Incendie
L’origine humaine de l’incendie été confirmée.
Les dégradations sont signées et laissent peu de doute quant à l’identité des coupables.
Un phénomène de décivilisation préoccupant qui semble monter en puissance.
Trois hommes de 23 ans (Côte d’Azur), 18 ans (Val-d’Oise) et 17 ans (Seine-Saint-Denis) demeurent activement recherchés
Des affaires qui n’ont fait que peu de bruit dans la presse.
Entre accidents, vandalisme et laisser-aller coupable, notre patrimoine religieux se porte au plus mal.
Quatre personnes ont été blessées dont un enfant de 12 ans brûlé à 25 % qui a été transféré vers un hôpital lyonnais.
On est tout de même dans un drôle de pays où l’on veut du bois pour remplacer le béton et le plastique, pour absorber le CO2, mais on est contre la culture des arbres !
La vérité, malheureusement, comme pour de trop nombreux sujets, c’est qu’une fois les feux éteints, toutes les questions posées se retrouvent sans réponse.
Il reste maintenant à déterminer l’origine du départ de feu ; la police judiciaire mène l’enquête.
On aimerait que le président de la République soit aussi prompt à se « rendre sur place » pour mesurer l’ampleur de l’incendie social qui est en train de se propager dans le pays.
On nous avait « vendu » l’Europe comme une espèce de cocon créé pour nous faire du bien, nous aider, nous amener vers le « progrès », nous libérer des démons d’antan.
« Il n’y a pas d’électricité dans ce coin de l’église, donc il n’y avait pas de raison qu’il y ait un départ de feu à cet endroit », a expliqué le maire.
L’origine de cet incendie est inconnue.
Les pompiers ont détecté plusieurs départs de feu.
Vers 8 h 30, une épaisse fumée noire se dégageait de l’édifice.
Laissons faire les aborigènes et leurs techniques de brûlis à la bonne saison, ils ont un peu d’expérience…
Sur le site d’une association de pompiers volontaires, on peut lire : « La gravité des feux n’a rien à voir avec le changement climatique mais avec de nouvelles règles environnementales qui ont rendu l’entretien du bush impossible au nom de la biodiversité. »
Oui, l’Australie est en proie à des incendies ravageurs. Mais, encore une fois, on parle d’un pays-continent. Il est important de relativiser.
Si localement, cette découverte chagrine le diocèse, elle enquiquine surtout France 3, prise dans un bad buzz dont elle se se serait bien passée…
L’origine humaine de l’incendie été confirmée.
Les dégradations sont signées et laissent peu de doute quant à l’identité des coupables.
Un phénomène de décivilisation préoccupant qui semble monter en puissance.
Trois hommes de 23 ans (Côte d’Azur), 18 ans (Val-d’Oise) et 17 ans (Seine-Saint-Denis) demeurent activement recherchés
Des affaires qui n’ont fait que peu de bruit dans la presse.
Entre accidents, vandalisme et laisser-aller coupable, notre patrimoine religieux se porte au plus mal.
Quatre personnes ont été blessées dont un enfant de 12 ans brûlé à 25 % qui a été transféré vers un hôpital lyonnais.
On est tout de même dans un drôle de pays où l’on veut du bois pour remplacer le béton et le plastique, pour absorber le CO2, mais on est contre la culture des arbres !
La vérité, malheureusement, comme pour de trop nombreux sujets, c’est qu’une fois les feux éteints, toutes les questions posées se retrouvent sans réponse.
Il reste maintenant à déterminer l’origine du départ de feu ; la police judiciaire mène l’enquête.
On aimerait que le président de la République soit aussi prompt à se « rendre sur place » pour mesurer l’ampleur de l’incendie social qui est en train de se propager dans le pays.
On nous avait « vendu » l’Europe comme une espèce de cocon créé pour nous faire du bien, nous aider, nous amener vers le « progrès », nous libérer des démons d’antan.
« Il n’y a pas d’électricité dans ce coin de l’église, donc il n’y avait pas de raison qu’il y ait un départ de feu à cet endroit », a expliqué le maire.
L’origine de cet incendie est inconnue.
Les pompiers ont détecté plusieurs départs de feu.
Vers 8 h 30, une épaisse fumée noire se dégageait de l’édifice.
Laissons faire les aborigènes et leurs techniques de brûlis à la bonne saison, ils ont un peu d’expérience…
Sur le site d’une association de pompiers volontaires, on peut lire : « La gravité des feux n’a rien à voir avec le changement climatique mais avec de nouvelles règles environnementales qui ont rendu l’entretien du bush impossible au nom de la biodiversité. »
Oui, l’Australie est en proie à des incendies ravageurs. Mais, encore une fois, on parle d’un pays-continent. Il est important de relativiser.
Si localement, cette découverte chagrine le diocèse, elle enquiquine surtout France 3, prise dans un bad buzz dont elle se se serait bien passée…