Marine Le Pen
Après le recadrage du ministre des Finances par Michel Barnier, la gauche au bord de la crise de nerfs…
Pour un parti coincé entre RN et UDR de Ciotti d’un côté et Macronie de l’autre, le pari est à double tranchant.
Marine Le Pen a ainsi beau jeu de le rappeler : « Macron a choisi le chaos. »
Dans une tribune, les Insoumis réclament la « destitution du président de la République ». Le bruit avant tout !
Leur mise côté à côte est pertinente puisque le RN a réussi à séduire à la fois les catégories populaires et supérieures
Une question : Donald Trump, Marine Le Pen, même combat ?
Édouard Philippe, comme Marine Le Pen, sait que la politique ne se limite pas à jeter à la figure des anathèmes.
En cohabitation « dure », Macron peut devenir une sorte de roi d’Angleterre, l’uniforme et les décorations en moins.
La question de la démission du Président, déjà présente dans l’esprit des Français, ne fera que croître.
N’en déplaise aux féministes de la vieille école, les électrices sont séduites par Marine Le Pen et Jordan Bardella.
Pour la Macronie, c’est un alignement des planètes terrible : après le chaos sécuritaire, l’incompétence financière.
Une complicité qui éclate ensuite au grand jour malgré des « dissensions idéologiques ».
Les différents sondages d’opinion placent la liste de Jordan Bardella largement en tête des intentions de vote.
Ne faisant confiance ni à Hayer ni à Attal, Macron montera-t-il en première ligne pour les européennes ?
« Chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du pouvoir. » (Jordan Bardella)
Le Premier ministre comme le maire du Havre seraient en effet largement distancés par la candidate du RN.
Emmanuel Macron a parlé de réarmement démographique, Marine Le Pen l’a – indirectement – fait.
Ce message de Marine Le Pen,a créé quelques remous au sein de la coalition gouvernementale italienne.
« Soit on est pro-Macron, soit on est accusé d’être pro-Poutine, résume Marine Le Pen. Cette attitude est abjecte ».
« Nous sommes les défenseurs de la souveraineté nationale », a ajouté Marine Le Pen.
Le 9 juin, c’est le « jour 1 de l’alternance » et le RN compte bien séduire les jeunes générations pour l’emporter.
La déclaration de Gabriel Attal dans l’Hémicycle ressemble fort à une provocation.
Des résultats étonnant alors même que le féminisme est l’apanage de cette gauche qui prétend en détenir le monopole.
Les humoristes élyséens n’en sont pas à leur galop d’essai.
Attal a des discours droitiers mais, au final, on a Belloubet…
Pour le Rassemblement national, ces résultats sont tout un symbole.
En cas du duel Le Pen/Mélenchon, la patronne des députés RN l’emporterait largement avec 64 % des voix.
Ces dernières années, leur image respective a drastiquement évolué.
Après le recadrage du ministre des Finances par Michel Barnier, la gauche au bord de la crise de nerfs…
Pour un parti coincé entre RN et UDR de Ciotti d’un côté et Macronie de l’autre, le pari est à double tranchant.
Marine Le Pen a ainsi beau jeu de le rappeler : « Macron a choisi le chaos. »
Dans une tribune, les Insoumis réclament la « destitution du président de la République ». Le bruit avant tout !
Leur mise côté à côte est pertinente puisque le RN a réussi à séduire à la fois les catégories populaires et supérieures
Une question : Donald Trump, Marine Le Pen, même combat ?
Édouard Philippe, comme Marine Le Pen, sait que la politique ne se limite pas à jeter à la figure des anathèmes.
En cohabitation « dure », Macron peut devenir une sorte de roi d’Angleterre, l’uniforme et les décorations en moins.
La question de la démission du Président, déjà présente dans l’esprit des Français, ne fera que croître.
N’en déplaise aux féministes de la vieille école, les électrices sont séduites par Marine Le Pen et Jordan Bardella.
Pour la Macronie, c’est un alignement des planètes terrible : après le chaos sécuritaire, l’incompétence financière.
Une complicité qui éclate ensuite au grand jour malgré des « dissensions idéologiques ».
Les différents sondages d’opinion placent la liste de Jordan Bardella largement en tête des intentions de vote.
Ne faisant confiance ni à Hayer ni à Attal, Macron montera-t-il en première ligne pour les européennes ?
« Chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus du pouvoir. » (Jordan Bardella)
Le Premier ministre comme le maire du Havre seraient en effet largement distancés par la candidate du RN.
Emmanuel Macron a parlé de réarmement démographique, Marine Le Pen l’a – indirectement – fait.
Ce message de Marine Le Pen,a créé quelques remous au sein de la coalition gouvernementale italienne.
« Soit on est pro-Macron, soit on est accusé d’être pro-Poutine, résume Marine Le Pen. Cette attitude est abjecte ».
« Nous sommes les défenseurs de la souveraineté nationale », a ajouté Marine Le Pen.
Le 9 juin, c’est le « jour 1 de l’alternance » et le RN compte bien séduire les jeunes générations pour l’emporter.
La déclaration de Gabriel Attal dans l’Hémicycle ressemble fort à une provocation.
Des résultats étonnant alors même que le féminisme est l’apanage de cette gauche qui prétend en détenir le monopole.
Les humoristes élyséens n’en sont pas à leur galop d’essai.
Attal a des discours droitiers mais, au final, on a Belloubet…
Pour le Rassemblement national, ces résultats sont tout un symbole.
En cas du duel Le Pen/Mélenchon, la patronne des députés RN l’emporterait largement avec 64 % des voix.
Ces dernières années, leur image respective a drastiquement évolué.