Robert Ménard
Robert Ménard veut rendre à Béziers, ville d’histoire, son charme et son honneur
Le maire de Béziers répond aux rumeurs circulant sur ses ambitions de ministre : « Pourquoi faire et avec qui ? »
Nos colonnes lui resteront évidemment toujours ouvertes, car nous avons à cœur de conserver ce qu’il a transmis à l’équipe, et établi comme principe fondateur de Boulevard Voltaire : l’amour de la liberté d’expression.
Quoi qu’il en soit, Marine sort renforcée de son escapade biterroise et réaffirme sa volonté de mener à bien son gouvernement d’union nationale…
On entend des « Zemmour Président » scandés. Clapping, hymne national, applaudissement enthousiastes, l’ambiance est digne d’un show à l’américaine mais l’arrivée du polémiste se fait attendre.
En tout cas, quand un candidat inattendu atteint ce score-là, dépassant ou talonnant ses rivaux, c’est qu’il vient répondre à des attentes et pointer certaines de leurs insuffisances.
Dans un tweet, publié ce vendredi matin, Robert Ménard a fait une proposition à Marine Le Pen et Éric Zemmour : les deux figures qui
Au lendemain du second tour des élections départementales et régionales, le maire de Béziers revient sur ce « vrai rejet des partis politiques ». Concernant
La politique consiste avant tout à rendre possible ce qui est nécessaire, tout en optant, vaille que vaille, pour le préférable plutôt que le détestable.
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
Si les Français se réveillent, il est grand temps que nous autres, cadres politiques, nous ouvrions les yeux sur nos responsabilités : demain, il sera trop tard…
Robert Ménard n’a pas dit « aventurière ». Mais c’est vrai qu’il n’est pas fan d’écriture inclusive. Ça tombe bien : Marion Maréchal non plus.
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
Le gros morceau, la Chine, qui, avec 389 journalistes emprisonnés, a encabané, à elle seule, un tiers des gratte-papier incriminés !
Celle qu’il faut éliminer, c’est toujours la même. Cela fait partie de la règle du jeu de base, avant même d’aligner les petits chevaux.
Il est maintenant temps que de grandes figures des Républicains suivent le chemin de Mariani afin de briser ce cordon sanitaire établi par la gauche, qui aura fait tant de mal à la droite et surtout à la France.
C’est un fait que tous les terroristes se réclament de l’islam et qu’il existe un lien, actuellement, entre immigration, islam et terrorisme.
Robert Ménard ne s’en est jamais caché, il est un pragmatique, préférant le concret incarné au jus de cerveau éthéré. C’est le devoir de réalité qui a d’ailleurs motivé sa « conversion ».
L’union des droites qui n’est pas une piste médiocre est en train de se gangrener, écartelée entre un slogan et une bataille d’ego.
Les associations qui voient du racisme partout, sauf dans leur propre sectarisme, se retrouvent donc Gros-Jean comme devant.
Les 35.000 maires de France devraient s’en inspirer, ça nous change de la soupe tiède que nous sert François Baroin, le président de l’Association des maires de France.
Il est l’œil de Caïn des édiles de sous-préfecture, qui répètent à l’envi en contemplant les dégâts qu’on-n’y-peut-rien-c’est-comme-ça.
Après tout, il a autant le droit de s’exprimer sur ce sujet qu’un Franck Dubosc qui, après les avoir soutenus, a retourné sa veste, ou qu’un François Berléand…
À notre connaissance, le coût de cette opération de diversion n’a pas été communiqué. Son montant pourrait, à lui seul, anéantir l’efficacité recherchée auprès de l’opinion. Ce serait ballot.
Ce décalage constaté entre le réel et l’aliénation journalistique a un précédent : celui des sociétés communistes…
Entre naïveté et suspicion systématique, la voie est étroite.
Il est pitoyable après tant de crimes commis par le terrorisme islamiste de continuer à discuter ainsi du sexe des anges en développant ce sempiternel argument sur le risque d’amalgame.
Joffrin sait-il si Libération a parlé de l’élection de Donald Trump ? Il faudra lui poser la question.
