Iran
Depuis la réplique iranienne, la guerre à Gaza se révèle sous un autre jour.
La dangerosité de l’attaque fait tout craindre si, demain, ces fous d’Allah détiennent la bombe atomique.
Elle n’était pas prof d’histoire-géo, mais de français. Plus à l’aise, donc, avec les romans qu’avec la réalité.
Deux femmes, l’une à visage découvert et menacée de mort, l’autre planquée derrière son clavier pour militer..
C’est à l’Iran que profite le crime.
La police du pays a annoncé qu’une technologie « intelligente » serait utilisée dans les lieux publics
S’exprimant sur les émeutes, les grèves, les troubles qui succèdent à l’adoption, par le 49.3, de la réforme des retraites, Nasser Kanani commence par « Qui sème le vent récolte la tempête »…
Depuis l’automne dernier, les relations entre les deux États connaissent de nombreux soubresauts.
Une femme nue en position gynécologique, les jambes écartées, accueille dans son vagin, marchant en file indienne, des religieux iraniens. En titre de cette nouvelle une du journal satirique : « Mollahs, retournez d’où vous venez ! »
L’agitation qui secoue le pays a plus à voir avec la situation économique et sociale qu’à une histoire de voile ou d’aspirations progressistes.
La même semaine, un conseiller municipal PS quittait Les Mureaux face au vivre ensemble qu’il avait contribué à créer. Ouvriront-ils les yeux ? On l’espère.
Faut-il prendre le risque de décevoir la Seine-Saint-Denis en critiquant trop ouvertement un régime et un pays musulman ?
On ne peut pas mélanger combats féministes et défense de l’islam politique. Louis Boyard ne veut pas le comprendre.
Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Le hijab est, sous nos latitudes, un tissu inoffensif, une parure dans les cheveux comme une autre, équivalente
Alors qu’en Iran, théocratie islamiste, les femmes se rebellent contre l’obligation du port du voile, en France, réputée république laïque, les islamistes – aidés de leurs alliés objectifs les néo-féministes et les islamo-gauchistes – imposent le voile dans l’espace public.
Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.
Si Donald Trump n’est pas le fou dangereux que la majorité des médias décrit, il n’empêche qu’il joue ici un jeu dangereux ; même si, chez lui, il y a souvent loin des paroles aux actes.
Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.
En réalité, les Européens en général, et la France en particulier, sont largement hors jeu.
Les rebelles yéménites houthis revendiquent le bombardement, par drones interposés, d’installations pétrolières saoudiennes, réduisant ainsi de moitié la production d’un royaume représentant à lui seul 5 % de la production mondiale.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Moscou et Téhéran se seraient mis d’accord pour que les Russes implantent en Iran deux bases militaires navales, accueillant navires de guerre et sous-marins nucléaires, et une base aérienne garnie de 35 Sukhoi Su-57.
Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…
Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.
Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.
Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…
La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.
Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?
Depuis la réplique iranienne, la guerre à Gaza se révèle sous un autre jour.
La dangerosité de l’attaque fait tout craindre si, demain, ces fous d’Allah détiennent la bombe atomique.
Elle n’était pas prof d’histoire-géo, mais de français. Plus à l’aise, donc, avec les romans qu’avec la réalité.
Deux femmes, l’une à visage découvert et menacée de mort, l’autre planquée derrière son clavier pour militer..
C’est à l’Iran que profite le crime.
La police du pays a annoncé qu’une technologie « intelligente » serait utilisée dans les lieux publics
S’exprimant sur les émeutes, les grèves, les troubles qui succèdent à l’adoption, par le 49.3, de la réforme des retraites, Nasser Kanani commence par « Qui sème le vent récolte la tempête »…
Depuis l’automne dernier, les relations entre les deux États connaissent de nombreux soubresauts.
Une femme nue en position gynécologique, les jambes écartées, accueille dans son vagin, marchant en file indienne, des religieux iraniens. En titre de cette nouvelle une du journal satirique : « Mollahs, retournez d’où vous venez ! »
L’agitation qui secoue le pays a plus à voir avec la situation économique et sociale qu’à une histoire de voile ou d’aspirations progressistes.
La même semaine, un conseiller municipal PS quittait Les Mureaux face au vivre ensemble qu’il avait contribué à créer. Ouvriront-ils les yeux ? On l’espère.
Faut-il prendre le risque de décevoir la Seine-Saint-Denis en critiquant trop ouvertement un régime et un pays musulman ?
On ne peut pas mélanger combats féministes et défense de l’islam politique. Louis Boyard ne veut pas le comprendre.
Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. Le hijab est, sous nos latitudes, un tissu inoffensif, une parure dans les cheveux comme une autre, équivalente
Alors qu’en Iran, théocratie islamiste, les femmes se rebellent contre l’obligation du port du voile, en France, réputée république laïque, les islamistes – aidés de leurs alliés objectifs les néo-féministes et les islamo-gauchistes – imposent le voile dans l’espace public.
Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.
Si Donald Trump n’est pas le fou dangereux que la majorité des médias décrit, il n’empêche qu’il joue ici un jeu dangereux ; même si, chez lui, il y a souvent loin des paroles aux actes.
Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.
En réalité, les Européens en général, et la France en particulier, sont largement hors jeu.
Les rebelles yéménites houthis revendiquent le bombardement, par drones interposés, d’installations pétrolières saoudiennes, réduisant ainsi de moitié la production d’un royaume représentant à lui seul 5 % de la production mondiale.
Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.
Moscou et Téhéran se seraient mis d’accord pour que les Russes implantent en Iran deux bases militaires navales, accueillant navires de guerre et sous-marins nucléaires, et une base aérienne garnie de 35 Sukhoi Su-57.
Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…
Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.
Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.
Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…
La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.
Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?