Christophe Castaner
Cette semaine, une ville change de sexe, des clandestins font du cinéma et Castaner a sa médaille !
Sans doute traduit-il ainsi, fût-ce de manière abrupte, la pensée de son maître.
Christophe Castaner, c’est en quelque sorte la Nadine de Rothschild de la Macronie.
Médicalisation et psychiatrisation de l’adversaire politique : le parti d’Emmanuel Macron en est là…
Que demander de plus ? Une pression, peut-être…
À un an de l’élection présidentielle, les sondages se suivent et se ressemblent, avec une Marine Le Pen de plus en plus menaçante. La Macronie
La moitié des Français qui, selon les sondages, serait prête à voter pour Marine Le Pen, au second tour de l’élection présidentielle, ne changera certainement pas d’avis avec la stratégie de diabolisation dans laquelle Castaner croit trouver le salut de la majorité.
Pour tout dire, « ces gens-là » ne manquent pas de culot, de courage et, pour tout dire, il faut le reconnaître, d’intelligence. C’est peut-être d’ailleurs cela qui agace profondément Castaner.
Comme nous sommes passés d’un ordre républicain sans complaisance à une ère de tolérance zéro, nous ne pouvons qu’espérer un effondrement historique du nombre de voitures incendiées.
Gérald Darmanin aurait-il l’ambition de devenir le premier homme de l’État ?
Et en sus, l’annonce est faite par Christophe Castaner qui fut le ministre de l’Intérieur que l’on sait.
Bref, une fois de plus, les pimpants élus macronistes découvrent la cruauté du monde politicien.
Christophe Castaner, ou la difficulté d’exister. Du temps où il exerçait ses talents, Place Beauvau, il accrochait la lumière médiatique et on parlait de lui, pas
Sa « maturité politique », son « autorité naturelle », c’est effectivement ce qui vient illico à l’esprit quand on évoque la stature de l’homme.
Christophe Castaner, à la tête de cette commune de 5.000 habitants de 2001 à 2017, a été remplacé, lorsqu’il est devenu ministre, par son premier adjoint, Gérard Avril. Ils sont donc comptables des « irrégularités » citées par le rapport.
Le genou était symboliquement plié. L’affaire aussi.
Un dealer a été relâché sur ordre de la Justice après que celle-ci a soupçonné les policiers d’avoir effectué un contrôle au faciès. Selon Michel
Avait-on besoin d’attendre qu’il envisage de s’agenouiller devant des minorités qui conchient la France pour savoir à qui nous avions affaire ?
Ainsi, une base en colère affirme à mots plus ou moins couverts que Christophe Castaner n’est pas tout à fait à la hauteur – euphémisme délicat – et que Laurent Nuñez, lui au moins, réfléchit avant de parler.
Christophe Castaner, ex-socialiste, lui aussi sous le coup de l’émotion comme Bernard Cazeneuve en 2014, a fini par lâcher ses policiers et gendarmes et a annoncé l’interdiction de la prise dite « d’étranglement », pour immobilisation au sol, suite à la mort, aux États-Unis, de George Floyd.
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.
Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.
Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?
Comme disait Einstein, on ne peut pas régler les problèmes avec ceux qui les ont créés.
Comme toujours, dans les films policiers, il y a le « gentil » flic et le « méchant » flic. Dans la réalité, ce serait plutôt le « vrai » flic, Olivier Marchal, même si passé depuis longtemps au cinéma, et le « faux » flic, Christophe Castaner…
Cette rhétorique dangereuse masque bien mal une incohérence profonde de la part gouvernement.
Cette semaine, une ville change de sexe, des clandestins font du cinéma et Castaner a sa médaille !
Sans doute traduit-il ainsi, fût-ce de manière abrupte, la pensée de son maître.
Christophe Castaner, c’est en quelque sorte la Nadine de Rothschild de la Macronie.
Médicalisation et psychiatrisation de l’adversaire politique : le parti d’Emmanuel Macron en est là…
Que demander de plus ? Une pression, peut-être…
À un an de l’élection présidentielle, les sondages se suivent et se ressemblent, avec une Marine Le Pen de plus en plus menaçante. La Macronie
La moitié des Français qui, selon les sondages, serait prête à voter pour Marine Le Pen, au second tour de l’élection présidentielle, ne changera certainement pas d’avis avec la stratégie de diabolisation dans laquelle Castaner croit trouver le salut de la majorité.
Pour tout dire, « ces gens-là » ne manquent pas de culot, de courage et, pour tout dire, il faut le reconnaître, d’intelligence. C’est peut-être d’ailleurs cela qui agace profondément Castaner.
Comme nous sommes passés d’un ordre républicain sans complaisance à une ère de tolérance zéro, nous ne pouvons qu’espérer un effondrement historique du nombre de voitures incendiées.
Gérald Darmanin aurait-il l’ambition de devenir le premier homme de l’État ?
Et en sus, l’annonce est faite par Christophe Castaner qui fut le ministre de l’Intérieur que l’on sait.
Bref, une fois de plus, les pimpants élus macronistes découvrent la cruauté du monde politicien.
Christophe Castaner, ou la difficulté d’exister. Du temps où il exerçait ses talents, Place Beauvau, il accrochait la lumière médiatique et on parlait de lui, pas
Sa « maturité politique », son « autorité naturelle », c’est effectivement ce qui vient illico à l’esprit quand on évoque la stature de l’homme.
Christophe Castaner, à la tête de cette commune de 5.000 habitants de 2001 à 2017, a été remplacé, lorsqu’il est devenu ministre, par son premier adjoint, Gérard Avril. Ils sont donc comptables des « irrégularités » citées par le rapport.
Le genou était symboliquement plié. L’affaire aussi.
Un dealer a été relâché sur ordre de la Justice après que celle-ci a soupçonné les policiers d’avoir effectué un contrôle au faciès. Selon Michel
Avait-on besoin d’attendre qu’il envisage de s’agenouiller devant des minorités qui conchient la France pour savoir à qui nous avions affaire ?
Ainsi, une base en colère affirme à mots plus ou moins couverts que Christophe Castaner n’est pas tout à fait à la hauteur – euphémisme délicat – et que Laurent Nuñez, lui au moins, réfléchit avant de parler.
Christophe Castaner, ex-socialiste, lui aussi sous le coup de l’émotion comme Bernard Cazeneuve en 2014, a fini par lâcher ses policiers et gendarmes et a annoncé l’interdiction de la prise dite « d’étranglement », pour immobilisation au sol, suite à la mort, aux États-Unis, de George Floyd.
Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien…
Oui, ce pouvoir, aujourd’hui, ne mérite pas cette police.
Il y a encore quelques décennies, ces déclarations gravissimes dans la bouche de ministres auraient provoqué au mieux leur démission dans la journée, au pire un scandale au long cours.
Faut-il voir dans les propos du ministre de l’inconsistance, de l’inconscience, de la désinvolture, du mépris ?
Comme disait Einstein, on ne peut pas régler les problèmes avec ceux qui les ont créés.
Comme toujours, dans les films policiers, il y a le « gentil » flic et le « méchant » flic. Dans la réalité, ce serait plutôt le « vrai » flic, Olivier Marchal, même si passé depuis longtemps au cinéma, et le « faux » flic, Christophe Castaner…
Cette rhétorique dangereuse masque bien mal une incohérence profonde de la part gouvernement.