Salon de l’agriculture
Les références « agricoles » du communisme sont en effet exemplaires.
La moitié des visiteurs attendus n’auraient pas répondu à l’appel.
S’ils n’y sont pas chez eux, qui y est chez lui ? Emmanuel Macron, en Catherine II traversant le village Potemkine ?
Tout était donc pensé pour assurer une déambulation triomphale à Emmanuel Macron…
Mais ce que révèle ce fiasco, c’est qu’Emmanuel n’a rien compris, rien appris de ces sept semaines de crise agricole.
Des heurts ont éclaté à l’intérieur du Salon entre agriculteurs et forces de l’ordre.
Emmanuel Macron promet un grand débat. Mais les agriculteurs ne se satisfont plus de mots.
L’équipe de reporters de BV a passé toute la semaine au Salon de l’agriculture, au milieu des ovins, des bovins, mais aussi des femmes et
Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.
Un sondage de terrain qui en dit long sur la déconnexion entre la gauche écolo et le monde rural !
Ils ont tous les droits puisqu’ils ont très peur et que, croient-ils, leur cause est juste. Les militants rouges-verts radicaux se sentent pousser des ailes.
Le Salon de l’agriculture était, naguère, décrit comme la vitrine de l’agriculture française. Il n’est plus, aujourd’hui, que le décor Potemkine auquel plus grand monde ne croit d’une agriculture « en danger de mort ».
Comme chaque année, Boulevard Voltaire s’est rendu au Salon de l’agriculture à Paris. Dans les allées de « la plus grande ferme de France »,
Du côté de l’internaute qui théorise du complot, l’affaire est entendue. Deux années de suite, les mêmes gens, dans le même salon, allez, allez… À coup sûr, l’Élysée engage des acteurs.
Ils n’ont pas attendu les écolos pour protéger la terre, leur terre, souvent héritée depuis plusieurs générations.
Notre reporter était présent aujourd’hui au Salon de l’agriculture. Il est allé à la rencontre d’élus présents dans les allées de « la plus grande ferme
Passer 15 heures au Salon de l’agriculture, c’est bien. Mais se frotter au cul des vaches ne permettra jamais de se frotter aux difficultés de notre pays.
Les agriculteurs français qui sont bons, mais pas cons et surtout pas dupes, ne souhaitent pas devenir les dindons de cette farce politico-économique.
Nous avions d’un côté notre Président champêtre comme un taureau dans le pré, entouré de gentils agriculteurs, et de l’autre les méchants gilets jaunes, les dégradations et les affrontements avec les forces de police.
Désormais, des milliers d’agriculteurs et PME de l’agro-alimentaire travaillent d’arrache-pied au profit de cinq centrales d’achat.
Un jour ou l’autre la communication doit céder la place à l’Histoire et c’est moins feutré qu’une campagne marketing.
Le président de la république a pu mesurer le fossé qui le séparait d’un monde qui n’est en réalité pas le sien.
Le Salon de l’Agriculture est une scène importante de la politique. Ce fut l’Olympia de Narcisse-Jupiter !
Record battu : plus de douze heures à déambuler à travers la ferme. Vraiment, Il est trop fort. Même dans les colonnes de Boulevard Voltaire, certains n’en reviennent pas.
Je n’ai pas oublié le casse-toi pauvre con de Nicolas Sarkozy et les blagues incessantes de François Hollande…
Le look trader aux dents longues ne passe pas auprès du monde rural. Même avec des bottes en caoutchouc, personne n’y croit.
Les références « agricoles » du communisme sont en effet exemplaires.
La moitié des visiteurs attendus n’auraient pas répondu à l’appel.
S’ils n’y sont pas chez eux, qui y est chez lui ? Emmanuel Macron, en Catherine II traversant le village Potemkine ?
Tout était donc pensé pour assurer une déambulation triomphale à Emmanuel Macron…
Mais ce que révèle ce fiasco, c’est qu’Emmanuel n’a rien compris, rien appris de ces sept semaines de crise agricole.
Des heurts ont éclaté à l’intérieur du Salon entre agriculteurs et forces de l’ordre.
Emmanuel Macron promet un grand débat. Mais les agriculteurs ne se satisfont plus de mots.
L’équipe de reporters de BV a passé toute la semaine au Salon de l’agriculture, au milieu des ovins, des bovins, mais aussi des femmes et
Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.
Un sondage de terrain qui en dit long sur la déconnexion entre la gauche écolo et le monde rural !
Ils ont tous les droits puisqu’ils ont très peur et que, croient-ils, leur cause est juste. Les militants rouges-verts radicaux se sentent pousser des ailes.
Le Salon de l’agriculture était, naguère, décrit comme la vitrine de l’agriculture française. Il n’est plus, aujourd’hui, que le décor Potemkine auquel plus grand monde ne croit d’une agriculture « en danger de mort ».
Comme chaque année, Boulevard Voltaire s’est rendu au Salon de l’agriculture à Paris. Dans les allées de « la plus grande ferme de France »,
Du côté de l’internaute qui théorise du complot, l’affaire est entendue. Deux années de suite, les mêmes gens, dans le même salon, allez, allez… À coup sûr, l’Élysée engage des acteurs.
Ils n’ont pas attendu les écolos pour protéger la terre, leur terre, souvent héritée depuis plusieurs générations.
Notre reporter était présent aujourd’hui au Salon de l’agriculture. Il est allé à la rencontre d’élus présents dans les allées de « la plus grande ferme
Passer 15 heures au Salon de l’agriculture, c’est bien. Mais se frotter au cul des vaches ne permettra jamais de se frotter aux difficultés de notre pays.
Les agriculteurs français qui sont bons, mais pas cons et surtout pas dupes, ne souhaitent pas devenir les dindons de cette farce politico-économique.
Nous avions d’un côté notre Président champêtre comme un taureau dans le pré, entouré de gentils agriculteurs, et de l’autre les méchants gilets jaunes, les dégradations et les affrontements avec les forces de police.
Désormais, des milliers d’agriculteurs et PME de l’agro-alimentaire travaillent d’arrache-pied au profit de cinq centrales d’achat.
Un jour ou l’autre la communication doit céder la place à l’Histoire et c’est moins feutré qu’une campagne marketing.
Le président de la république a pu mesurer le fossé qui le séparait d’un monde qui n’est en réalité pas le sien.
Le Salon de l’Agriculture est une scène importante de la politique. Ce fut l’Olympia de Narcisse-Jupiter !
Record battu : plus de douze heures à déambuler à travers la ferme. Vraiment, Il est trop fort. Même dans les colonnes de Boulevard Voltaire, certains n’en reviennent pas.
Je n’ai pas oublié le casse-toi pauvre con de Nicolas Sarkozy et les blagues incessantes de François Hollande…
Le look trader aux dents longues ne passe pas auprès du monde rural. Même avec des bottes en caoutchouc, personne n’y croit.