International

Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?

Eh bien, c’est là que l’on tombe de l’armoire : les esclaves en question sont amenés d’Afrique dans des pays arabes.

Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.

La reine ne faisait pas de la politique, elle ÉTAIT politique. Une incarnation du conservatisme, une relique de notre civilisation.

Si la Grèce et la Turquie entretiennent une mémoire vive de l’événement, il serait bon que nos dirigeants en fassent autant, eux qui se piquent de redessiner les frontières de l’Europe…

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Entre ces gens venus de loin et la bourgeoisie richissime qui nous vante leurs qualités, leurs diplômes, leurs capacités, l’enrichissement culturel qu’ils nous apportent, pourquoi n’organiserait-on pas, enfin, une rencontre ?

Les démocraties occidentales disent défendre les droits de l’homme et la démocratie, mais en pratique, l’Union européenne préfère la dictature azerbaïdjanaise pour des raisons d’intérêt.

Plusieurs centaines de personnes sont venues manifester leur soutien au peuple arménien, à nouveau victime de la guerre.

Une contre-offensive couronnée de succès représentait donc une nécessité impérieuse avant l’hiver. Les opérations militaires sur le terrain sont ainsi indéfectiblement liées à la guerre de l’information qui cible les opinions publiques occidentales.

Il est vrai que le gaz de l’Azerbaïdjan est bien utile, par les temps qui courent. Ceci expliquant peut-être cela…

La France, la Grèce et évidemment l’Union européenne doivent réagir à cette agressivité de l’ancienne puissance colonisatrice en Europe. La Bosnie, candidate à l’Union, devrait se souvenir que sa demande nécessite un attachement aux valeurs de l’Union européenne et non à celles de son ancien maître.

Les « Démocrates de Suède » deviennent ainsi le deuxième parti politique du pays, derrière celui, historique, des « Sociaux-démocrates ».

Demeurées trop longtemps inertes face à l’offensive de la Russie, les autorités françaises se sont résolues à riposter. Avec un objectif clair et assumé :

Incarnant la tradition dans un monde en plein changement, Élisabeth aura été moderne à force de n’avoir jamais été engloutie par la houle propre aux périodes agitées et de ne jamais avoir succombé aux modes.

Il a assumé avec simplicité la nostalgie, n’a pas cédé à une com’ où la fraîcheur et l’optimisme auraient été artificiels.

Selon le général Desportes, la Russie ne compte plus sur une victoire militaire mais sur un enlisement du conflit qui briserait le moral occidental.

Comme quoi la reine était décidément celle de tous ses sujets, même les plus turbulents, les plus bruyants.

Ce gouvernement qui ne connaît et reconnaît que les « valeurs-de-la-République découvre que feu la reine en avait quelques-unes qui valaient bien les siennes.

Durant son règne, pas un seul coloris ne fut écarté. Le mauve fuchsia succédait au bleu azur, un rose éclatant venait fleurir le balcon du palais.

Au-delà des chefs d’État, c’est toute la classe politique française qui rend un dernier hommage à la reine Élisabeth II.

Avec les dix Présidents qu’elle aura fréquentés, elle aura été un témoin privilégié de l’évolution de la France.

Elle a donc été élue sur la promesse d’un électrochoc pour faire face à un contexte social explosif (comme partout ailleurs en Europe) et pour pallier l’augmentation conséquente du coût de la vie.

Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.

Après des mois de palabres et d’échanges entre le Saint-Siège et l’Ordre souverain, ce 3 septembre, le pape vient de signer un décret promulguant une nouvelle constitution de l’Ordre.

Cet ancien gouverneur de l’Alaska, État traditionnellement républicain depuis un demi-siècle, vient-il d’échouer à regagner ce poste qu’elle occupa de 2006 à 2009, à quelques semaines des fameuses élections de « midterm »…

Gorbatchev s’est éteint alors que les canons russes et ukrainiens tonnaient sur le Dniepr. Faut-il enterrer avec lui le rêve gaullien d’une Europe réconciliée de l’Atlantique à l’Oural ?

On se souviendra alors avec émotion de l’époque où, dans les grandes soirées mondaines, comme à Cannes ou à Venise, si t’avais pas eu ton mot de Zelensky, t’avais raté ta vie.

Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?

Eh bien, c’est là que l’on tombe de l’armoire : les esclaves en question sont amenés d’Afrique dans des pays arabes.

