Russie
Plongée dans les coulisses d’un conflit stratégique majeur, silencieux mais impitoyable.
L’État a des progrès à faire pour doter son armée afin de garantir sa souveraineté en cas d’attaque.
Cette opération jette une lumière crue sur les « manœuvres d’influence », une spécialité russe.
L’ancien Premier ministre épingle sans aménité la supériorité autoproclamée des élites mondialistes.
Adossées l’une à l’autre, la Russie et la Chine partagent un défi stratégique commun : briser le dispositif d’encerclement américain et mettre un terme au monde unipolaire issu de la fin de la guerre froide.
Le drame, dans cette affaire, c’est que le rôle aujourd’hui joué par la Chine fut longtemps celui de la France ; pays qui savait se conduire en nation servant à la fois de pivot et d’intermédiaire entre grandes puissances avoisinantes.
La Russie est en train de démontrer qu’on peut survivre économiquement, sinon prospérer, en dehors de la zone dollar.
Elle ressemble plus à un catalogue de douze vœux pieux qui resteraient assez vagues pour satisfaire tout le monde.
Les trois grandes puissances sont donc bien d’accord pour nous évincer. Elles y sont parvenues presque complètement. Grâce, entre autres choses, à leur intérêt obstiné pour la géopolitique.
La guerre en Ukraine peut d’ailleurs être considérée comme l’une des premières « guerres démographiques ».
Cette frappe servirait d’exemple : « frapper la France une fois » ferait en sorte que « tout le monde ait peur ».
Et la France, dans tout ça ? On a peine à entendre sa voix.
Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.
Ce n’est pas parce que Poutine combat l’idéologie « woke LGBT » que cela devrait amener, par un absurde reflexe binaire, à le soutenir.
Manifestement, le gouvernement de Kiev n’a pas écouté les messages de modération de l’administration américaine. À moins de penser que cette action ait été validée par Washington. Où se situe, alors, la limite et quelqu’un en a-t-il vraiment fixé une ?
À y regarder de plus près, les déclarations de Vladimir Poutine font référence à trois grandes lignes de fracture qui constituent autant de défis pour les Occidentaux.
On n’avance pas vers une sortie de crise, sauf qu’on voit que les dernières décisions de Monsieur Poutine engendrent une crise interne à la Russie qui pourrait bien se terminer par la chute du pouvoir en place, et en particulier celle de Monsieur Poutine.
Grand reporter, Régis Le Sommier revient sur les différents référendums organisés dans les oblasts ukrainiens passés sous contrôle russe.
Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.
Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.
La majorité de ces lieux de mémoire détruits ou profanés récemment est dédiée à la Seconde Guerre mondiale et au lourd prix payé par les Soviétiques, principalement russes, pour une victoire sur le nazisme.
Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.
Aujourd’hui, la Russie a le vent en poupe en Afrique.
On se croirait revenu à l’époque de la 5e colonne et des boches déguisés en bonnes sœurs…
Vladimir Poutine, de son côté, a su très vite repérer le potentiel de la situation afin d’en tirer profit. Les hydrocarbures constituant la zone de vulnérabilité des Européens, il a alors, en bon judoka, utilisé la force de ses adversaires pour la retourner contre eux.
L’auteur analyse brillamment les fondements du nouveau pouvoir russe et nous fait comprendre comment et pourquoi l’arrivée de Poutine correspondait à une attente du peuple.
La démarche de l’Union est complètement immorale. On ne peut pas relativiser des crimes de guerre d’un côté et les condamner d’un autre.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.
Plongée dans les coulisses d’un conflit stratégique majeur, silencieux mais impitoyable.
L’État a des progrès à faire pour doter son armée afin de garantir sa souveraineté en cas d’attaque.
Cette opération jette une lumière crue sur les « manœuvres d’influence », une spécialité russe.
L’ancien Premier ministre épingle sans aménité la supériorité autoproclamée des élites mondialistes.
Adossées l’une à l’autre, la Russie et la Chine partagent un défi stratégique commun : briser le dispositif d’encerclement américain et mettre un terme au monde unipolaire issu de la fin de la guerre froide.
Le drame, dans cette affaire, c’est que le rôle aujourd’hui joué par la Chine fut longtemps celui de la France ; pays qui savait se conduire en nation servant à la fois de pivot et d’intermédiaire entre grandes puissances avoisinantes.
La Russie est en train de démontrer qu’on peut survivre économiquement, sinon prospérer, en dehors de la zone dollar.
Elle ressemble plus à un catalogue de douze vœux pieux qui resteraient assez vagues pour satisfaire tout le monde.
Les trois grandes puissances sont donc bien d’accord pour nous évincer. Elles y sont parvenues presque complètement. Grâce, entre autres choses, à leur intérêt obstiné pour la géopolitique.
La guerre en Ukraine peut d’ailleurs être considérée comme l’une des premières « guerres démographiques ».
Cette frappe servirait d’exemple : « frapper la France une fois » ferait en sorte que « tout le monde ait peur ».
Et la France, dans tout ça ? On a peine à entendre sa voix.
Incapable de définir une ligne claire, il se décrédibilise à Kiev comme à Moscou.
Ce n’est pas parce que Poutine combat l’idéologie « woke LGBT » que cela devrait amener, par un absurde reflexe binaire, à le soutenir.
Manifestement, le gouvernement de Kiev n’a pas écouté les messages de modération de l’administration américaine. À moins de penser que cette action ait été validée par Washington. Où se situe, alors, la limite et quelqu’un en a-t-il vraiment fixé une ?
À y regarder de plus près, les déclarations de Vladimir Poutine font référence à trois grandes lignes de fracture qui constituent autant de défis pour les Occidentaux.
On n’avance pas vers une sortie de crise, sauf qu’on voit que les dernières décisions de Monsieur Poutine engendrent une crise interne à la Russie qui pourrait bien se terminer par la chute du pouvoir en place, et en particulier celle de Monsieur Poutine.
Grand reporter, Régis Le Sommier revient sur les différents référendums organisés dans les oblasts ukrainiens passés sous contrôle russe.
Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.
Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.
La majorité de ces lieux de mémoire détruits ou profanés récemment est dédiée à la Seconde Guerre mondiale et au lourd prix payé par les Soviétiques, principalement russes, pour une victoire sur le nazisme.
Washington a beau jeu de vouloir imposer des sanctions contre la Russie quand son rapport commercial avec cette dernière n’est que de 1 à 10 en comparaison avec les États européens.
Aujourd’hui, la Russie a le vent en poupe en Afrique.
On se croirait revenu à l’époque de la 5e colonne et des boches déguisés en bonnes sœurs…
Vladimir Poutine, de son côté, a su très vite repérer le potentiel de la situation afin d’en tirer profit. Les hydrocarbures constituant la zone de vulnérabilité des Européens, il a alors, en bon judoka, utilisé la force de ses adversaires pour la retourner contre eux.
L’auteur analyse brillamment les fondements du nouveau pouvoir russe et nous fait comprendre comment et pourquoi l’arrivée de Poutine correspondait à une attente du peuple.
La démarche de l’Union est complètement immorale. On ne peut pas relativiser des crimes de guerre d’un côté et les condamner d’un autre.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.