Emmanuel Macron
C’est un zélateur infatigable de sa propre religion.
Durant tout le temps qu’aura duré cette crise des gilets jaunes, son gouvernement a pris le soin de privilégier l’ordre avant toute chose. Il semble que cette politique ait payé.
Votre « lettre aux Français » est bien longue… et pourtant, à aucun moment vous ne nommez le mot « famille » ! Vous me permettrez, alors, de vous témoigner toute mon indignation.
Bientôt en allemand ! « Angela… t’as une belle langue, tu sais… »
Emmanuel Macron n’est pas Machiavel. Tout au plus un Savonarole de la pensée unique qui veut imposer sa vision de l’Europe à coups de menton et d’anathèmes.
Un propos indigne d’un Président qui s’est vu confier les clefs de la maison France…
L’IFI chéri est encore une jolie nique à la France périphérique. Et aussi à tout son patrimoine magnifique.
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
Décidément, la France d’en haut n’a qu’un outil : le fiscalisme.
Ce projet de traité est une boîte de Pandore. À l’évidence, Emmanuel Macron recherche l’appui de l’Allemagne à tout prix, même au prix du statut de la France au Conseil de sécurité.
Pitoyable spectacle que de voir une campagne électorale ainsi organisée et financée par « le bon peuple de France ».
Alors, quand enfin il te parlera, dans trois mois, pour te prier de voter aux élections européennes pour le candidat de son parti…
Les forces vives de la nation ont été ainsi épuisées par quarante ans de libéral-socialisme parasitaire.
Macron est absolument un républicain moderniste dans l’âme, un enfant de la Révolution égalitariste…
Questions fermées, biaisées : le simulacre se poursuit comme il a commencé.
Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.
Les gilets jaunes ne doivent surtout pas présenter de listes aux européennes, ce qui ne manquerait pas d’affaiblir l’opposition. Ils doivent rester insaisissables…
Mais, M. Macron, nous n’avons pas besoin d’un marathonien de la jactance.
Ce vendredi 18 janvier, Emmanuel Macron est à Souillac, dans le Lot, pour une nouvelle étape du grand débat national, à la rencontre des maires
Emmanuel Macron s’adresse à « mes chères Françaises, mes chers Français » mais réduit le fait d’être français à la citoyenneté française…
Emmanuel Macron a lancé le coup d’envoi du débat national devant 653 maires normands : il s’est exprimé durant plus de six heures et demie.
Notre Président s’en est donné à cœur joie dans son exercice préféré : se mettre en vedette et enfumer les Français.
L’élève de Paul Ricœur sait pourtant que le dialogue tord le bras à n’importe quelle attaque. Mais l’art de la souplesse lui est étranger.
Auteur d’Entrer en stratégie, le général Vincent Desportes analyse, au micro de Boulevard Voltaire, la stratégie, sur les plans national et international, du Président Macron.
Ce n’est pas pactiser avec le diable que de souhaiter la réussite de son pays.
Si le Président reste sur son nuage protégé, s’il ne se résout pas à descendre dans l’arène, il continuera à être méprisé et traité comme il l’est tous les samedis
Ce samedi n° 9, les gilets jaunes sont revenus sur le boulevard, sous mes fenêtres. Ils ont monté des barricades au carrefour.
C’est un zélateur infatigable de sa propre religion.
Durant tout le temps qu’aura duré cette crise des gilets jaunes, son gouvernement a pris le soin de privilégier l’ordre avant toute chose. Il semble que cette politique ait payé.
Votre « lettre aux Français » est bien longue… et pourtant, à aucun moment vous ne nommez le mot « famille » ! Vous me permettrez, alors, de vous témoigner toute mon indignation.
Bientôt en allemand ! « Angela… t’as une belle langue, tu sais… »
Emmanuel Macron n’est pas Machiavel. Tout au plus un Savonarole de la pensée unique qui veut imposer sa vision de l’Europe à coups de menton et d’anathèmes.
Un propos indigne d’un Président qui s’est vu confier les clefs de la maison France…
L’IFI chéri est encore une jolie nique à la France périphérique. Et aussi à tout son patrimoine magnifique.
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
Décidément, la France d’en haut n’a qu’un outil : le fiscalisme.
Ce projet de traité est une boîte de Pandore. À l’évidence, Emmanuel Macron recherche l’appui de l’Allemagne à tout prix, même au prix du statut de la France au Conseil de sécurité.
Pitoyable spectacle que de voir une campagne électorale ainsi organisée et financée par « le bon peuple de France ».
Alors, quand enfin il te parlera, dans trois mois, pour te prier de voter aux élections européennes pour le candidat de son parti…
Les forces vives de la nation ont été ainsi épuisées par quarante ans de libéral-socialisme parasitaire.
Macron est absolument un républicain moderniste dans l’âme, un enfant de la Révolution égalitariste…
Questions fermées, biaisées : le simulacre se poursuit comme il a commencé.
Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.
Les gilets jaunes ne doivent surtout pas présenter de listes aux européennes, ce qui ne manquerait pas d’affaiblir l’opposition. Ils doivent rester insaisissables…
Mais, M. Macron, nous n’avons pas besoin d’un marathonien de la jactance.
Ce vendredi 18 janvier, Emmanuel Macron est à Souillac, dans le Lot, pour une nouvelle étape du grand débat national, à la rencontre des maires
Emmanuel Macron s’adresse à « mes chères Françaises, mes chers Français » mais réduit le fait d’être français à la citoyenneté française…
Emmanuel Macron a lancé le coup d’envoi du débat national devant 653 maires normands : il s’est exprimé durant plus de six heures et demie.
Notre Président s’en est donné à cœur joie dans son exercice préféré : se mettre en vedette et enfumer les Français.
L’élève de Paul Ricœur sait pourtant que le dialogue tord le bras à n’importe quelle attaque. Mais l’art de la souplesse lui est étranger.
Auteur d’Entrer en stratégie, le général Vincent Desportes analyse, au micro de Boulevard Voltaire, la stratégie, sur les plans national et international, du Président Macron.
Ce n’est pas pactiser avec le diable que de souhaiter la réussite de son pays.
Si le Président reste sur son nuage protégé, s’il ne se résout pas à descendre dans l’arène, il continuera à être méprisé et traité comme il l’est tous les samedis
Ce samedi n° 9, les gilets jaunes sont revenus sur le boulevard, sous mes fenêtres. Ils ont monté des barricades au carrefour.