’Europe.
Pour ne rien rater
Revivez le Grand oral des candidats de droite
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
L'intervention média
Les plus lus de la semaine
LES PLUS LUS DE LA SEMAINE
- Charles-Henri d'Elloy - 14 790 vues