Journée de la femme
En ce 8 mars, dans un entretien intime et inédit, Marion Maréchal se confie à BV.
Ce qui reposerait tout le monde, ce serait une journée sans journée.
Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !
Qu’est-ce qu’une femme ? Un terme qui, aujourd’hui, fait débat.
Foulant aux pieds toute l’empathie, tout le renoncement dont on les dit capables, les femmes dévoilent dans ce documentaire une nature qu’elles qualifient de « guerrière » quand on ne perçoit que frustration, haine et rancœur.
De nombreuses institutions françaises (municipalités, préfectures, universités, collèges, médiathèques…) n’ont pas hésité à exposer le voile islamique dans leur communication pour célébrer cette date.
Le gouvernement venant d’annoncer un « nouveau plan d’action en faveur de l’égalité femmes-hommes » : parce qu’il y aurait des réalités biologiques ? C’est pas un peu transphobe, ça, comme affirmation ?
Le choix on ne peut plus polémique d’une municipalité EELV critiqué par les élus d’opposition dont l’ancien maire, Alain Claeys qui avoue avoir été choqué
Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.
Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, des jeunes de la Manif pour tous ont organisé, mardi, à Paris, une campagne pour dénoncer la marchandisation du corps féminin.
Dans les camps LR, RN ou encore Reconquête, la place de la femme fait également partie des préoccupations, quoi qu’en disent leurs adversaires.
Demain, comme tous les autres jours, ce sera la fête des droits des hommes : taux de mortalité, de suicide, d’incarcération, de déchéance de la garde parentale, d’exercice de métiers à risque. Le premier sexe explosera les compteurs et on n’en fera pas un drame.
Chaque jour qui passe offre aux néo-féministes de salon l’occasion d’inventer de nouvelles oppressions, le courage leur manquant pour s’attaquer aux véritables menaces qui pèsent sur les femmes.
Dans ce deuxième volet de notre série Place des Femmes, Stella Kamnga, étudiante et chroniqueuse engagée contre les Black Lives Matter et pour une immigration
Ce dimanche, la « Journée internationale des droits des femmes » venait opportunément s’intercaler entre deux autres journées d’importance planétaire et tout aussi passionnantes : hier, celle « de l’impro » (?) et, lundi, celle « du rein ».
Contrairement à tout ce que l’on a distillé à l’occasion de la Journée de la femme, elles seraient de plus en plus nombreuses à admettre notre côté « macho »…
Plus les années passent, plus cette Journée internationale des droits des femmes devient grotesque ! Cette année, on a découvert que même l’intelligence artificielle est
En 1974, les femmes se promenaient en mini-jupe et cheveux au vent, dans les rues de Téhéran et de Kaboul. Preuve que rien n’est jamais acquis…
Et peut-être, si le temps me reste : un atelier de plaisirs féminins, animé par les Effronté.es. Cela me promet une folle journée !
8 mars, Journée internationale de la femme. À cette occasion, Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, a voulu rendre hommage à une belle figure de femme,
Karine Le Marchand ne s’est pas contentée d’apporter le bonheur dans le pré : elle y a elle-même trouvé un certain bon sens paysan.
En cette Journée de la femme, l’UNEF a sorti une campagne de presse visant à demander la fin de l’omerta sur les violences faites aux femmes.
Sur la scène de Bobino, ce sont les trois dames Bachelot, Schiappa et El Khomri qui récitaient Les Monologues du vagin.
Gabrielle Cluzel estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien.
Désormais, de Simone de Beauvoir à Caroline De Haas, le féminisme est un féminisme bourgeois.
Pas la peine de se donner bonne conscience à l’occasion d’une journée par an. Nous pourrions nous contenter de remettre à la une leurs plus récentes contributions. Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
Faire plaisir aux femmes, c’est bien, faire plaisir à tous, c’est mieux !
En ce 8 mars, dans un entretien intime et inédit, Marion Maréchal se confie à BV.
