Incarnant la tradition dans un monde en plein changement, Élisabeth aura été moderne à force de n’avoir jamais été engloutie par la houle propre aux périodes agitées et de ne jamais avoir succombé aux modes.
Au Parlement bruxellois, les députés ont voté contre l’obligation d’étourdissement avant l’abattage, faisant fi du bien-être animal, mais surtout se soumettant au cahier des charges de l’islamisme.
En filigrane, comme en France, on peut lire dans l’action menée la colère des professionnels de la santé structurellement dévalorisés et en manque de moyens.
L’affirmer ne sert qu’à nous glorifier à peu de frais et à donner une allure de chefs de guerre à nos chefs d’État.
Le coronavirus est tel la peste qui, dans Camus, était une allégorie du fascisme ; il symbolise la faillite du monde mondialisé, celui des migrations, du tourisme de masse, de la partouze généralisée.
Faire ses courses dans un supermarché relève, aujourd’hui, de l’expérience sociologique à grande échelle…
Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.
La division de la droite assumée, pour des questions d’ego, est aujourd’hui catastrophique.
Lorsque la situation est tendue à Paris, il n’est pas rare que des soubresauts ébranlent Bruxelles.
Les grands experts en démocratie feraient bien de balayer devant leur porte avant de donner des leçons.
Les groupes ultras de Marseille, autrement plus violents et moins tolérants, jouissent d’une clémence qu’explique sans doute en partie leur positionnement politique.
Sans ambition pour notre langue, nous n’en aurons plus pour nous-mêmes.
La politique ne peut se laisser enfermer dans les bons sentiments et le pacifisme, sans quoi des mains bien plus lourdes que celles de Benalla s’abattront sur nos nuques.
Selon eux, des migrants soudanais que la Belgique avait renvoyés vers leur pays d’origine auraient subi des mauvais traitements à leur retour.
Il est loin, le temps où Albert Camus disait joliment que la langue française était sa patrie.
Jean-Luc Mélenchon est en retard d’une guerre : c’est désormais de son identité que le peuple de France souhaite qu’on lui parle.
Les limites de l’indécent laxisme ont, une nouvelle fois, été franchies.
De nombreux Belges ont déjà décidé de boycotter le produit afin de témoigner leur mécontentement face à cette nouvelle attaque portée contre les traditions.
La Mutualité socialiste a retiré le symbole de la mitre du grand saint, officiellement parce qu’elle ne voulait « exclure aucun enfant ».
Nous ne pouvons laisser Bruxelles aux sauvageons, aux islamistes et à leurs alliés.
Pendant longtemps, le groupe aujourd’hui trentenaire a souffert d’une réputation sulfureuse.
On doute fortement que le fameux compromis à la belge (en réalité, un consensus mou) puisse régler la situation espagnole.
Un peu par hasard, la Belgique est sur le point de connaître l’identité des tueurs du Brabant, issue à laquelle plus personne ne s’attendait vraiment.
Les mêmes partis politiques continuent à se succéder au pouvoir ; le même laxisme judiciaire prédomine ; les victimes sont toujours laissées pour compte.
Le camp qui aujourd’hui soutient Danièle Obono poursuit une œuvre de déconstruction de ce qui a nourri l’identité française depuis des siècles.
Rendez-nous Jean Gabin et Lino Ventura : ces acteurs-là étaient non seulement excellents, mais ne s’encombraient pas de moraline.
La cage aux phobes décrite en son temps par Philippe Muray ne désemplit pas.
Incarnant la tradition dans un monde en plein changement, Élisabeth aura été moderne à force de n’avoir jamais été engloutie par la houle propre aux périodes agitées et de ne jamais avoir succombé aux modes.
Au Parlement bruxellois, les députés ont voté contre l’obligation d’étourdissement avant l’abattage, faisant fi du bien-être animal, mais surtout se soumettant au cahier des charges de l’islamisme.
En filigrane, comme en France, on peut lire dans l’action menée la colère des professionnels de la santé structurellement dévalorisés et en manque de moyens.
L’affirmer ne sert qu’à nous glorifier à peu de frais et à donner une allure de chefs de guerre à nos chefs d’État.
Le coronavirus est tel la peste qui, dans Camus, était une allégorie du fascisme ; il symbolise la faillite du monde mondialisé, celui des migrations, du tourisme de masse, de la partouze généralisée.
Faire ses courses dans un supermarché relève, aujourd’hui, de l’expérience sociologique à grande échelle…
Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.
La division de la droite assumée, pour des questions d’ego, est aujourd’hui catastrophique.
Lorsque la situation est tendue à Paris, il n’est pas rare que des soubresauts ébranlent Bruxelles.
Les grands experts en démocratie feraient bien de balayer devant leur porte avant de donner des leçons.
Les groupes ultras de Marseille, autrement plus violents et moins tolérants, jouissent d’une clémence qu’explique sans doute en partie leur positionnement politique.
Sans ambition pour notre langue, nous n’en aurons plus pour nous-mêmes.
La politique ne peut se laisser enfermer dans les bons sentiments et le pacifisme, sans quoi des mains bien plus lourdes que celles de Benalla s’abattront sur nos nuques.
Selon eux, des migrants soudanais que la Belgique avait renvoyés vers leur pays d’origine auraient subi des mauvais traitements à leur retour.
Il est loin, le temps où Albert Camus disait joliment que la langue française était sa patrie.
Jean-Luc Mélenchon est en retard d’une guerre : c’est désormais de son identité que le peuple de France souhaite qu’on lui parle.
Les limites de l’indécent laxisme ont, une nouvelle fois, été franchies.
De nombreux Belges ont déjà décidé de boycotter le produit afin de témoigner leur mécontentement face à cette nouvelle attaque portée contre les traditions.
La Mutualité socialiste a retiré le symbole de la mitre du grand saint, officiellement parce qu’elle ne voulait « exclure aucun enfant ».
Nous ne pouvons laisser Bruxelles aux sauvageons, aux islamistes et à leurs alliés.
Pendant longtemps, le groupe aujourd’hui trentenaire a souffert d’une réputation sulfureuse.
On doute fortement que le fameux compromis à la belge (en réalité, un consensus mou) puisse régler la situation espagnole.
Un peu par hasard, la Belgique est sur le point de connaître l’identité des tueurs du Brabant, issue à laquelle plus personne ne s’attendait vraiment.
Les mêmes partis politiques continuent à se succéder au pouvoir ; le même laxisme judiciaire prédomine ; les victimes sont toujours laissées pour compte.
Le camp qui aujourd’hui soutient Danièle Obono poursuit une œuvre de déconstruction de ce qui a nourri l’identité française depuis des siècles.
Rendez-nous Jean Gabin et Lino Ventura : ces acteurs-là étaient non seulement excellents, mais ne s’encombraient pas de moraline.
La cage aux phobes décrite en son temps par Philippe Muray ne désemplit pas.