Bruno Podalydès y met pourtant en scène une Bécassine pleine de charme et évite les clichés d’antagonisme de classe ou de dichotomie Paris/Province.
S’il s’agissait d’un objet, le cas serait simple à trancher. Tout ce beau monde serait débouté, car « nul ne peut invoquer sa propre turpitude ». Mais il s’agit d’un enfant.
Dans la société orwellienne, le bouc émissaire reste essentiel. Ce sera donc Matteo Salvini.
Ce qui est étrange, c’est que seuls soient concernés les écoles et les collèges.
Pendant ce temps, comme en contraste, les Italiens manifestent nombreux leur soutien à Salvini dans les rues de Gênes, où il se trouve.
Quand elle partira, elle dira juste trois mots : « Merci de m’avoir acceptée comme j’étais. »
Là, on vient de lui jeter la clé de la maison France, et c’est à qui l’attrapera en sautant le plus haut.
Parcoursup pourrait bien, en effet, être l’enfer, mais pas que pour les bacheliers !
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.
La banlieue serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?
Le milliard des radars provoquera t il la révolte, comme la hausse du pain en 1789 ?
Les mots de Péguy chantent dans les têtes quand à nouveau l’ « étoile de la mer » qu’ils quittent à regret vogue « sur l’océan des blés ».
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
Pas de face à face. Ils défilent d’un après l’autre, comme dans un entretien d’embauche…
D’accord, mais alors, et pour le Ramadan…?
La France est profondément monarchiste. Au point qu’en politique une famille, même non régnante, ça fascine toujours.
Spaggiari ! On est loin de Zorro, Robin des Bois ou Arsène Lupin, tout de même…
On pourrait au moins exiger des « occupants » la remise en état des lieux saccagés à leurs frais.
Toujours plus haut, toujours plus fort, nouveauté absolue et croustillante à souhait : vous pourrez aller visiter une expo tout nu.
Les campus de la Grande-Bretagne pratiquent le « no platform », pratique consistant à faire désinviter par l’université une personnalité dont un groupe organisé d’étudiants juge la présence et les idées offensantes.
Apparu des la création de l’Université de Paris au XIIIe siècle, le baccalauréat disparaîtra donc après huit siècles de bons et loyaux services.
Là où il faudrait une pré-professionnalisation par filières qui préparent à l’université ou à la pratique d’un métier, la réforme impose ce qui a déjà tué le collège : le tronc commun.
Et emmenez-y vos enfants. Les moralistes sont de retour !
Dans le Val d’Oise et à Belfort ce dimanche les résultats des deux législatives partielles sont tombées comme des couperets de guillotine sur la nuque des ci-devant candidats En Marche.
Les Républicains se sont enfin choisi à leur tour leur Napoléon.
Lundi 22 janvier, dans « 28 Minutes », sur Arte, Élisabeth Quin jubilait en annonçant, comme première rubrique, « Un chef indien contre Trump »…
Bruno Podalydès y met pourtant en scène une Bécassine pleine de charme et évite les clichés d’antagonisme de classe ou de dichotomie Paris/Province.
S’il s’agissait d’un objet, le cas serait simple à trancher. Tout ce beau monde serait débouté, car « nul ne peut invoquer sa propre turpitude ». Mais il s’agit d’un enfant.
Dans la société orwellienne, le bouc émissaire reste essentiel. Ce sera donc Matteo Salvini.
Ce qui est étrange, c’est que seuls soient concernés les écoles et les collèges.
Pendant ce temps, comme en contraste, les Italiens manifestent nombreux leur soutien à Salvini dans les rues de Gênes, où il se trouve.
Quand elle partira, elle dira juste trois mots : « Merci de m’avoir acceptée comme j’étais. »
Là, on vient de lui jeter la clé de la maison France, et c’est à qui l’attrapera en sautant le plus haut.
Parcoursup pourrait bien, en effet, être l’enfer, mais pas que pour les bacheliers !
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.
La banlieue serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?
Le milliard des radars provoquera t il la révolte, comme la hausse du pain en 1789 ?
Les mots de Péguy chantent dans les têtes quand à nouveau l’ « étoile de la mer » qu’ils quittent à regret vogue « sur l’océan des blés ».
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
Pas de face à face. Ils défilent d’un après l’autre, comme dans un entretien d’embauche…
D’accord, mais alors, et pour le Ramadan…?
La France est profondément monarchiste. Au point qu’en politique une famille, même non régnante, ça fascine toujours.
Spaggiari ! On est loin de Zorro, Robin des Bois ou Arsène Lupin, tout de même…
On pourrait au moins exiger des « occupants » la remise en état des lieux saccagés à leurs frais.
Toujours plus haut, toujours plus fort, nouveauté absolue et croustillante à souhait : vous pourrez aller visiter une expo tout nu.
Les campus de la Grande-Bretagne pratiquent le « no platform », pratique consistant à faire désinviter par l’université une personnalité dont un groupe organisé d’étudiants juge la présence et les idées offensantes.
Apparu des la création de l’Université de Paris au XIIIe siècle, le baccalauréat disparaîtra donc après huit siècles de bons et loyaux services.
Là où il faudrait une pré-professionnalisation par filières qui préparent à l’université ou à la pratique d’un métier, la réforme impose ce qui a déjà tué le collège : le tronc commun.
Et emmenez-y vos enfants. Les moralistes sont de retour !
Dans le Val d’Oise et à Belfort ce dimanche les résultats des deux législatives partielles sont tombées comme des couperets de guillotine sur la nuque des ci-devant candidats En Marche.
Les Républicains se sont enfin choisi à leur tour leur Napoléon.
Lundi 22 janvier, dans « 28 Minutes », sur Arte, Élisabeth Quin jubilait en annonçant, comme première rubrique, « Un chef indien contre Trump »…