Robert Ménard veut rendre à Béziers, ville d’histoire, son charme et son honneur
Le maire de Béziers répond aux rumeurs circulant sur ses ambitions de ministre : « Pourquoi faire et avec qui ? »
Nos colonnes lui resteront évidemment toujours ouvertes, car nous avons à cœur de conserver ce qu’il a transmis à l’équipe, et établi comme principe fondateur de Boulevard Voltaire : l’amour de la liberté d’expression.
Quoi qu’il en soit, Marine sort renforcée de son escapade biterroise et réaffirme sa volonté de mener à bien son gouvernement d’union nationale…
On entend des « Zemmour Président » scandés. Clapping, hymne national, applaudissement enthousiastes, l’ambiance est digne d’un show à l’américaine mais l’arrivée du polémiste se fait attendre.
En tout cas, quand un candidat inattendu atteint ce score-là, dépassant ou talonnant ses rivaux, c’est qu’il vient répondre à des attentes et pointer certaines de leurs insuffisances.
Dans un tweet, publié ce vendredi matin, Robert Ménard a fait une proposition à Marine Le Pen et Éric Zemmour : les deux figures qui
Au lendemain du second tour des élections départementales et régionales, le maire de Béziers revient sur ce « vrai rejet des partis politiques ». Concernant
La politique consiste avant tout à rendre possible ce qui est nécessaire, tout en optant, vaille que vaille, pour le préférable plutôt que le détestable.
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
Si les Français se réveillent, il est grand temps que nous autres, cadres politiques, nous ouvrions les yeux sur nos responsabilités : demain, il sera trop tard…
Robert Ménard n’a pas dit « aventurière ». Mais c’est vrai qu’il n’est pas fan d’écriture inclusive. Ça tombe bien : Marion Maréchal non plus.
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
Le gros morceau, la Chine, qui, avec 389 journalistes emprisonnés, a encabané, à elle seule, un tiers des gratte-papier incriminés !
Celle qu’il faut éliminer, c’est toujours la même. Cela fait partie de la règle du jeu de base, avant même d’aligner les petits chevaux.
Il est maintenant temps que de grandes figures des Républicains suivent le chemin de Mariani afin de briser ce cordon sanitaire établi par la gauche, qui aura fait tant de mal à la droite et surtout à la France.
C’est un fait que tous les terroristes se réclament de l’islam et qu’il existe un lien, actuellement, entre immigration, islam et terrorisme.
Robert Ménard ne s’en est jamais caché, il est un pragmatique, préférant le concret incarné au jus de cerveau éthéré. C’est le devoir de réalité qui a d’ailleurs motivé sa « conversion ».
L’union des droites qui n’est pas une piste médiocre est en train de se gangrener, écartelée entre un slogan et une bataille d’ego.
Les associations qui voient du racisme partout, sauf dans leur propre sectarisme, se retrouvent donc Gros-Jean comme devant.
Les 35.000 maires de France devraient s’en inspirer, ça nous change de la soupe tiède que nous sert François Baroin, le président de l’Association des maires de France.
Il est l’œil de Caïn des édiles de sous-préfecture, qui répètent à l’envi en contemplant les dégâts qu’on-n’y-peut-rien-c’est-comme-ça.
Après tout, il a autant le droit de s’exprimer sur ce sujet qu’un Franck Dubosc qui, après les avoir soutenus, a retourné sa veste, ou qu’un François Berléand…
À notre connaissance, le coût de cette opération de diversion n’a pas été communiqué. Son montant pourrait, à lui seul, anéantir l’efficacité recherchée auprès de l’opinion. Ce serait ballot.
Ce décalage constaté entre le réel et l’aliénation journalistique a un précédent : celui des sociétés communistes…
Entre naïveté et suspicion systématique, la voie est étroite.
Il est pitoyable après tant de crimes commis par le terrorisme islamiste de continuer à discuter ainsi du sexe des anges en développant ce sempiternel argument sur le risque d’amalgame.
Joffrin sait-il si Libération a parlé de l’élection de Donald Trump ? Il faudra lui poser la question.