Ce qui reposerait tout le monde, ce serait une journée sans journée.
Un nouveau cas d’école de cette capacité exemplaire de la gauche à tordre le réel pour lui imposer son angle : après le coup de la culture judéo-chrétienne, la cause des féminicides, ce serait la police !
Qu’est-ce qu’une femme ? Un terme qui, aujourd’hui, fait débat.
Foulant aux pieds toute l’empathie, tout le renoncement dont on les dit capables, les femmes dévoilent dans ce documentaire une nature qu’elles qualifient de « guerrière » quand on ne perçoit que frustration, haine et rancœur.
De nombreuses institutions françaises (municipalités, préfectures, universités, collèges, médiathèques…) n’ont pas hésité à exposer le voile islamique dans leur communication pour célébrer cette date.
Le gouvernement venant d’annoncer un « nouveau plan d’action en faveur de l’égalité femmes-hommes » : parce qu’il y aurait des réalités biologiques ? C’est pas un peu transphobe, ça, comme affirmation ?
Le choix on ne peut plus polémique d’une municipalité EELV critiqué par les élus d’opposition dont l’ancien maire, Alain Claeys qui avoue avoir été choqué
Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.
Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, des jeunes de la Manif pour tous ont organisé, mardi, à Paris, une campagne pour dénoncer la marchandisation du corps féminin.
Dans les camps LR, RN ou encore Reconquête, la place de la femme fait également partie des préoccupations, quoi qu’en disent leurs adversaires.
Demain, comme tous les autres jours, ce sera la fête des droits des hommes : taux de mortalité, de suicide, d’incarcération, de déchéance de la garde parentale, d’exercice de métiers à risque. Le premier sexe explosera les compteurs et on n’en fera pas un drame.
Chaque jour qui passe offre aux néo-féministes de salon l’occasion d’inventer de nouvelles oppressions, le courage leur manquant pour s’attaquer aux véritables menaces qui pèsent sur les femmes.
Dans ce deuxième volet de notre série Place des Femmes, Stella Kamnga, étudiante et chroniqueuse engagée contre les Black Lives Matter et pour une immigration
Ce dimanche, la « Journée internationale des droits des femmes » venait opportunément s’intercaler entre deux autres journées d’importance planétaire et tout aussi passionnantes : hier, celle « de l’impro » (?) et, lundi, celle « du rein ».
Contrairement à tout ce que l’on a distillé à l’occasion de la Journée de la femme, elles seraient de plus en plus nombreuses à admettre notre côté « macho »…
Plus les années passent, plus cette Journée internationale des droits des femmes devient grotesque ! Cette année, on a découvert que même l’intelligence artificielle est
En 1974, les femmes se promenaient en mini-jupe et cheveux au vent, dans les rues de Téhéran et de Kaboul. Preuve que rien n’est jamais acquis…
Et peut-être, si le temps me reste : un atelier de plaisirs féminins, animé par les Effronté.es. Cela me promet une folle journée !
8 mars, Journée internationale de la femme. À cette occasion, Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, a voulu rendre hommage à une belle figure de femme,
Karine Le Marchand ne s’est pas contentée d’apporter le bonheur dans le pré : elle y a elle-même trouvé un certain bon sens paysan.
En cette Journée de la femme, l’UNEF a sorti une campagne de presse visant à demander la fin de l’omerta sur les violences faites aux femmes.
Sur la scène de Bobino, ce sont les trois dames Bachelot, Schiappa et El Khomri qui récitaient Les Monologues du vagin.
Gabrielle Cluzel estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien.
Désormais, de Simone de Beauvoir à Caroline De Haas, le féminisme est un féminisme bourgeois.
Pas la peine de se donner bonne conscience à l’occasion d’une journée par an. Nous pourrions nous contenter de remettre à la une leurs plus récentes contributions. Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
Faire plaisir aux femmes, c’est bien, faire plaisir à tous, c’est mieux !