Pap Ndiaye
L’Éducation nationale mutile tout le monde pour qu’advienne la bienheureuse égalité.
Le ministre de l’Éducation nationale adopte des « micro-mesures gadgets » et tente de pallier l’effondrement du niveau scolaire par un « bougisme politique », dénonce cet ancien inspecteur général de l’Éducation nationale.
Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.
Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?
Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.
Pap Ndiaye, idéologue woke dépourvu de charisme et de compétence, est complètement dépassé par la situation.
Deux sujets ont particulièrement fait réagir nos lecteurs, cette semaine. Les talents du patineur transgenre finlandais ont laissé perplexe un grand nombre d’entre vous. Le
Mais le niveau des élèves ? Il attendra car, mercredi matin, le ministre est pris : il officie pour l’introduction du Programme national de formation consacré à la prévention des LGBTphobies en milieu scolaire.
Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.
Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !
En 25 ans de carrière dans l’éducation, je ne compte plus le nombre d’injonctions ministérielles qui n’ont eu aucune efficience pour les élèves français.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.
En ligne de mire, la politique menée par le ministère au nom de « la lutte contre les inégalités de genre à l’école ».
Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.
C’est « très clairement » une des priorités de son ministère. Pap Ndiaye s’attaque à la mixité sociale, avec les établissements privés dans le viseur.
Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.
Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.
Ce qui ressort de beaucoup de ces hommages, c’est la tendance à noyer le poisson islamiste, une fois de plus.
Il était temps que le ministre de l’Éducation nationale prenne la parole sur la laïcité. C’est un peu un passage obligé quand on est à ce poste.
Un décalage flagrant entre la modernité du canal employé et le discours rigoriste véhiculé.
En voyage dans ce pays – alors que les difficultés de la rentrée scolaire devraient peut-être vous attacher ici –, vous avez prononcé un discours émaillé de propos scandaleux eu égard à votre fonction…
Pap Ndiaye, cet OVNI envoyé rue de Grenelle pour remplacer Jean-Michel Blanquer, ne fait guère preuve d’originalité.
Qui a dit que le nouveau ministre manquait d’efficacité ?
Au moment où élèves et professeurs s’apprêtent à regagner le chemin de l’école, Boulevard Voltaire donne la parole à la présidente de l’association Créer son
Alors que le vivier de candidats potentiels à l’enseignement s’épuise, « le concours de recrutement des professeurs devient de moins en moins sélectif », constate un enseignant francilien.
Le ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye, spécialiste des minorités, entendra-t-il les appels de détresse de ces familles qui ne représentent que 0,4 % des enfants scolarisables ?
Certes, l’Éducation nationale a toujours été gangrenée par l’idéologie, mais peut-elle, vu son manque d’attractivité, se permettre de continuer à organiser son naufrage ?
L’Éducation nationale mutile tout le monde pour qu’advienne la bienheureuse égalité.
Le ministre de l’Éducation nationale adopte des « micro-mesures gadgets » et tente de pallier l’effondrement du niveau scolaire par un « bougisme politique », dénonce cet ancien inspecteur général de l’Éducation nationale.
Il faut relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites.
Où s’arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?
Pap Ndiaye ne pouvait évidemment prévoir une telle tragédie. Il hérite évidemment en partie de la situation. Mais sa réaction est inadmissible.
Pap Ndiaye, idéologue woke dépourvu de charisme et de compétence, est complètement dépassé par la situation.
Deux sujets ont particulièrement fait réagir nos lecteurs, cette semaine. Les talents du patineur transgenre finlandais ont laissé perplexe un grand nombre d’entre vous. Le
Mais le niveau des élèves ? Il attendra car, mercredi matin, le ministre est pris : il officie pour l’introduction du Programme national de formation consacré à la prévention des LGBTphobies en milieu scolaire.
Je n’ose imaginer le tollé si de tels propos avaient été tenus par un député de droite.
Que diable, il est ministre, pas couturier pour dames !
En 25 ans de carrière dans l’éducation, je ne compte plus le nombre d’injonctions ministérielles qui n’ont eu aucune efficience pour les élèves français.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
L’école, publique ou privée, n’a pas besoin de gestionnaires, mais de chefs à qui l’on donne le pouvoir d’assumer la responsabilité des décisions sur le terrain.
En ligne de mire, la politique menée par le ministère au nom de « la lutte contre les inégalités de genre à l’école ».
Après quarante ans de mauvais services, les démolisseurs de l’école peuvent constater les résultats.
C’est « très clairement » une des priorités de son ministère. Pap Ndiaye s’attaque à la mixité sociale, avec les établissements privés dans le viseur.
Vous qui êtes étudiant ou qui avez des enfants qui se préparent héroïquement au métier d’enseignant, avec licence, master, Inspé, vous avez le droit de trouver ce concours exceptionnel un peu trop bas, trop facile. Et injuste.
Pap Ndiaye est comme un poisson dans l’eau dans ce gouvernement prodigue en paroles mais avare en actes, qui tourne en rond.
Ce qui ressort de beaucoup de ces hommages, c’est la tendance à noyer le poisson islamiste, une fois de plus.
Il était temps que le ministre de l’Éducation nationale prenne la parole sur la laïcité. C’est un peu un passage obligé quand on est à ce poste.
Un décalage flagrant entre la modernité du canal employé et le discours rigoriste véhiculé.
En voyage dans ce pays – alors que les difficultés de la rentrée scolaire devraient peut-être vous attacher ici –, vous avez prononcé un discours émaillé de propos scandaleux eu égard à votre fonction…
Pap Ndiaye, cet OVNI envoyé rue de Grenelle pour remplacer Jean-Michel Blanquer, ne fait guère preuve d’originalité.
Qui a dit que le nouveau ministre manquait d’efficacité ?
Au moment où élèves et professeurs s’apprêtent à regagner le chemin de l’école, Boulevard Voltaire donne la parole à la présidente de l’association Créer son
Alors que le vivier de candidats potentiels à l’enseignement s’épuise, « le concours de recrutement des professeurs devient de moins en moins sélectif », constate un enseignant francilien.
Le ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye, spécialiste des minorités, entendra-t-il les appels de détresse de ces familles qui ne représentent que 0,4 % des enfants scolarisables ?
Certes, l’Éducation nationale a toujours été gangrenée par l’idéologie, mais peut-elle, vu son manque d’attractivité, se permettre de continuer à organiser son naufrage ?
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées