Marine Le Pen
Voilà donc le RN accusé d’être le parti du néonazisme revu et corrigé par le XXIe siècle et par les fantasmes d’un gouvernement de plus en plus aux abois.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Pour faire bonne mesure et assurer le coup, Macron est donc parti en campagne. Il a lancé un grand débat à sa seule gloire et sillonne désormais la France à la pêche aux voix.
Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
Si le scénario à l’italienne devait avoir lieu, celui-ci émergerait via un partenariat entre l’émanation politique des gilets jaunes et le Rassemblement national.
Sans doute existe-t-il des convergences sociales entre les électorats RN et LFI. Mais trop de divergences les séparent sur les questions migratoires.
On découvre en effet dans le clip une piñata à l’effigie de Marine Le Pen que Médine fait mine de frapper avec une batte avant que des enfants ne s’acharnent dessus à coups de bâton…
Imagine-t-on où nous en serions, aujourd’hui, si l’un des gendarmes, pour réagir au fameux boxeur, avait sorti son arme et l’avait utilisée.
Le printemps 2019 prendra-t-il des airs d’avril 1969 ?
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Pas étonnant, dès lors, que le cri de révolte du peuple des ronds-points, qui a pendant des semaines reçu le soutien ou au moins la compréhension de l’opinion, ait bénéficié à Marine Le Pen.
…on ne saurait passer de la tutelle de Bruxelles à la férule d’on ne sait quels groupes de pression de Washington.
Qui peut croire sérieusement que l’antisémitisme sévirait dans les rangs du parti fondé et dirigé par Marine Le Pen ?
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte. Mais la diabolisation qui marchait
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
Dans la tête des électeurs de base, les barrières et les lignes rouges sont tombées.
Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.
Laurent Wauquiez ne s’intéresse par au grand mouvement patriote ou populiste qui traverse actuellement l’Europe.
Face à Emmanuel Macron, gagnera celui qui s’imposera comme un fédérateur et non comme un diviseur.
Ils montrent surtout l’exemple d’une alliance qui se dessine et se réalisera, à coup sûr, au Parlement européen.
« Le plus dingue des deux n’est pas celui qu’on croit » : c’est avec cette petite phrase en off que Nicolas Dupont-Aignan s’est attiré la colère
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire au refroidissement des relations entre Debout la France et le Rassemblement national. Il semblerait
Il semblerait que l’ambiance se refroidisse entre Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen, notamment avec le soutien de quelques élus du Rassemblement national à la
Alors, Nicolas Dupont-Aignan, l’homme providentiel de la droite ?
Voilà donc le RN accusé d’être le parti du néonazisme revu et corrigé par le XXIe siècle et par les fantasmes d’un gouvernement de plus en plus aux abois.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Pour faire bonne mesure et assurer le coup, Macron est donc parti en campagne. Il a lancé un grand débat à sa seule gloire et sillonne désormais la France à la pêche aux voix.
Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
Si le scénario à l’italienne devait avoir lieu, celui-ci émergerait via un partenariat entre l’émanation politique des gilets jaunes et le Rassemblement national.
Sans doute existe-t-il des convergences sociales entre les électorats RN et LFI. Mais trop de divergences les séparent sur les questions migratoires.
On découvre en effet dans le clip une piñata à l’effigie de Marine Le Pen que Médine fait mine de frapper avec une batte avant que des enfants ne s’acharnent dessus à coups de bâton…
Imagine-t-on où nous en serions, aujourd’hui, si l’un des gendarmes, pour réagir au fameux boxeur, avait sorti son arme et l’avait utilisée.
Le printemps 2019 prendra-t-il des airs d’avril 1969 ?
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Pas étonnant, dès lors, que le cri de révolte du peuple des ronds-points, qui a pendant des semaines reçu le soutien ou au moins la compréhension de l’opinion, ait bénéficié à Marine Le Pen.
…on ne saurait passer de la tutelle de Bruxelles à la férule d’on ne sait quels groupes de pression de Washington.
Qui peut croire sérieusement que l’antisémitisme sévirait dans les rangs du parti fondé et dirigé par Marine Le Pen ?
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.
L’avenir de l’Europe et de la France est entre leurs mains.
Emmanuel Macron instrumentalise l’Histoire à des fins purement politiciennes…
Elle a tenu longtemps dans cette fameuse troisième voie centriste, entre le socialisme moribond et la droite dure qui monte. Mais la diabolisation qui marchait
M. Mélenchon fait de la politique. Qui pourrait le lui reprocher ?
Dans la tête des électeurs de base, les barrières et les lignes rouges sont tombées.
Bref, celui qui entendait rétablir la verticalité du pouvoir a parlé. Pour ne rien dire, une fois de plus.
Laurent Wauquiez ne s’intéresse par au grand mouvement patriote ou populiste qui traverse actuellement l’Europe.
Face à Emmanuel Macron, gagnera celui qui s’imposera comme un fédérateur et non comme un diviseur.
Ils montrent surtout l’exemple d’une alliance qui se dessine et se réalisera, à coup sûr, au Parlement européen.
« Le plus dingue des deux n’est pas celui qu’on croit » : c’est avec cette petite phrase en off que Nicolas Dupont-Aignan s’est attiré la colère
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire au refroidissement des relations entre Debout la France et le Rassemblement national. Il semblerait
Il semblerait que l’ambiance se refroidisse entre Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen, notamment avec le soutien de quelques élus du Rassemblement national à la
Alors, Nicolas Dupont-Aignan, l’homme providentiel de la droite ?