
Connaissez-vous la Minute Pap ? C'est le rendez-vous hebdomadaire fixé, sur Twitter, par le ministre de l'Éducation nationale. Le 4 mars dernier, Pap Ndiaye annonçait que « l'éducation à la sexualité est une de [s]es priorités depuis [s]on arrivée au ministère ». Juste après que trois associations (SOS Homophobie, le Sidaction et le Planning familial) ont saisi le tribunal administratif de Paris au motif que seuls 10 % des établissements scolaires organisent les trois séances annuelles prévues par la loi.
L'éducation à la sexualité est une de mes priorités depuis mon arrivée au ministère. Pour le bien-être, la santé, la vie affective des élèves, la lutte contre les violences sexistes et sexuelles et l’égalité filles-garçons. pic.twitter.com/GPkimSg7Kl
— Pap Ndiaye (@PapNdiaye) March 4, 2023
Le 27 juin 2022, dans une lettre aux professeurs, le successeur de Jean-Michel Blanquer avait déjà fixé cinq priorités : lutter contre les inégalités sociales à l'école, mettre l'accent sur les savoirs fondamentaux, notamment le français et les mathématiques, préserver le bien-être des élèves, engager l'école sur la question écologique et revaloriser le métier d'enseignant. Vient donc s'y ajouter une sixième : l'éducation à la sexualité.
A priori, si l'on s'en tient à la formulation, ce programme recevra sans doute l'assentiment du plus grand nombre, tant qu'on ne s'interroge pas sur sa mise en œuvre. L'enfer, c'est bien connu, est pavé de bonnes intentions. Rien à redire des articles du Code de l'éducation consacrés à « l'éducation à la santé et à la sexualité » : qui pourrait s'opposer à une information présentant « une vision égalitaire des relations entre les femmes et les hommes », « contribuant à l'apprentissage du respect dû au corps humain » ou sensibilisant « aux violences sexistes ou sexuelles », voire « aux mutilations sexuelles féminines » ?
Mais ces bonnes intentions peuvent cacher des intentions plus discutables. Ainsi, le plan d'action 2020-2023, élaboré par la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH), auquel se réfère le ministère de l'Éducation nationale porte une « attention particulière [...] aux personnes les plus invisibilisées : lesbiennes, bi, trans, intersexes [...] ». Chacun peut comprendre la nécessité de lutter contre les manifestations de l'homophobie et de la transphobie pour assurer la sécurité des élèves et des études sereines. Mais où s'arrête la protection des élèves et où commence la promotion de comportements minoritaires ?
Quand on lit que, parmi les 42 mesures de ce plan national, figurent notamment « l’ouverture de la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes célibataires », « la facilitation de l’utilisation du prénom d’usage pour les personnes trans dans les documents administratifs non officiels » ou encore « la poursuite de l’adaptation des formulaires administratifs afin d’inclure les familles homoparentales », les familles composées tout simplement d'un père, d'une mère et d'enfants, garçons et filles, sont en droit de se demander si elles ne vont pas bientôt être montrées du doigt.
Dans tous les cas, ce ne sont pas des débats que les professeurs doivent organiser au sein de l'école, pas plus que les associations agréées par l'Éducation nationale. Ce n'est pas faire injure au Mouvement français pour le planning familial, à SOS Homophobie ni à quelques autres associations, qui sont susceptibles de proposer « des activités éducatives complémentaires aux enseignements », que d'estimer qu'elles ne sont pas totalement impartiales et qu'il leur arrive de confondre l'information objective et la propagande militante.
Le ministère a beau préciser que « cette éducation à la sexualité ne se substitue pas à la responsabilité des parents et des familles », on peut légitimement s'inquiéter de son intrusion dans l'éducation des enfants. Quand l'État tend à supplanter la famille, on n'est pas loin d'une société totalitaire.
Ces « ministres » macroniens, et celui là tout particulièrement ne sont pas que des incompétents et des incapables. Ce sont des nuisibles. Ils devront rendre compte, un jour pas si lointain, de leurs méfaits.
Et ce sont les parents qui vont donner les cours de math.
Mais bon sang qu’ils leur apprennent à lire , écrire , calculer , le respect des autres et des lois . Pour le reste nous faisons confiance aux parents responsables .
Je pense effectivement que la priorité dans l’Education Nationale est d’un autre niveau : le niveau scolaire, par ricochet l’absence d’esprit critique et de réflexion, en bref l’abêtissement généralisé des générations futures, qui permettra à terme le contrôle des masses, et l’absence de contestion du pouvoir politique. J’ose espérer que ce plan machiavélique va échouer, mais il serait temps que l’ensemble de la population se réveille , toutes générations confondues !
Y’a pas une grande poubelle à l’Elysée pour y mettre Macron le fêtard, Dupont Moretti le grossier vulgaire, Pap N’Dyaye l’obsédé sexuel….. Et il y en a certainement d’autres pour raisons aussi déplorables !!!
Je crois que si j’avais encore des enfants en âge d’aller à l’école ou au lycée, ils auraient subitement des symptômes les empêchant d’aller en cours ces jours là : fièvre, toux, éternuements, mal au ventre……
Ils n’iraient pas à l’école publique, comme c’est pourtant le cas dans ma famille depuis que l’école publique existe.
