fête du travail
Castaner est, clairement, une erreur de casting.
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Il semblerait que cette « attaque » n’ait jamais eu lieu que dans la vision macronienne du ministre de l’Intérieur
Les syndicats dits « traditionnels » n’ont plus, aujourd’hui, le contrôle de la rue.
Notre reporter a suivi la mobilisation du 1er mai 2019 à Paris : son témoignage, entre défilé pacifique et affrontements avec les forces de l’ordre.
Aucun lieu ni, pire encore, aucun moment de nos vies n’est plus sanctuarisé.
Tant pis si je me répète : je le dis, le redis et le reredis, ras le bol !
Entre 1.500 et 2.000 Black Blocs seraient attendus le 1er mai à Paris, selon les renseignements de la préfecture de police, avec la crainte d’une
En cette veille du 1er mai, fête du Travail, Boulevard Voltaire a interviewé Joseph Thouvenel, de la CFTC. Il s’exprime sur le sujet des violences
Que n’ont-ils été aussi fermes lorsqu’ils avaient le pouvoir, ces gens de droite !
Ces propos renvoyant dos à dos la violence extrême et des militants pacifiques se passent évidemment de commentaires.
Réagissant aux violences perpétrées le 1er mai à Paris, Christian Estrosi a dénoncé « la montée des populismes & nationalismes »… Philippe Vardon lui répond au micro
De loin, des effigies de Che Guevara peuvent induire en erreur… Peut-être s’agit-il d’une photo de Robert Ménard ? N’oublions pas qu’il s’est laissé pousser la barbe.
Après les violences de mardi en marge des défilés de la fête du Travail, l’heure est aux interrogations : qui sont ces fameux Black Blocs
Il serait grand temps de prendre conscience que devant ce déferlement systématique de violence, il faut prendre des mesures radicales.
Un millier de militants d’extrême gauche ont saccagé Paris, depuis Austerlitz jusqu’à la place de la Bastille… Boulevard Voltaire était sur place : regardez et
Même la personne la plus raisonnable, la moins encline à voir des complots partout, ne peut qu’être troublée.
Notre président ne peut que se réjouir de ces divisions.
Castaner est, clairement, une erreur de casting.
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Il semblerait que cette « attaque » n’ait jamais eu lieu que dans la vision macronienne du ministre de l’Intérieur
Les syndicats dits « traditionnels » n’ont plus, aujourd’hui, le contrôle de la rue.
Notre reporter a suivi la mobilisation du 1er mai 2019 à Paris : son témoignage, entre défilé pacifique et affrontements avec les forces de l’ordre.
Aucun lieu ni, pire encore, aucun moment de nos vies n’est plus sanctuarisé.
Tant pis si je me répète : je le dis, le redis et le reredis, ras le bol !
Entre 1.500 et 2.000 Black Blocs seraient attendus le 1er mai à Paris, selon les renseignements de la préfecture de police, avec la crainte d’une
En cette veille du 1er mai, fête du Travail, Boulevard Voltaire a interviewé Joseph Thouvenel, de la CFTC. Il s’exprime sur le sujet des violences
Que n’ont-ils été aussi fermes lorsqu’ils avaient le pouvoir, ces gens de droite !
Ces propos renvoyant dos à dos la violence extrême et des militants pacifiques se passent évidemment de commentaires.
Réagissant aux violences perpétrées le 1er mai à Paris, Christian Estrosi a dénoncé « la montée des populismes & nationalismes »… Philippe Vardon lui répond au micro
De loin, des effigies de Che Guevara peuvent induire en erreur… Peut-être s’agit-il d’une photo de Robert Ménard ? N’oublions pas qu’il s’est laissé pousser la barbe.
Après les violences de mardi en marge des défilés de la fête du Travail, l’heure est aux interrogations : qui sont ces fameux Black Blocs
Il serait grand temps de prendre conscience que devant ce déferlement systématique de violence, il faut prendre des mesures radicales.
Un millier de militants d’extrême gauche ont saccagé Paris, depuis Austerlitz jusqu’à la place de la Bastille… Boulevard Voltaire était sur place : regardez et
Même la personne la plus raisonnable, la moins encline à voir des complots partout, ne peut qu’être troublée.
Notre président ne peut que se réjouir de ces divisions.