Le voile est dans la rue, au travail, à l’entrée des écoles, dans le sport. Mais cela ne suffit pas : il faut aussi qu’il s’insinue dans les institutions de la République.
Un B majuscule dans le New York Times, c’est comme, chez nous, la Légion d’honneur.
Les infatigables déboulonneurs de statues vont certainement s’intéresser aux descendants de Colbert, de Napoléon, de Ferry. Et de Faidherbe, qu’ils ont sorti de l’oubli où il dormait confortablement.
Ce qui accable les macronistes, c’est que, comme tous les nouveaux riches, ils ne connaissent pas le mot « décence ».
Après l’avoir farouchement nié, l’Iran a reconnu sa responsabilité dans le drame. « Une erreur humaine », disent les autorités de Téhéran.
Un homme qui aimait à ce point les femmes ne pouvait être détestable aux yeux des Français fascinés par ses prouesses amoureuses.
Quel titre ! Il est d’une violence sans aucun doute excessive. Mais le fond est tellement juste.
Il a un objectif que je vous prie de garder secret pour le moment : débarrasser, par tous les moyens légaux, la France du PIR (le Parti des Indigènes de la République).
Oui, ils le veulent, ce sucre enraciné dans notre vieille terre gauloise.
Aujourd’hui, jour de deuil, le glas a sonné dans toutes nos églises : le dragon a triomphé.
Pourquoi le disent-ils ? Parce que, pensent-ils, ça met toutes les croyances à égalité.
Le tweet d’Éric Piolle a suscité sur les réseaux sociaux une tempête de moqueries.
La devise de Paris, c’est « fluctuat nec mergitur ». Celle d’Édouard Philippe, c’est « fluctuat et mergitur » !
Il n’a échappé à personne que le tueur n’a pas tiré au hasard. Il s’est rendu sur le marché de Noël, une fête impie qui insulte la foi qui est la sienne.
Un cycle s’achève. Pendant longtemps, le vent de l’Histoire a soufflé à gauche. Aujourd’hui, il souffle dans le sens contraire.
Macron a demandé pardon pour l’assassinat, en 1957, par des parachutistes français du jeune mathématicien communiste. Il fait sa com’.
Marlène Schiappa a déclaré qu’elle s’était rendue à Trappes car elle voulait savoir ce qu’il en était là-bas de l’égalité femmes-hommes. Maintenant elle sait !
Pascal Boniface peut être capable d’éclectisme. Il voit large. Il déteste aussi la France !
Ne fermons pas les yeux. Si les Juifs sont les plus exposés actuellement viendra ensuite le temps des « mécréants ».
Ne stigmatisons pas. C’est ce que demande Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris.
C’est de lui qu’est la phrase : « traitez vos adversaires de fascistes, pendant qu’ils se justifieront, vous pourrez leur porter de nouveaux coups. »
Des migrants y seraient bien. Des espaces infinis où l’on pourrait construire jusqu’à plus soif des centres d’hébergement.
Et pour s’en défendre, il donne des gages.
Un certain et peu reluisant visage de la France : on s’est battu pour du Nutella® et des couches-culottes !
Après avoir frotté avec un coton-tige les barbes de plusieurs volontaires choisis au hasard dans la rue, le chercheur a analysé ce qu’elles contenaient.
Croisant Youssef qu’il connaissait, Clément avait en effet osé le saluer sans le regarder ! L’offense était grave et méritait châtiment…
Le voile est dans la rue, au travail, à l’entrée des écoles, dans le sport. Mais cela ne suffit pas : il faut aussi qu’il s’insinue dans les institutions de la République.
Un B majuscule dans le New York Times, c’est comme, chez nous, la Légion d’honneur.
Les infatigables déboulonneurs de statues vont certainement s’intéresser aux descendants de Colbert, de Napoléon, de Ferry. Et de Faidherbe, qu’ils ont sorti de l’oubli où il dormait confortablement.
Ce qui accable les macronistes, c’est que, comme tous les nouveaux riches, ils ne connaissent pas le mot « décence ».
Après l’avoir farouchement nié, l’Iran a reconnu sa responsabilité dans le drame. « Une erreur humaine », disent les autorités de Téhéran.
Un homme qui aimait à ce point les femmes ne pouvait être détestable aux yeux des Français fascinés par ses prouesses amoureuses.
Quel titre ! Il est d’une violence sans aucun doute excessive. Mais le fond est tellement juste.
Il a un objectif que je vous prie de garder secret pour le moment : débarrasser, par tous les moyens légaux, la France du PIR (le Parti des Indigènes de la République).
Oui, ils le veulent, ce sucre enraciné dans notre vieille terre gauloise.
Aujourd’hui, jour de deuil, le glas a sonné dans toutes nos églises : le dragon a triomphé.
Pourquoi le disent-ils ? Parce que, pensent-ils, ça met toutes les croyances à égalité.
Le tweet d’Éric Piolle a suscité sur les réseaux sociaux une tempête de moqueries.
La devise de Paris, c’est « fluctuat nec mergitur ». Celle d’Édouard Philippe, c’est « fluctuat et mergitur » !
Il n’a échappé à personne que le tueur n’a pas tiré au hasard. Il s’est rendu sur le marché de Noël, une fête impie qui insulte la foi qui est la sienne.
Un cycle s’achève. Pendant longtemps, le vent de l’Histoire a soufflé à gauche. Aujourd’hui, il souffle dans le sens contraire.
Macron a demandé pardon pour l’assassinat, en 1957, par des parachutistes français du jeune mathématicien communiste. Il fait sa com’.
Marlène Schiappa a déclaré qu’elle s’était rendue à Trappes car elle voulait savoir ce qu’il en était là-bas de l’égalité femmes-hommes. Maintenant elle sait !
Pascal Boniface peut être capable d’éclectisme. Il voit large. Il déteste aussi la France !
Ne fermons pas les yeux. Si les Juifs sont les plus exposés actuellement viendra ensuite le temps des « mécréants ».
Ne stigmatisons pas. C’est ce que demande Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris.
C’est de lui qu’est la phrase : « traitez vos adversaires de fascistes, pendant qu’ils se justifieront, vous pourrez leur porter de nouveaux coups. »
Des migrants y seraient bien. Des espaces infinis où l’on pourrait construire jusqu’à plus soif des centres d’hébergement.
Et pour s’en défendre, il donne des gages.
Un certain et peu reluisant visage de la France : on s’est battu pour du Nutella® et des couches-culottes !
Après avoir frotté avec un coton-tige les barbes de plusieurs volontaires choisis au hasard dans la rue, le chercheur a analysé ce qu’elles contenaient.
Croisant Youssef qu’il connaissait, Clément avait en effet osé le saluer sans le regarder ! L’offense était grave et méritait châtiment…