Olivier véran
Lifting, implants mammaires… l’ex-ministre de la Santé sera sur le pont pour sauver ce qui peut l’être encore.
Olivier Véran pense qu’il « sera le premier dans un goulag si Marine Le Pen est élue ».
Un manque de pluralisme revendiqué chez Quotidien. L’Arcom et Reporters Sans Frontières n’y verront rien de méchant.
Envoyer un épouvantail à électeurs à la pêche aux suffrages, ce serait effectivement du jamais-vu.
En fait de renouveau démocratique, Olivier Véran est surtout en charge du RN.
Trouver des explications toujours plus foireuses au mal du pays est un travail harassant.
Olivier Véran est déterminé à lutter contre la « stratégie de la cravate » du RN.
Certes, Véran a mûri depuis sa fébrilité adolescente du temps de « la Covid », mais au fond, c’est le même bonhomme.
Accompagné par le préfet de la Drôme, il a été copieusement hué à sa sortie du véhicule. : « Vous n’avez pas honte ! »
C’est bien la première fois qu’on peut accuser Olivier Véran et ses clones de conservatisme.
Il évoque une sorte de taqiya amenant les lepénistes à mentir pour mieux dissimuler leurs véritables objectifs…
Des convictions ? Il en a au moins une : lutter contre le Rassemblement national. Cela paraît lui suffire.
Olivier Véran joue la carte du parti de l’ordre…
Sans doute demain le ministre des PME ne manquera-t-il pas de saluer, à l’occasion de leur congrès, le Syndicat des cafetiers… « et des cafetières ».
Devenu porte-parole à la suite d’un remaniement inexplicable, l’ex-ministre de la Santé a conservé cette fibre alarmiste qui lui valut d’être vénéré par les complotistes.
La force du présentateur fut d’alterner entre des interventions de personnalités « connues » avec des témoignages poignants de travailleurs du quotidien.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
Non content d’imposer à un peuple d’enfants le slogan stupide « je baisse, j’éteins, je décale », le gouvernement a envoyé Olivier Véran en première ligne.
En guise d’extinction définitive de cette atteinte à la solidarité gouvernementale, un dernier sceau d’eau est jeté sur les cendres encore fumantes. Le pompier Véran repart vers son QG en laissant derrière lui un fagot de langue de bois. Les cols roulés ne sont plus indispensables.
Qu’un membre du gouvernement justifie le viol de la loi est pour le moins singulier. S’il n’y avait pas « quelque chose de pourri » dans la république de France, on aurait dû exiger sa démission.
En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.
À l’heure où nos compatriotes faisaient des heures de queue pour pouvoir seulement aller travailler, cet optimisme a dû être apprécié à sa juste mesure.
Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…
C’est ça que doit vouloir dire « compliqué » : ça veut dire « simple mais qui nous foutrait dans la m… »
La plate-forme a ainsi fait des merveilles pour soigner l’image de marque du ministre, qui a sorti un livre le 8 septembre dernier, poétiquement nommé Par-delà les vagues.
Le but premier de cet ouvrage est, c’est certain, de faire pleurer dans les chaumières sur le sort d’un ministre pourtant incompétent, coercitif et occasionnellement hystérique…
À quand une cellule de soutien psychologique afin qu’ils puissent surmonter pareil trauma, dans l’espoir d’ensuite se reconstruire ?
Lifting, implants mammaires… l’ex-ministre de la Santé sera sur le pont pour sauver ce qui peut l’être encore.
Olivier Véran pense qu’il « sera le premier dans un goulag si Marine Le Pen est élue ».
Un manque de pluralisme revendiqué chez Quotidien. L’Arcom et Reporters Sans Frontières n’y verront rien de méchant.
Envoyer un épouvantail à électeurs à la pêche aux suffrages, ce serait effectivement du jamais-vu.
En fait de renouveau démocratique, Olivier Véran est surtout en charge du RN.
Trouver des explications toujours plus foireuses au mal du pays est un travail harassant.
Olivier Véran est déterminé à lutter contre la « stratégie de la cravate » du RN.
Certes, Véran a mûri depuis sa fébrilité adolescente du temps de « la Covid », mais au fond, c’est le même bonhomme.
Accompagné par le préfet de la Drôme, il a été copieusement hué à sa sortie du véhicule. : « Vous n’avez pas honte ! »
C’est bien la première fois qu’on peut accuser Olivier Véran et ses clones de conservatisme.
Il évoque une sorte de taqiya amenant les lepénistes à mentir pour mieux dissimuler leurs véritables objectifs…
Des convictions ? Il en a au moins une : lutter contre le Rassemblement national. Cela paraît lui suffire.
Olivier Véran joue la carte du parti de l’ordre…
Sans doute demain le ministre des PME ne manquera-t-il pas de saluer, à l’occasion de leur congrès, le Syndicat des cafetiers… « et des cafetières ».
Devenu porte-parole à la suite d’un remaniement inexplicable, l’ex-ministre de la Santé a conservé cette fibre alarmiste qui lui valut d’être vénéré par les complotistes.
La force du présentateur fut d’alterner entre des interventions de personnalités « connues » avec des témoignages poignants de travailleurs du quotidien.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
Non content d’imposer à un peuple d’enfants le slogan stupide « je baisse, j’éteins, je décale », le gouvernement a envoyé Olivier Véran en première ligne.
En guise d’extinction définitive de cette atteinte à la solidarité gouvernementale, un dernier sceau d’eau est jeté sur les cendres encore fumantes. Le pompier Véran repart vers son QG en laissant derrière lui un fagot de langue de bois. Les cols roulés ne sont plus indispensables.
Qu’un membre du gouvernement justifie le viol de la loi est pour le moins singulier. S’il n’y avait pas « quelque chose de pourri » dans la république de France, on aurait dû exiger sa démission.
En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.
À l’heure où nos compatriotes faisaient des heures de queue pour pouvoir seulement aller travailler, cet optimisme a dû être apprécié à sa juste mesure.
Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…
C’est ça que doit vouloir dire « compliqué » : ça veut dire « simple mais qui nous foutrait dans la m… »
La plate-forme a ainsi fait des merveilles pour soigner l’image de marque du ministre, qui a sorti un livre le 8 septembre dernier, poétiquement nommé Par-delà les vagues.
Le but premier de cet ouvrage est, c’est certain, de faire pleurer dans les chaumières sur le sort d’un ministre pourtant incompétent, coercitif et occasionnellement hystérique…
À quand une cellule de soutien psychologique afin qu’ils puissent surmonter pareil trauma, dans l’espoir d’ensuite se reconstruire ?