Tous ces gens, soi disant hyper diplômés, sont totalement obsédés par le sexe. Ils ne pensent qu’à ça, ne rêvent que de ça. Leur seule obsession : attirer dans leur camp le plus de gamins possible pour que leur névrose deviennent la norme. On l’a vu dans cette expérience tentée dans une école, de faire intervenir des drag queen. Les gosses ne s’y sont pas trompés : » non, t’es pas normal, t’es un monsieur » … Cette propension à vouloir impliquer des gamins qui ne demandent rien relève, pour moi de la pédophilie inavouée. A vouloir s’imposer de la sorte, il augmentent l’homophobie.
Je plussoie : tous des obsédés ! C’est immonde.
Exactement
Pourquoi se braquer uniquement dans les fonctions du corps humain sur celle du sexe. ce serait il pas une obsession. Pour éduquer les jeunes aux fonctions de ce corps humain il en existe bien d’autre tel une bonne nourriture saine et pure, d’éviter des excès tels certaines substances nuisibles comme fumer et/ou excès d’alcool, etc, etc .., et en matière de reproduction d’humains pour ce qui nous intéresse c’est l’alliance d’une femme et d’un homme dans l’amour réciproque. rien d’autre où alors l’enfant verra sur sa table de nuit la photo de sa mère à côté d’une seringue. Pas bon du tout.
Tout est dit.
Très bonne idée. « De mon temps » … on apprenait les mécanismes de la circulation sanguine, de la respiration, la fonction glycogénique du foie, le squelette et les os, les muscles et les tendons, la digestion, les grandes maladies, les dangers de l’alcoolisme, les bases de l’hygiène et de la propreté, etc.
Le ministre ne décide en l’occurrence pas grand-chose en la matière. Il suit docilement les directives de l’ONU !
A quand les travaux pratiques?
Je suis triste de penser que ses enfants ne pourront pas s’enrichir de tout cela, je suppose qu’à l’école Alsacienne Paris 6 ils seront privés de tous ses enrichissements cul turels !!!
Pauvre bonhomme obsédé et dangereux ..seule une instruction normale et suivie ..est bonne pour les enfants ..à quand un couple dans la classe pour mieux faire comprendre…mais monsieur si vous avez autant besoin …allez donc chercher dans les bons endroits .et foutez la paix à nos jeunes
Oui : il y avait la rue St Denis et Pigalle pour » ça »…
J’ai comme l’impression que ces mecs sont obsédés par le sexe. Ils ne savent plus parler que de ça, c’est grave docteur? Quand j’étais à l’école on apprenait à lire, compter, l’histoire etc… mais jamais le sexe, étions nous normaux, là est la question.
Vous me l’avez soufflé. Un manque d’affection sans doute, comme son mentor qui à besoin des bras nus de petites frappes ultramarines.
Et oui : j’ai été une excellente élève, latin et tout et tout ; tant qu’à faire musique, puisque je m’ennuyais ( et dessin, et ornithologie, minéralogie, botanique, etc..).N’ayant pas de frère, et des cousins trop loin, ce n’est qu’à 20 ans passés que j’ai été mise par inadvertance en face de » la chose »( service 3 pièces), et la vie est devenue triste et dangereuse. Adieu les bons copains pleins d’humour et de dynamisme, délicats et respectueux, au cerveau plus pétillant que le bas de ceinture..
Vivement qu’on crée un prix Nobel en Wokisme, l’Occident les raflera tous et la France sera au premier rang.
Avant l’éducation sexuelle dans les établissements scolaires il y a plus urgent comme par exemple l’apprentissage des mathématiques, de la grammaire française et du vocabulaire…ou encore l’histoire de France ou la géographie , toutes applications qui permettent aux jeunes de réfléchir sur le sens de la vie et la valeur de la culture.
C’est ce que disait Zemmour pendant la campagne… Que les français ne se plaignent pas de l’avoir rejeté au profit de ces loques maintenant au pouvoir !
« Le respect dû au corps humain ». Les manipulations pour le « changement » de sexe des adolescents, c’est du respect envers le corps humain? Pauvre ministre, il fait pitié !
Un demeuré diplômes « pochette surprise », bénéficiaire ahuri de la « discrimination positive »
« … le ministère de l’Éducation nationale porte une « attention particulière […] aux personnes les plus invisibilisées : lesbiennes, bi, trans, intersexes […] »…
INVISIBILISEES??? On rêve là (ou on cauchemarde, plutôt)! On ne voit que ces personnes, au contraire, qui ont envahi l’espace médiatique à tous les étages.
Ceux qui mériteraient une attention particulière, ce seraient bien davantage ceux qui entrent dans la vie sans savoir lire, écrire, compter, sans références historiques, géographiques, culturelles après être passés par l’école de Pap N’Diaye !
Lorsque l’enfant possédera les bases suffisantes à la compréhension d’un texte, aura acquis les bases nécessaires pour résoudre les taches quotidiennes, saura les bases de la vie en collectivité, le respect des autres et de soi même, qu’il aura reçu l’exemple d’une vie familiale harmonieuse , alors, comme tous ces aînés, il comprendra très bien le rôle de la sexualité et n’aura pas besoin que monsieur Pap’Ndiaye lui impose des discours trompeurs.
Ils vont apprendre les bases suffisantes à la compréhension d’un sexe. Le niveau ne peut que monter. Le ministre a compris ce dont souffre l’Education nationale. Reconnaissance éternelle à celui qui l’a nommé.
C’est du troisième degré? Si oui, félicitations.
Lui aussi, comme pas mal de ses compatriotes (pas les Francais, les autres) ne pense qu’à ca?
Exact, on a vraiment l’impression d’être dirigés par une bande d’obsédés sexuels. Mais est-ce une impression?
Excellent ! ça doit être génétique