Cinéma
Le destin tragique de cette femme issue de la petite noblesse russe qui jeta son dévolu sur Tchaïkovski.
BHL sortira, le 22 février, un film sur la résistance de l’Ukraine, Slava Ukraini. On pourrait rêver d’une ode patriotique, d’une conversion subite de ce mondialiste échevelé aux vertus de la patrie. Hélas…
Il faut se poser la question de savoir pourquoi Charette (excellemment interprété par Hugo Becker) n’a jamais fait l’objet d’un précédent film au cinéma.
Tôt remarquée par Hollywood, Raquel Welch fait ses premières armes dans des séries télévisées avant de littéralement exploser sur grand écran, en 1966, année durant laquelle elle tourne deux films majeurs.
Ce tropisme antifrançais pratiqué à Hollywood est de notoriété publique depuis belle lurette.
Bizarrement, notre presse de gauche a encensé le film sans s’apercevoir que son discours se situait aux antipodes des valeurs qu’elle défend habituellement.
L’article aviné d’Écran large, véritable pétage de câble qui n’a plus grand-chose à voir avec l’esprit critique ni avec le journalisme, nous donnerait presque envie d’encenser le film bêtement…
Le récit suit quatre malfrats un peu bas de plafond qui, après avoir lamentablement raté un assassinat à Marseille, retournent en Corse et décident de kidnapper Sophie Marceau…
On n’a même pas l’impression qu’il soit mort, car au fond, Louis de Funès n’a jamais quitté la télévision.
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Sorte de polar crépusculaire et enneigé à dimension ésotérique, The Pale Blue Eye nous transporte en 1830 dans la prestigieuse académie militaire de West Point, dans l’État de New York.
Le monde du cinéma au fond du puits se permet de toiser le Puy du Fou.
« Le Puy du Fourbe ». Le jeu de mots est malin, l’attaque est cinglante.
Avec Nostalgia, son dernier film en date, le réalisateur Mario Martone choisit de porter à l’écran le roman homonyme d’Ermanno Rea.
Le désamour des Américains pour les productions plus ou moins sournoisement militantes de leur cinéma a été récemment révélé par Fox News.
Une existence monotone que cet homme dévoué, consciencieux, aurait prolongée si son médecin ne lui avait diagnostiqué une maladie grave et incurable.
Les Banshees d’Inisherin, véritable western irlandais, ravira, à coup sûr, les amoureux de la verte Érin, ne serait-ce que par ses paysages magnifiques et son humour typique, pince-sans-rire.
Signé Michele Placido, ce long-métrage s’inscrit à merveille dans la carrière d’un cinéaste-comédien qui n’a jamais caché sa fascination pour les scélérats et marginaux de tous poils.
Éloge de la nature, des grands espaces et du temps long, Les Huit Montagnes est à appréhender avant toute chose comme la célébration de la nostalgie, des liens durables, de la parole donnée et des vertus de l’amitié inconditionnelle.
Ou comment un woke se voit reprocher de ne pas l’être suffisamment par les autres et se confond en excuses.
À l’heure où Disney revoit ses prétentions wokistes à la baisse, le cinéma français persiste dans ses projections de messages idéologiques.
Ce qu’a réalisé Marvel Studios avec Wakanda Forever sur le plan de la désinformation géopolitique est inédit.
Sur le fond, les discours idéologiques n’ont pas changé : on a droit à cette espèce de fausse mauvaise conscience narcissique de l’homme blanc occidental…
En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »
Vaincre ou mourir est au rendez-vous de la légende et de l’Histoire !
Le film est passionnant d’un point de vue anthropologique. Il nous donne à voir un milieu qui, par essence, privilégie l’émotion et les sentiments sur la raison.
C’est possible que des films plus contemporains voient le jour.
Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.
Le destin tragique de cette femme issue de la petite noblesse russe qui jeta son dévolu sur Tchaïkovski.
BHL sortira, le 22 février, un film sur la résistance de l’Ukraine, Slava Ukraini. On pourrait rêver d’une ode patriotique, d’une conversion subite de ce mondialiste échevelé aux vertus de la patrie. Hélas…
Il faut se poser la question de savoir pourquoi Charette (excellemment interprété par Hugo Becker) n’a jamais fait l’objet d’un précédent film au cinéma.
Tôt remarquée par Hollywood, Raquel Welch fait ses premières armes dans des séries télévisées avant de littéralement exploser sur grand écran, en 1966, année durant laquelle elle tourne deux films majeurs.
Ce tropisme antifrançais pratiqué à Hollywood est de notoriété publique depuis belle lurette.
Bizarrement, notre presse de gauche a encensé le film sans s’apercevoir que son discours se situait aux antipodes des valeurs qu’elle défend habituellement.
L’article aviné d’Écran large, véritable pétage de câble qui n’a plus grand-chose à voir avec l’esprit critique ni avec le journalisme, nous donnerait presque envie d’encenser le film bêtement…
Le récit suit quatre malfrats un peu bas de plafond qui, après avoir lamentablement raté un assassinat à Marseille, retournent en Corse et décident de kidnapper Sophie Marceau…
On n’a même pas l’impression qu’il soit mort, car au fond, Louis de Funès n’a jamais quitté la télévision.
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Sorte de polar crépusculaire et enneigé à dimension ésotérique, The Pale Blue Eye nous transporte en 1830 dans la prestigieuse académie militaire de West Point, dans l’État de New York.
Le monde du cinéma au fond du puits se permet de toiser le Puy du Fou.
« Le Puy du Fourbe ». Le jeu de mots est malin, l’attaque est cinglante.
Avec Nostalgia, son dernier film en date, le réalisateur Mario Martone choisit de porter à l’écran le roman homonyme d’Ermanno Rea.
Le désamour des Américains pour les productions plus ou moins sournoisement militantes de leur cinéma a été récemment révélé par Fox News.
Une existence monotone que cet homme dévoué, consciencieux, aurait prolongée si son médecin ne lui avait diagnostiqué une maladie grave et incurable.
Les Banshees d’Inisherin, véritable western irlandais, ravira, à coup sûr, les amoureux de la verte Érin, ne serait-ce que par ses paysages magnifiques et son humour typique, pince-sans-rire.
Signé Michele Placido, ce long-métrage s’inscrit à merveille dans la carrière d’un cinéaste-comédien qui n’a jamais caché sa fascination pour les scélérats et marginaux de tous poils.
Éloge de la nature, des grands espaces et du temps long, Les Huit Montagnes est à appréhender avant toute chose comme la célébration de la nostalgie, des liens durables, de la parole donnée et des vertus de l’amitié inconditionnelle.
Ou comment un woke se voit reprocher de ne pas l’être suffisamment par les autres et se confond en excuses.
À l’heure où Disney revoit ses prétentions wokistes à la baisse, le cinéma français persiste dans ses projections de messages idéologiques.
Ce qu’a réalisé Marvel Studios avec Wakanda Forever sur le plan de la désinformation géopolitique est inédit.
Sur le fond, les discours idéologiques n’ont pas changé : on a droit à cette espèce de fausse mauvaise conscience narcissique de l’homme blanc occidental…
En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »
Vaincre ou mourir est au rendez-vous de la légende et de l’Histoire !
Le film est passionnant d’un point de vue anthropologique. Il nous donne à voir un milieu qui, par essence, privilégie l’émotion et les sentiments sur la raison.
C’est possible que des films plus contemporains voient le jour.
Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.