Dans le même temps – hasard du calendrier ou relation de cause à effet -, Téhéran a reculé à la dernière minute alors qu’il était proche d’un accord avec Washington sur ses activités atomiques controversées.

La reine ne faisait pas de la politique, elle ÉTAIT politique. Une incarnation du conservatisme, une relique de notre civilisation.

Si la Grèce et la Turquie entretiennent une mémoire vive de l’événement, il serait bon que nos dirigeants en fassent autant, eux qui se piquent de redessiner les frontières de l’Europe…

Il y a chez Ursula von der Leyen une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation.

Entre ces gens venus de loin et la bourgeoisie richissime qui nous vante leurs qualités, leurs diplômes, leurs capacités, l’enrichissement culturel qu’ils nous apportent, pourquoi n’organiserait-on pas, enfin, une rencontre ?

Les démocraties occidentales disent défendre les droits de l’homme et la démocratie, mais en pratique, l’Union européenne préfère la dictature azerbaïdjanaise pour des raisons d’intérêt.

Plusieurs centaines de personnes sont venues manifester leur soutien au peuple arménien, à nouveau victime de la guerre.

Une contre-offensive couronnée de succès représentait donc une nécessité impérieuse avant l’hiver. Les opérations militaires sur le terrain sont ainsi indéfectiblement liées à la guerre de l’information qui cible les opinions publiques occidentales.

Il est vrai que le gaz de l’Azerbaïdjan est bien utile, par les temps qui courent. Ceci expliquant peut-être cela…

La France, la Grèce et évidemment l’Union européenne doivent réagir à cette agressivité de l’ancienne puissance colonisatrice en Europe. La Bosnie, candidate à l’Union, devrait se souvenir que sa demande nécessite un attachement aux valeurs de l’Union européenne et non à celles de son ancien maître.

Les « Démocrates de Suède » deviennent ainsi le deuxième parti politique du pays, derrière celui, historique, des « Sociaux-démocrates ».

Demeurées trop longtemps inertes face à l’offensive de la Russie, les autorités françaises se sont résolues à riposter. Avec un objectif clair et assumé :

Incarnant la tradition dans un monde en plein changement, Élisabeth aura été moderne à force de n’avoir jamais été engloutie par la houle propre aux périodes agitées et de ne jamais avoir succombé aux modes.

Il a assumé avec simplicité la nostalgie, n’a pas cédé à une com’ où la fraîcheur et l’optimisme auraient été artificiels.

Selon le général Desportes, la Russie ne compte plus sur une victoire militaire mais sur un enlisement du conflit qui briserait le moral occidental.

Comme quoi la reine était décidément celle de tous ses sujets, même les plus turbulents, les plus bruyants.

Ce gouvernement qui ne connaît et reconnaît que les « valeurs-de-la-République découvre que feu la reine en avait quelques-unes qui valaient bien les siennes.

Durant son règne, pas un seul coloris ne fut écarté. Le mauve fuchsia succédait au bleu azur, un rose éclatant venait fleurir le balcon du palais.

Au-delà des chefs d’État, c’est toute la classe politique française qui rend un dernier hommage à la reine Élisabeth II.

Avec les dix Présidents qu’elle aura fréquentés, elle aura été un témoin privilégié de l’évolution de la France.

Elle a donc été élue sur la promesse d’un électrochoc pour faire face à un contexte social explosif (comme partout ailleurs en Europe) et pour pallier l’augmentation conséquente du coût de la vie.

Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » pour l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique.

Après des mois de palabres et d’échanges entre le Saint-Siège et l’Ordre souverain, ce 3 septembre, le pape vient de signer un décret promulguant une nouvelle constitution de l’Ordre.

Cet ancien gouverneur de l’Alaska, État traditionnellement républicain depuis un demi-siècle, vient-il d’échouer à regagner ce poste qu’elle occupa de 2006 à 2009, à quelques semaines des fameuses élections de « midterm »…

Gorbatchev s’est éteint alors que les canons russes et ukrainiens tonnaient sur le Dniepr. Faut-il enterrer avec lui le rêve gaullien d’une Europe réconciliée de l’Atlantique à l’Oural ?

On se souviendra alors avec émotion de l’époque où, dans les grandes soirées mondaines, comme à Cannes ou à Venise, si t’avais pas eu ton mot de Zelensky, t’avais raté ta vie.
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