
Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire

Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…

Il n’y a manifestement pas qu’un problème de terrorisme islamiste dans nos banlieues…

Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.

Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.

Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.

Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.

Si la série met en avant les figures bien connues du chevalier, de la princesse, du roi, du dragon ou du nain facétieux et intelligent, elle nous gratifie également de tous les clichés progressistes en vogue…

Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.

La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.

Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.

Là où le bât blesse, malgré tout, c’est que la lecture que font Delépine et Kervern du mouvement des gilets jaunes est erronée.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.

Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…

Un film malin, un film de terroir.

Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra

Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.

Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.

L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.

Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.

Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.

La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.

Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !

Il est toujours désagréable d’admettre le talent d’un adversaire idéologique…

L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.

Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…

Exit l’outrance, exit la pleurniche féministe et son ressentiment…

Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire

Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…

Il n’y a manifestement pas qu’un problème de terrorisme islamiste dans nos banlieues…

Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.

Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.

Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.

Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.

Si la série met en avant les figures bien connues du chevalier, de la princesse, du roi, du dragon ou du nain facétieux et intelligent, elle nous gratifie également de tous les clichés progressistes en vogue…

Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.

La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.

Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.

Là où le bât blesse, malgré tout, c’est que la lecture que font Delépine et Kervern du mouvement des gilets jaunes est erronée.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.

Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…

Un film malin, un film de terroir.

Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra

Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.

Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.

L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.

Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.

Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.

La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.

Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !

Il est toujours désagréable d’admettre le talent d’un adversaire idéologique…

L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.

Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…

Exit l’outrance, exit la pleurniche féministe et son ressentiment…
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