
Un triomphe ne verse pas dans le discours démagogique et dénégateur du réel qui consiste à voir en chacun un prodige ou une « chance pour la France ».

C’est bien simple, tout sonne faux, à commencer par l’écriture des répliques et par le choix de l’actrice principale dont l’élocution, pour un rôle d’animatrice télé, laisse à désirer.

Cédric Jimenez, qui s’est longuement entretenu avec la BAC nord de l’époque pour la préparation du tournage, n’excuse pas les entorses à la loi, il les explique.

À ce jour, l’adaptation de 1994 par Gillian Armstrong demeure, sans conteste, la meilleure, la plus vivante, la seule qui vaille le détour.

S’il y a un seul film à voir au cinéma cet été, c’est bien celui-ci.

Il y a des séries dont on nous rebat les oreilles tous les quatre matins, comme Games of Thrones ou, à une certaine époque, Lost et X-Files ; et d’autres qui ne sortent jamais de l’anonymat alors que leur intérêt est manifeste. Il en va ainsi de Rebellion…

Le fil rouge entre les deux, ce sont évidemment les collines de Provence, désert sauvage de garrigue et de maquis que surplombe le Garlaban sous la lumière brûlante du soleil.

Les Duellistes séduit par sa façon de mettre en scène les valeurs martiales, le sens de l’honneur, de la réputation, le souci du rang à tenir, de la constance au fil des ans.

Une réécriture postmoderne de la figure mariale où l’antihéroïne, enfantée par la machine – dieu des temps actuels –, accouche d’un bébé hybride, mi-humain mi-diesel…

La question que l’on se pose en refermant le livre est la suivante : la politique migratoire de la France ne risque-t-elle pas, à terme, de lui faire perdre la Corse définitivement ?

Frémaux déroule le tapis rouge de Cannes à la discrimination dite « positive » et confirme, s’il en était besoin, le poids idéologique qui motive les prix et récompenses.

Gentillet et légèrement paresseux.

Le cinéma est un outil de propagande à grande échelle, on ne le dira jamais assez.

Toujours est-il que le Royaume-Uni – nation « non européenne » – demeure le plus grand producteur en Europe de programmes cinématographiques et télévisés…

Peu original mais divertissant.

Le cinéaste n’est pas sans savoir, en effet, qu’en donnant, à travers son film, un tel crédit aux thèses actuelles de l’Etat algérien, il ne fait que servir la soupe à ceux qui réclament continuellement la repentance de la France…

Le cinéma qui nous parvient des pays de l’Est – horriblement mal distribué, cela dit en passant – semble encore aujourd’hui travaillé par les horreurs du XXe siècle.

Honnête, lucide, le film de Florian Zeller bénéficie, de surcroît, de la présence au casting d’Anthony Hopkins qui excelle à laisser percer le flottement perpétuel et le désarroi de son personnage.

Loin de tout manichéisme, Slalom n’a rien du film moralisateur que pourrait attendre un certain militantisme féministe délateur ; il excelle au contraire dans sa façon de traiter la zone grise des relations humaines.

Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.

Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.

Un beau film sur le dévouement.

Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu

Le collectif antimafia se veut apolitique dans la mesure où l’on y trouve aussi bien des gens de gauche que de droite, des Français de cœur comme des indépendantistes ou des autonomistes.

Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.

Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.

Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire

Un triomphe ne verse pas dans le discours démagogique et dénégateur du réel qui consiste à voir en chacun un prodige ou une « chance pour la France ».

C’est bien simple, tout sonne faux, à commencer par l’écriture des répliques et par le choix de l’actrice principale dont l’élocution, pour un rôle d’animatrice télé, laisse à désirer.

Cédric Jimenez, qui s’est longuement entretenu avec la BAC nord de l’époque pour la préparation du tournage, n’excuse pas les entorses à la loi, il les explique.

À ce jour, l’adaptation de 1994 par Gillian Armstrong demeure, sans conteste, la meilleure, la plus vivante, la seule qui vaille le détour.

S’il y a un seul film à voir au cinéma cet été, c’est bien celui-ci.

Il y a des séries dont on nous rebat les oreilles tous les quatre matins, comme Games of Thrones ou, à une certaine époque, Lost et X-Files ; et d’autres qui ne sortent jamais de l’anonymat alors que leur intérêt est manifeste. Il en va ainsi de Rebellion…

Le fil rouge entre les deux, ce sont évidemment les collines de Provence, désert sauvage de garrigue et de maquis que surplombe le Garlaban sous la lumière brûlante du soleil.

Les Duellistes séduit par sa façon de mettre en scène les valeurs martiales, le sens de l’honneur, de la réputation, le souci du rang à tenir, de la constance au fil des ans.

Une réécriture postmoderne de la figure mariale où l’antihéroïne, enfantée par la machine – dieu des temps actuels –, accouche d’un bébé hybride, mi-humain mi-diesel…

La question que l’on se pose en refermant le livre est la suivante : la politique migratoire de la France ne risque-t-elle pas, à terme, de lui faire perdre la Corse définitivement ?

Frémaux déroule le tapis rouge de Cannes à la discrimination dite « positive » et confirme, s’il en était besoin, le poids idéologique qui motive les prix et récompenses.

Gentillet et légèrement paresseux.

Le cinéma est un outil de propagande à grande échelle, on ne le dira jamais assez.

Toujours est-il que le Royaume-Uni – nation « non européenne » – demeure le plus grand producteur en Europe de programmes cinématographiques et télévisés…

Peu original mais divertissant.

Le cinéaste n’est pas sans savoir, en effet, qu’en donnant, à travers son film, un tel crédit aux thèses actuelles de l’Etat algérien, il ne fait que servir la soupe à ceux qui réclament continuellement la repentance de la France…

Le cinéma qui nous parvient des pays de l’Est – horriblement mal distribué, cela dit en passant – semble encore aujourd’hui travaillé par les horreurs du XXe siècle.

Honnête, lucide, le film de Florian Zeller bénéficie, de surcroît, de la présence au casting d’Anthony Hopkins qui excelle à laisser percer le flottement perpétuel et le désarroi de son personnage.

Loin de tout manichéisme, Slalom n’a rien du film moralisateur que pourrait attendre un certain militantisme féministe délateur ; il excelle au contraire dans sa façon de traiter la zone grise des relations humaines.

Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.

Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.

Un beau film sur le dévouement.

Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu

Le collectif antimafia se veut apolitique dans la mesure où l’on y trouve aussi bien des gens de gauche que de droite, des Français de cœur comme des indépendantistes ou des autonomistes.

Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.

Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.

Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire
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